En effet. Cette dame, chef d’État et pape (papesse, en fait) de l’Église anglicane ..
.. qu’on voit tous les jours sur la monnaie canadienne (ou ailleurs), ..
.. c’est comme si l’on voyait tous les jours, sur la même monnaie canadienne, ce monsieur, ..
.. ou encore, sur la même monnaie canadienne, maintenant, ce monsieur, ..
.. chef d’État (l’État du Vatican) et pape de l’Église catholique.
Incidemment, le pape de l’Église catholique, en tant que chef de l’État du Vatican, a figuré sur la lire vaticane jusqu’en 1999. Aujourd’hui le Vatican utilise l’Euro.
Ci-dessous, un pape célèbre de l’Église catholique, feu Jean-Paul II, figurant sur une pièce de 200 lires vaticanes.

Jusqu’en 1999, le chef de l’État du Vatican, ici Jean-Paul II, figurait sur la lire vaticane. Pièce de 200 lires, émise en 1980. Aujourd’hui, le Vatican utilise l’Euro.
Le roi ou la reine d’Angleterre, en plus d’être chef honoraire de la franc-maçonnerie britannique, est à la fois chef constitutionnel de l’État canadien (chef représenté par le Gouverneur Général), et pape, ou papesse, de l’Église anglicane. Pape et chef d’État. Présentement, papesse et chef d’État.
C’est tout comme si le Canada était un État religieux – pour ne pas dire une religion – et Ottawa, la capitale, une sorte d’archevêché sous la tutelle constitutionnelle du pape anglican.
Si je le mentionne, — et si j’écris cet article — c’est d’abord et avant tout du fait que, depuis plusieurs années, je suis intrigué, frappé, par le fait que très peu de gens, au Québec, et vraisemblablement au Canada (et a fortiori ailleurs), ne s’en rendent compte, et notamment ces fervents nez-en-l’air (ou nez-au-sol) que sont les militants anti-religieux, les “laïcardents”, et autres jihadistes de l’athéisme militant.
Pourtant, ils devraient être les premiers à le percevoir. Non?
Une autre raison. C’est que le Canada anglais, jusqu’au début des années 1960s, n’a cessé de regarder de haut et de mépriser les Canadiens français en les accusant d’être une bande de moutons (ça, ça les arrangeait, dans la mesure où c’était le cas) dominés par le clergé catholique (ça, ça les arrangeait beaucoup moins, dans la mesure où c’était le cas).
Or, ces campagnes, ce discours, anti-catholiques, parfois sourds, parfois criards, parfois sotto voce, mais persistants, ont été des facteurs importants de la guerre et de l’action psychologiques qui ont conduit à la “laïcisation” du Québec dans les années 1960s (la fameuse “Révolution Tranquille”, sorte de “révolution de couleur” avant la lettre) et à la marginalisation du catholicisme et du clergé catholique.
J’interromps un moment pour un aparte :
Ici, courte mais pertinente digression.
Appelons ça un «aparte par bonds».
Comme dans : les frogs évoluent par bonds.

George Soros (1930- )
Donc : « “Révolution Tranquille”, sorte de “révolution de couleur” avant la lettre », ai-je mentionné plus haut.
- « – Hé, Soros, étais-tu là ?»
- Probablement pas.
George Soros est dans la trentaine à l’époque, il ramasse son fric, il est aux États-Unis, phase d’accumulation.
Par ailleurs, Paul Gérin-Lajoie, – le ministre québécois de l’Éducation qui a présidé à la destruction du système d’éducation catholique au début des années soixantes, – était un Boursier Rhodes, un Rhodes Scholar.
Les écoles n’étaient pas mixtes avant la Révolution Tranquille. Écoles de garçons. Écoles de filles.
Au début des années soixantes, sous Gérin-Lajoie, on a, entre autres, procédé à l’élimination du système d’éducation des garçons pour ne garder que le système pour les filles en y dompant judicieusement les garçons (un sabotage efféministant radical qu’on a appelé “écoles mixtes”).
