Hystérie et accusations d’agressions sexuelles au Québec
Le Québec féministe en transe funèbre
Étrange
Octobre 2017. Crise mimétique.
Gros buzz féministo-massemédiatique au Québec dans la foulée de l’affaire du producteur américain Harvey Weinstein aux États-Unis.
La même sorte de chasse aux mâles, notamment «alphas», au moment où j’écris ces lignes, semble maintenant se dérouler aussi au Royaume-Uni.
Dans pratiquement tous les cas, les mâles massemédiatiquement accusés battent leur coulpe. Ce n’est pas sans rappeler la psychologie des fameux “Procès de Moscou“.
Difficile, aussi, de croire que tout ça arrive “par hasard”.
Le Régime Féministe qui domine le Québec depuis des décennies abat les mâles dominants et frappe un grand coup. Avant de s’attaquer bientôt à ces masses d’hommes déjà soumis sans rémission, obéissants, les hommes féministes, les white knights, les manginas flagorneurs, les idiots utiles du Régime Féministe, et tenter de consolider encore plus la mainmise “féministante” sur leurs émotions, leurs esprits – ou ce qu’il en reste.
C’est la guerre. Exagéré ?
Note: La plupart des illustrations proviennent de l’émission Tout le Monde en Parle, 22 octobre 2017. Vidéos en fin d’article. On dénonçait deux “mâles dominants” québécois pour “harcèlement sexuel”.
Exagéré de dire « c’est la guerre» ?
Un rappel avant de retourner aux têtes d’enterrement : On oublie trop souvent que le féminisme est explicitement génocidaire. Et ce, depuis longtemps.
L’article que vous lisez date du 24 novembre 2017. Encore tout récemment, 29 décembre 2017, Emily McCombs, rédactrice en chef du HuffPost, appelait, littéralement, sur Twitter, à tuer tous les hommes ( kill all men ). Elle n’est pas la seule. Cette dangereuse imbécile a tenté ensuite de faire disparaître le tweet. Les archives internet l’ont conservé (cliquez). J’en ai fait une saisie d’écran :

Tuez tous les hommes. Kill all Men. — Emily McCombs Verified account @msemilymccombs New Year’s resolutions: 1. Cultivate female friendships 2. Band together to kill all men — 1:41 PM – 29 Dec 2017
Ce n’est pas un cas isolé. Si vous avez le coeur solide, jetez un coup d’oeil à cette vidéo (cliquez). Si vous pensez qu’elles s’en tiennent au meurtre de masse par avortements, vous dormez au gaz.
Nous sommes en guerre ? Oui. Ci-dessous, un extrait de : « Le féminisme est un humanisme », disent-ils. L’Écho rétorque : « Le féminisme est un néo-totalitarisme liquéfiant. Vous êtes saouls, ou quoi?»
« N’oubliez jamais que [les féministes] sont des avorteuses et des avorteurs. Que l’avortement est un meurtre au premier degré (interruption volontaire de grossesse). Et qu’on entend des appels au meurtre des mâles, notamment des mâles Blancs. Notamment sur internet. C’est toujours là. Oui, YouTube censure de plus en plus – mais pas ça.
« Chercher “Kill All Men”, #KillAllMen, etc., sur internet. Sur Youtube. […] Les signaux existent depuis très longtemps. Des féministes, mâles et femelles, prônent le génocide des mâles, sous une forme ou une autre, depuis des décennies. Notamment ces têtes d’affiche femelles du féminisme : Valerie Solanas ( The S.C.U.M. Manifesto, 1967-1968). « Sally Miller Gearhart ( The Future–If There Is One–Is Female, 1982). « Mary Daly ( No Man’s Land), Andrea Dworkin, Julie Bindel.

«Allez-y, faites-moi jouir, massacrez-moi ces mâles. Et ensuite, cette masse d’idiots utiles: les manginas, les hommes féministes. » Sally Miller Gearhart, féministe lesbienne et génocidaire. Elle a contribué à mettre sur pieds les «Études de Femmes» (Women’s Studies aux États-Unis).
« Par exemple, rien que Sally Miller Gearhart : «Il faut réduire la proportion des hommes à 10% de la race humaine et l’y maintenir» ( «The proportion of men must be reduced to and maintained at approximately 10% of the human race») — tiré de L’avenir, s’il y en a un, est femelle, 1982 ( The Future–If There Is One–Is Female, 1982).
« Pour ça, il faut évidemment éliminer 90% des mâles. Ou comme je disais : « Le féminisme est un néo-totalitarisme ».
« Lisez Hannah Arendt, Les origines du Totalitarisme – et ce qu’elle dit de la nécessité, de l’inévitabilité, pour ces régimes, de tuer beaucoup, voire massivement.
« «Hannah Arendt caractérise le totalitarisme», notamment, par le fait qu’il prône et qu’il entraîne « l’extermination des groupes humains qui sont censés entraver la réalisation de ce but». «La domination totalitaire tend [aussi] à éliminer toute spontanéité humaine en général, c’est-à-dire toute liberté.» (Source: L’État totalitaire analysé par Hannah Arendt.)
« On ne peut pas dire qu’on a pas été prévenus. »
De dire que «c’est la guerre» n’est pas exagéré.
Les auteurs féministes qu’on vient de citer n’ont jamais été condamnés par les féministes, ou féminazis, ni leurs écrits, ni leurs appels au meurtre de masse contre les hommes, ni les appels à l’emprisonnement massif des mâles dans des camps de concentration, etc. Ça circule toujours. C’est toujours lu. Depuis des décennies. Depuis bien avant le massacre de Polytechnique à Montréal (et il est légitime de se demander dans quelle mesure ces écrits féministes sordides ont pu provoquer ce massacre).
Les féministes, qui dominent dans les champs d’éducation depuis longtemps, connaissent ces auteurs déments, génocidaires. Ils ont fortement influencé leur mentalité et leur enseignement. Décennies après décennies. Ça n’a pas cessé de se répandre. On est en 2017. Bientôt 2018.
Récemment, en novembre 2017, un humoriste québécois, Guy Nantel, reçoit des menaces de mort. Elles sont faites par un mangina, un white knight, au nom du féminisme.
Le white knight est présentement derrière les barreaux. On l’a échappé belle. Effectivement, il avait des armes à feu.
Un blogueur québécois, Jean-François Guay, s’étonne du silence des hautes-parleuses féministes québécoises :

