Jacques Renaud ( Loup Kibiloki ) : On trouve plusieurs de ses ouvrages de poésie, ou «suites poétiques», sur une autre page en cliquant ici.
J’ai placé quelques liens ci-dessous. On peut probablement en trouver d’autres en cliquant dans «Archives» ou dans «Catégories» (colonne de droite, sur le blog).
Beaucoup de poèmes de Jacques Renaud ( Loup Kibiloki ) :
La Colombe et la Brisure Éternité — La Toupie, la Ballerine et le Miel. — La Licorne, poème venu d’une blancheur médiévale — Toutes les terrasses du monde s’ouvrent sur l’infini. On va prendre un café ensemble. — Monologue de l’âme-soeur — Lettre d’eau ou J’ai assez vécu pour savoir combien j’ai voulu être ici — Vague de mémoire. Petit tableau d’été. — Du commencement à la fin ou L’Oupanishad de l’ Ignorance — From Beginning to End or The Ignorance Upanishad
Au bord des ruisseaux de l’amour — Un morceau d’or dans un caillou de rose
Une barque pleurer, barque triste, papillon à voile. — La clé du Réel est qu’il n’a jamais été cadenassé — Les Oiseaux qui fascinent. Crépuscule et fin d’été. — Le pas noir et profond des racines qui marchent — Le pas du temps — Les pissenlits battent dans le coeur de l’écureuil –
Hommage au Loup Blanc. — Cristal de gloire — Les lignes tracées par l’or et le sang traversent tous les coeurs — Dans son silence de soie brune, le loup-cervier — La branche qui parle et le loup-cervier — Orange carrée — Cubic orange or arc-en-gel — Orange pelée, caillou collant — Poème pour Nathalie – La fable du poème au fil de l’eau —
All café-terrasses are vistas on infinity. Let’s have coffee together. — A little sleep, you’ll hear a little voice — Comme une bombe d’eau means like a water bomb —
La logique est une muette qui ne cesse de nous faire signe — Dans une trappe de trolls — Comme une pincée d’or au milieu des ténèbres, la vie croissait — Un enfant naît, le pouce aux lèvres, les yeux conscients — L’oiseau prend proie — L’indicible demeure — Une araignée d’étoiles. Stars, and a Spider — Les loups et la naissance de ton armée — Les pistes instantanées des sillons d’éclairs — La Terre va te manger ou Les cellules s’excitent avant l’explosion — Dormir conscient, les yeux fermés, le son qui vit — L’immensité qui déambule —
Filez filez, ô mon navire. Une variante maison et l’original de 1844 — Le plaisir éclatait dans tes cils — L’envol des hirondelles. Comme un bruissement d’eau qui ruisselle. — L’Avenir sur une île comme un navire échoué — L’heure est au silence du soleil — Je vends l’ode au détail — Dans la grande paix de l’été (Dans la grande paix du ciel transplutonien) —
L’unique dame de la nuit — Trois barques de pêcheurs sur l’armure de la mer — Rien n’est plus doux qu’un grand écueil où la folie enfin repose — Chiffre secret enfoui dans la galène — Toutes les lignes sont vives et se lisent — L’Art par le feu — C’est la dégustation qui nous articule et nous prononce — La pluie, de ses dents rondes et bleues — La bardane et le fer — Celle qui garde la rhubarbe sauvage — Le long d’une rivière nommée Sauvage —
Les pieds noirs de terre — Dans l’evening pétillant des néons cramoisis — Le néant, la foule et ses masques — Elle joue aux billes, aux bulles, aux boules et aux étoiles — Les gigues millénaires tonner — Ode à la Dame au Lys — Toi qui seras Orphée, un fleuve ornera ta lyre —
Ève, fille des mers — Un ciel, un creux, un abîme — Les Délirantes. Poème apocalyptique à saveur médiévale. — L’enfant de Récurebourg. Mémoire lointaine — Mon âme est un enfant qui pleure. Courte prière et court poème. —
Dans mes cellules d’opale et de lune (Shiva Moon) — Shiva Bruisse — Le Sourcil de la Montagne — Shiva’s Gift to a Wolf
D’autres à venir.
© Copyright 2011 Hamilton-Lucas Sinclair ( Loup Kibiloki, Jacques Renaud, Le Scribe ), cliquer
Jacques Renaud est-il toujours vivant?
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Oui. ( La plupart du temps )) Bienvenue à vous sur le blog.
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