Un désastre qui perdure depuis. Un désastre pour les garçons, évidemment. Intentionnel. Et qui s’est raffiné avec le temps. Plus féministement pervers que ça, tu meurs. Entretemps, tu agonises. (Le Mythe de l’égalité homme-femme.)

Cecil John Rhodes (1853-1902), fondateur de la Rhodésie ( aujourd’hui, Zinbabwe ) Un gouvernement mondial sous la tutelle civilisatrice de l’empire britannique. L’Empire anglo-américain a pris, depuis, le relais. Même combat.
Le ministre Gérin-Lajoie était donc Boursier Rhodes. Olala. Prestigieux.
Cecil J. Rhodes (1853-1902), le fondateur de la Rhodésie (aujourd’hui Zimbabwe), a milité toute sa vie pour la réalisation d’un Gouvernement Mondial sous la tutelle civilisatrice de l’Empire Britannique.
Rien de moins.
Aujourd’hui, l’empire Anglo-Américain a pris le relais. Un empire dont le Canada, qui enclave le Québec, est partie prise et prenante.
Les fondations et les bourses Rhodes avaient été créées par Rhodes (notamment par testament), grâce à sa fortune colossale, et pour servir ses buts hégémoniques.
Soros n’était probablement pas dans l’coup de la Révolution de Couleur Tranquille au Québec, mais Rhodes rôdait comme un bon gros lion britannique, par boursiers-proxys, prolongeant son action post-mortem par l’héritage idéologique et financier de ses fondations.

Paul Gérin-Lajoie (1920- ) était ministre de l’Éducation du Québec dans le gouvernement Lesage au début des années soixantes. La Révolution Tranquille. Le naufrage des garçons dans un système d’éducation laïco-athéisant conçu pour les filles..
Bref, l’idéal de Rhodes gérait Lajoie par les bourses.
Ou : Le Québec se fit enfirouâper dans l’bond bond.
En italique, c’qui suit, c’est tiré d’une chanson populaire des années soixantes :
«C’est le début d’un temps nouveau, les femmes font l’amour librement» [le sida guette en attendant], «les hommes ne travaillent presque plus, .. les couleurs se mêlent sur la peau» [le drapeau lgbt s’annonce déjà en même temps que la pression concrète et idéologique au chaos identitaire (dans l’hilare commercial et le béat massemédiatique), – en attendant les délires genristes qui viendront plus tard]..
Ça n’a pas cessé, depuis, de métastaser dans l’aspartame et la collure. On sait plus trop si ça fait mou ou si ça fait dur, mais ça perdure. En s’aggravant. Les désintégrations d’empires, c’est comme ça: les p’tites sous-satrapies y passent aussi – souvent avant les grosses – les petites semblent même servir de cobayes. L’impatience immanente des désintégrations sociales est impitoyable.
Les garçons, notamment, l’ont pris sur la gueule. Et continuent à le prendre sur la gueule. Souvent littéralement.
On peut penser qu’un jour la gueule va s’tanner. Logique.
Une courte note sur les frogs avant de sortir de l’aparte :
J’en suis une, je suis Canadien-français. Je suis naturellement amphibie, pas besoin d’équipement compliqué. Nombreux moments privilégiés entre ciel et terre. Un chat m’a enseigné comment r’tomber sur mes pattes. En tentant de m’attaquer.
Tout c’qui manque, c’est des ailes. Comme les dragons. J’y travaille. L’hiver je congèle. Au printemps, j’dégèle. Par contre, j’ai des problèmes avec le feu, j’travaille là-dessus aussi mais j’m’en tire pas trop mal quand même. Pratiquer.
Fin de l’aparte.
Poursuivons.
Mais le Canada, lui, ne s’est jamais défait de sa papauté anglicane. Ni avant les années 1960s, ni pendant, ni après. Étrangement, très étrangement, ça semble échapper à la plupart de nos militants laïcardents, toujours sur l’automatique, encore aujourd’hui. (Mais, au fait, est-ce que ça leur “échappe” .. vraiment? Y a beaucoup de coins ombrés dans tout ça : « Y a toujouuurs [pause] un côté du mur à l’om-om-breee.. » – Gilbert Bécaud.)
Or, une masse impressionnante de Québécois (sans mentionner une masse sans doute tout aussi impressionnante de Canadiens), souverainement arnaqués et, parfois, apparemment fiers de l’être (ou inconscients de l’être, et derechef, fort fiers?), ont continué à utiliser leur monnaie canadienne. Mais sans rien voir. Jamais. Ça vous donne envie de rire? Allez-y, c’est toujours ça de pris, c’est bon pour la santé.
Ce n’est pas sans rappeler un certain Empereur qui était ardemment fier de ses nouveaux vêtements tout neufs, qu’il avait payé une fortune (au dépens du Trésor Public), et qui ne réalisait pas qu’en réalité il était, littéralement, tout nu : Les Habits Neufs de l’Empereur (ou : “du roi”), le conte d’Andersen («Le Roi est Nu»).
Les députés québécois laïcistes ou laïcisants, tout comme les députés laïcards ardents, après les années 1960s, on donc continué à prêter serment au pape anglican (la couronne britannique — non, mais faut l’faire :))), sans jamais se rendre compte, apparemment, qu’ils avaient perdu une guerre de religion, (rien de moins, quand même!), s’étaient défait de la leur (le catholicisme) à la demande du vainqueur de l’autre camp, s’étaient soumis à la religion anglicane (par serment au pape anglican, c’est pas une blague) — mais, en même temps, sans adopter ouvertement cette religion. En tout cas sans le dire, sans… (y a une part d’énigme dans tout ça, faut admettre).
Auraient-ils adopté (exclusivement, dorénavant) la religion anglicane en toute inconscience de cause? C’est un non-sens. On ne peut, rigoureusement parlant, adopter quelquechose en toute inconscience de cause. Quoique, sous hypnose, quelquechose peut nous investir sans qu’on le sache (y a une part d’énigme, oui, vraiment).
Bref, consciemment ou inconsciemment, ils ont été godifiés.
Avec un grand ‘G‘.
Quand on dort dur, on dort dur.
On pourrait parler d’un shaftage subliminal vachement bien réussi.
Les laïcards québécois seraient donc de joyeux shaftés, à la fois contents et ignorants de l’avoir été (une saprée combinaison, faut le faire!), et toujours furieusement militants, shaftés-un-jour-et-maintenant-shaftant-compulsivement-à-leur-tour-tout-autour, enfonçant sans fin leurs clous neutralisants dans la psyché de la population dont ils font partie, — branchés, on dirait, sur une sorte de répéteur psychologique automatique, militants butés de charias chartes québécoises maniaques anti-signes-religieux, — ce militantisme buté correspondant, d’ailleurs, à une définition rigoureuse du mot “superstition“, qui, en gros, veut dire “ce qui subsiste inutilement” et, souvent, compulsivement.
Nos militants laïques ardents, nos humanistes avortants et euthanasiants, surtout ceux qui appartiennent vraiment corps et âme à l’espèce militante athéisante, sont, en fait, des supertitieux compulsifs qui s’ignorent.
Ça ne changera pas grand’chose de le constater, je pense — en tout cas à court terme — sinon dans la conscience de celui qui constate la chose, et c’est là que le moyen et le long terme prennent racine.
Ce que je dis dans ce qui précède ne devrait pas nous étonner :
« Les athées militants semblent trop sots pour s’en être aperçu : Le mot “athée” est un synonyme étymologiquement rigoureux du mot “obscurité”.
« Le mot “athéisme” est donc un synonyme étymologiquement rigoureux du mot “obscurantisme”.
« Étymologiquement, “athée” signifie “sans lumière“. Privation (“a” privatif) de “thée”, ou de “théos”, en grec.
« Or, toute la chaîne étymologique de mots comme “Dieu”, “Deus”, “Dios”, “Théos”, “Zeus”, etc. – et on peut remonter à des milliers d’années en arrière jusqu’au Rig-Veda ( “Dhyaus”, le Lumineux, “Brihat Dhyaus”, le “Vaste Lumineux” ) – toute cette chaîne étymologique lie le mot “théos” (le “thée” de “a-thée”) à la Lumière, sous quelque forme que ce soit, sur tous les plans de conscience, y compris “la lumière du monde” qui, incidemment, se dit “dyu” en hindi, et rappelle la lumière diamantine de la rosée du matin qui, en anglais, se dit aussi “dew” (“diou”), etc.
« Les ceucelles qui se proclament “a-thées” se proclament “sans-lumière“. Et sans cligner. ( C’est quand même bien de nous prévenir. )
« “Athéisme” et “obscurantisme” sont vraiment, et rigoureusement, synonymes. Depuis au moins des milliers d’années.
— Adapté de : Edith Piaf censurée au Québec : les racines védiques du mot et du concept de «Dieu». » — Cité dans l’article suivant : Donc, les croyants athées seraient plus intelligents que les croyants pas athées ..
Donc. Retour à mon article. Le pape anglican. Ou la papesse anglicane.
On l’a sous le nez depuis toujours. Dans toutes nos transactions. Entre autres. Entre le pouce et l’index (bein!). Sans le voir. «…Attendu que le Canada est fondé sur des principes qui reconnaissent la suprématie de Dieu…»
En fait, dans le préambule de la Constitution canadienne, que je viens de citer, il ne s’agit pas de Dieu, mais de God, le God anglican : En effet, il ne peut s’agir de Dieu, le texte français de la Constitution canadienne n’ayant pas force de loi, mais seulement le texte anglais.
Alors, on a vraiment été godifiés?
Je ne suis pas athée.
Je n’adhère pas à une religion mais je ne suis pas anti-religion ou anti-religieux.
Par ailleurs, j’ai une «pratique spirituelle» depuis très longtemps.
Ma mentalité est fortement marquée par l’influence du védanta.
Et je tiquerais d’ailleurs tout autant en présence d’une Constitution qui proclamerait “l’inexistence de Dieu”, ou toute proclamation du genre ( la croyance en l’inexistence de Dieu étant, de toutes façons, une croyance comme les autres, quoiqu’inutile à tous égards et fondamentalement éteignoire, — elle est aussi certainement, par nature, l’une des plus intellectuellement arbitraires qui soient et génère, elle aussi, ses propres excroissances fanatiques).
Ce que je veux dire aussi, c’est que je prends avec un gros grain de sel les États qui proclament l’exclusive “suprématie” d’un Dieu (“God”, en fait, dans la Constitution — c’est mêlant). Un God qu’ils affublent d’une “couronne” derrière laquelle ils se cachent, mine de rien. Une sorte de “Dieu” (God) qu’ils situent, de toute évidence, et exclusivement, en-dehors de nous. Voire en-dehors de tout. Alors qu’il est aussi toutes choses et surtout, aussi, qu’il est au coeur de chacun. Une sorte de Dieu à leur image qu’ils sont portés à singer (l’image), dont ils interprètent arbitrairement et secrètement, en petits comités, les “volontés” (attribuées à l’image), volontés dominatrices, contrôlantes, souvent polluantes, — tout en dénonçant des fondamentalismes politiques ou religieux soigneusement sélectionnés, d’ici ou d’outre-mer, et en protégeant ceux qui conviennent à leurs intérêts, incluant le leur propre. Tout ça au nom d’une appartenance à “God” ou à “G” et à une religion – la monnaie en témoigne où la papesse domine – la religion anglicane.
À ma connaissance, les autorités anglicanes n’ont jamais protesté contre cette omniprésence de leur pape sur la monnaie. Ni, non plus, nos laïcardents. Arnaqueurs, arnaqués, même combat.
De tels États courent toujours le danger de verser trop facilement dans une suprême bigoterie et, sans qu’on y fasse attention, dans le complexe de “Dieu (God) tout-puissant”, en s’y substituant. Et en singeant, par exemple, l’omniprésence divine, qu’ils invertissent en un contraire et une caricature cheap, à leur image, à la hauteur mesure de leur être, en montant une vaste farce obscurantiste, harcelante, gluante, collante, pillante, compulsivement contrôlante, par un espionnage systématique, omniprésent, maniaque, des populations, par des fouilles à nu dans les écoles, voire par le recours à la torture, etc. Souvent, mine de rien. Souvent, mine de tout.
Faut dire que même sans religion aucune, maints États, maints groupes, peuvent nous noyer dans une inflation psychique d’une forme ou d’une autre. Ce n’est pas une “manie religieuse”, c’est une manie humaine.
En scellant ainsi le Canada dans une religion en particulier, il est inévitable que l’on considère comme un crime ou comme un péché d’hérésie toute velléité d’indépendance de l’une des parties constituantes du pays du pays-religion. Et comment voulez-vous qu’on se comprenne quand le mot français «pays» est l’exact same word que dans l’expression anglaise «it pays» («ça paye»). On ne parle vraiment pas de la même chose — ou est-ce que God et Dieu n’expriment vraiment pas la même chose? Chose certaine, ils n’ont pas la même étymologie.
C’est dire qu’en dépit des apparences et des “superficies” de la perception courante, God et Dieu n’ont pas la même Histoire, du moins jusqu’aux “limites”, jusqu’aux confins de la psyché humaine, là où tout se transcende.
L’Histoire. Le père de l’amendement constitutionnel de 1982, dont on a cité un bout de préambule plus haut, Pierre E. Trudeau, proclamant cette «suprématie» du God de l’Église anglicane, ou du G franc-maçon, n’a-t-il pas déjà déclaré, devant le Congrès américain en 1977, que l’indépendance du Québec serait «un crime contre l’Histoire de l’humanité»?…
Il aurait tout aussi bien pu dire «..contre le doGme canadien».
Bref, encore une fois :), avez-vous jamais remarqué la présence du pape anglican sur la monnaie canadienne? Pas encore? Regardez comme faut, vous.. Ah! Vous plaisantiez..
On aurait tort de penser que ces représentations ne signifient rien.
Aucun élément, dans une Constitution ou sur une monnaie, ne signifie rien, n’est là pour rien, ou s’y trouve “par hasard”, y compris dans les préambules. Les préambules ne sont que rarement utilisés devant les tribunaux, ils sont généralement considérés comme n’ayant pas force de loi : les préambules traduisent l’action de forces d’ordre différent. Des forces que la plupart des gens ont tendance à ne jamais remarquer, même alors qu’ils les ont quotidiennement sous le nez …
En attendant, au Québec, le fondamentalisme athée laïcisant (généralement, et “étonnamment”, “souverainiste” – un terme qui, dans le contexte, ne manque ni d’ironie, ni d’ambiguïté) continue à faire la chasse aux prières d’une minute prononcées par des catholiques dans certains Conseils municipaux, comme à Saguenay.
Les jihadistes laïcards parviennent à faire condamner ces gens et ces institutions à des amendes de plusieurs dizaines de milliers de dollars canadiens à l’effigie du pape anglican, et au nom, en plus, de la liberté d’expression…
Vous aimez les contes absurdes? Servez-vous. Lire : Et si le maire Jean Tremblay, à Saguenay, s’inspirait de la Prière à Dieu, de Voltaire?
Guerre anti-religieuse menée par une mouvance fondamentaliste athée, ou (et) guerre de religion anti-catholique par proxys laïcisants et manipulés comme des ânes à ces fins, – ce que Lénine appelait, si justement, des «idiots utiles» ? En tout cas, on pourrait certainement parler d’aveugles utiles. Et dont l’inconscience active est de plus en plus lassante…
Beaucoup ne l’ont pas encore compris : la religion laïque est une religion, une religion en guerre contre d’autres religions. C’est pas moi qui le dis, ce sont des Francs-Maçons prestigieux, dont l’ex-ministre français, et maintenant député européen, Vincent Peillon(Wiki).
J’ai trouvé la vidéo ci-dessous sur ce canal : TheSnakez9 . Je l’ai vidéopressée. Au cazou.
Rappel (voir l’autre vidéo, plus bas) : Les “valeurs québécoises”, aussi dites “laïques” (la propagande péquiste amalgame les deux) sont transformées en dogmes à caractère religieux et proclamées sacrées lors de la campagne de propagande du gouvernement québécois de l’automne 2013 pour l’adoption d’une Charte de la Laïcité (dite “Charte des valeurs québécoises”). (Vidéo, plus bas.)
La Charte n’a pas été adoptée en 2014.
Le Parti Québécois (Pq) a perdu les dernières élections provinciales aux mains du Parti Libéral du Québec (Plq) qui, lui, fait surtout dans l’austérité (en évitant de la nommer par ce nom).
Mais la charte de la laïcité est toujours “dans les cartons” de certains députés, notamment du Parti Québécois, et le député péquiste Bernard Drainville, en 2015, a profité de l’affaire de Charlie Hebdo en France pour relancer pendant un temps la propagande et la campagne pour l’adoption d’une telle charte de la laïcité, et pour apporter aussi une modification à la Charte des droits et libertés de la personne du Québec (là, ATTENTION, SURVEILLER ! ) Lien : Charte des droits et libertés de la personne (la Charte québécoise) document pdf.
Tout ça, rappelons-le, dans un Québec “laïcisé” y a lurette. Je vous l’ai dit, ils sont compulsivement et superstitieusement sur l’automatique depuis des décennies.
La vidéo de propagande ci-dessous date de 2013; écoûter en ayant à l’esprit ce que dit l’ex-ministre français Vincent Peillon dans la vidéo précédente :
Tout ça finit par déclencher un irrésistible fou-rire. Inattendu.
C’est à la Caisse de Dépôt et Placement du Québec que feu Jacques Parizeau, — qui fut Ministre des Finances, Premier Ministre du Québec, et fondateur de la Caisse de Dépôt et Placement, — devait être exposé en “chapelle ardente” (c’est l’expression utilisée) après son décès survenu en juin 2015 — (“chapelle ardente“, c’est vraiment l’expression exacte utilisée par tous les massemédias cliqués sur internet).
Jacques Parizeau exposé en chapelle ardente (sic) à … la caisse de Dépôt et Placement (Le Devoir, 7 juin 2015)
« Par centaines, les citoyens sont venus samedi faire leurs adieux à Jacques Parizeau, qui s’est éteint à l’âge de 84 ans plus tôt cette semaine. L’ancien premier ministre était exposé en chapelle ardente sur le parquet de la Caisse de dépôt et placement du Québec, dont il a été l’un des bâtisseurs.
« La dépouille de l’ancien premier ministre est arrivée peu après 9 h samedi matin au siège de la Caisse de dépôt de placement. Les citoyens avaient déjà commencé à faire la file à l’extérieur. Ils ont afflué toute la journée pour se recueillir auprès de celui qu’on surnommait « Monsieur » et offrir leurs condoléances à sa famille et à son épouse Lisette Lapointe. »
Bref, on a déposé Jacques Parizeau à la Caisse, à la “banque“, comme un chèque ou un paquet d’fric. On a vraiment changé de religion et de lieu de culte.
Ou : Parizeau exposé et déposé en Caisse Ardente. Ou en Banque Ardente.
Voilà.
Une Banque Ardente où le fric est à l’effigie de la Papesse Anglicane, de la Couronne Britannique, et de la Chefferie Honoraire de la Franc-Maçonnerie britannique.
Ce n’est pas pour rien que le mouvement représenté par le Parti Québécois s’appelle “Souveraineté”-“Association“.
Je n’ai plus envie de rire.
Pour l’instant.
J’aimais bien Parizeau. Apparemment c’était pas réciproque, mais j’m’en fout.
Rappelons cependant que Saint André (le Frère André), lui, accomplissait de vrais miracles.
© Copyright 2011 Hamilton-Lucas Sinclair (Loup Kibiloki, Jacques Renaud, Le Scribe), cliquer
Canada, Québec, Ontario … un proto-totalitarisme souterrain persistant. – Canada : Pouvoir dérogatoire canadien et pouvoir dérogatoire hitlérien sont identiques. – Québec: la clause dérogatoire et la loi 204. – Collusion : Karl Péladeau à Hydro-Québec et la Loi Labeaume-Maltais (loi 204) — Milgram, la torture, l’abîme de l’obéissance. Les candidats sont légion. – Le danger d’être canadien, le danger d’être québécois – Avons-nous jamais vécu en démocratie? Pétitionne, trace ton x, cause toujours. – Le Petit x du vote: Acte de liberté – ou Pacte de soumission? – Nos démocraties: Liberté ou Soumission volontaire? – Documents de référence – La d’Habilitation nazie mars 1933, pouvoir dérogatoire québécois (1975), canadien de 1982. Essentiellement, les extraits pertinents de la Charte québécoise, de la Charte canadienne, et la Loi d’Habilitation allemande de mars 1933 au complet.
Arrêtez de raser les parterres et de massacrer les plantes sauvages. Plus de 500 espèces de plantes en danger au Québec. – Terrorisme domestique et destruction de potagers par les municipalités : Aux profits de quel lobby ? – Invasions de domiciles : Tout se passe comme si on voulait abolir la légitime défense.
L’avortement, le foetus, Morgentaler et la peine de mort : les holocaustes préventifs — Les femen et la Ressurgence de la symbolique nazi, cruelle, et totalitaire ( Petite chronique du chaos présent ) — Vers une harmonie d’enfer : harcèlement, faux viols, chaos du genre : Les fausses accusations de harcèlement sexuel devraient augmenter en France, stimulées par la Loi Belkacem de 2012. La théorie du genre dans la loi Belkacem de 2012. Québec : Bertrand Saint-Arnaud et la théorie du genre en catimini, une entrevue radio.
Les oeuvres de fiction de Jacques Renaud qu’on trouve sur ce blog : Le Cassé, la novella, avec les nouvelles; la vraie version originale et intégrale, la seule autorisée par l’auteur. — Le Crayon-feutre de ma tante a mis le feu, nouvelle. — L’Agonie d’un Chasseur, ou Les Métamorphoses du Ouatever, novella. La Naissance d’un Sorcier, nouvelle. — C’est Der Fisch qui a détruit Die Mauer, nouvelle. — Émile Newspapp, Roi des Masses, novella. — Et Paix sur la Terre (And on Earth, Peace), nouvelle. — L’histoire du vieux pilote de brousse et de l’aspirant audacieux, nouvelle – Le beau p’tit Paul, le nerd entêté, et les trois adultes qui disent pas la même chose, nouvelle — La chambre à louer, le nerd entêté, et les quinze règlements aplatis — La mésange, le nerd entêté, et l’érudit persiffleur – Jack le Canuck, chanson naïve pour Jack Kerouac, poème — L’histoire de l’homme qui aimait la bière Molson et qui fut victime de trahison – Loup Kibiloki ( Jacques Renaud ) : La Petite Magicienne, nouvelle; Héraclite, la Licorne et le Scribe, nouvelle.
Beaucoup de poèmes de Jacques Renaud ( Loup Kibiloki )
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