Manon Massé (à gauche), lesbienne et féministe militante, député du parti Québec Solidaire à Québec. À droite, Gérard Deltell, un homme politique québécois présentement député au Parlement Fédéral, à Ottawa. Vers 2014. (Source, Radio-Canada.)
«Je trouve assourdissant le silence des Manon Massé ([Québec Solidaire]), Martine Delvaux, et autres « féministes » [québécoises] qui dénoncent tout, tout le temps : trouveraient-elles donc acceptable que l’on veuille tuer au nom de leur idéologie?» (– Féminisme: Permis de tuer!)
La réponse à la question assez étonnante de Jean-François Guay est évidemment : oui.
D’autant plus qu’au moins l’une des femmes mentionnées par Guay est une lesbienne féministe militante, comme le sont Sally Miller Gearhart ou Julie Bindel, mentionnées plus haut, et comme bien d’autres.
Cette réponse affirmative à la question posée est connue depuis très, très longtemps. À moins que Manon Massé ne dénonce les intentions génocidaires des féministes prestigieuses mentionnées plus haut. Et elle ne l’a jamais fait — et je ne pense pas qu’elle le fasse jamais, à moins qu’elle ne soit acculée à le faire. Et au Québec, en Régime Féministe en plus, ça m’étonnerait que ça se produise. On verra..

Dupont : «Mon cher Dupond, je pense que nous shommes suivis..» Dupond : «Je dirais même, je dirais même plus, moi aussi je pense que, mais vous vouliez sans doute dire “nous sommes suivis”, et non pas “nous shommes suivis…» Dupont: «Hum?.. C’est reposant, la télépathie, surtout quand tout l’monde parle.» Dupond: «Je dirais même, je dirais même plus, mon cher Dupont: c’est peinard.» Dupont: «Oui. Mais, heu.. Nous shommes bien des mâles, et de race blanche en plus, non? » Dupond: «Je dirais même, je dirais même plus.. heu.. qu’avez-vous dit, mon cher confrère?» Dupont: «Rien. Ne vous retournez pas, mon cher Dupond. Je vous ai dit : je pense que nous shommes suivis.» ( Saisie d’écran, Tout le Monde en Parle, 22 octobre 2017, Radio-Canada.)
On a évidemment mentionné Harvey Weinstein durant l’émission TLMEP.

« Moi aussi, moi aussi, moi aussi. » Harvey Weinstein sexuellement harcelé, vraisemblablement par trois futures dénonciatrices… (Les choses n’étaient pas présentées sous cet angle à l’émission de TLMEP du 22 octobre 2017.)
On a rayé le mot «flirt» du vocabulaire.
On l’a remplacé par des expressions comme «harcèlement sexuel», «agression sexuelle», «viol», etc.

Najat Vallaud-Belkacem, notamment, a fait adopter en 2002 une loi, en France, sous Hollande, contre le «harcèlement sexuel» (le mâle, mais pas le femelle). Ou: «Maintenant faudra payer l’amende pour les regarder, a fortiori pour les toucher.. C’est d’ailleurs pour ça que je les montre. Je m’entraîne. 30 000 euros d’amende et 2 ans de prison pour harcèlement sexuel si vous regardez plusieurs fois, et surtout si vous me souriez après coup. »
Le flirt mâle (le «harcèlement sexuel» mâle) est naturellement à forte dominante active. Depuis la nuit des temps.
Le flirt femelle (le «harcèlement sexuel» femelle (quoi?!?)) est naturellement à forte dominante passive. Depuis la nuit des temps.
On a fait des lois qui criminalisent exclusivement le «harcèlement sexuel» actif, c’est-à-dire mâle..
En d’autres termes, on a fait des lois qui criminalisent les hommes partout, notamment sur le marché du travail, dans les bureaux, etc.
Les femmes provoquent l’excitation sexuelle de mille manières, sciemment, sans dire un mot. C’est leur forme de «harcèlement sexuel» — (puisqu’il faut appeler ça comme ça maintenant – les féministes avilissent tout ce qu’ils touchent) — et ce harcèlement est, par définition, constant, ininterrompu. Le jansénisme féministe, c’est-à-dire l’hypocrisie féministe, a perverti les relations entre les hommes et les femmes, il les a empoisonnées.

En France. Exemple. «Si j’en entends un seul dans l’bureau dire qu’il aime caresser l’épiderme bleu du ciel et voir glisser les nuages blancs qui y flottent sous un soleil doré, il peut dire adieu à ses vacances, c’est 2 ans de prison et 30 000 euros d’amende. Fini le harcèlement!»
Ce comportement des femmes, et le “harcèlement” exhibitionniste passif qui les caractérise, n’est jamais remis en question, seul le comportement mâle est criminalisé.
Les féminazis ont imposé aux mâles le port de l’étoile jaune.
On peut être assuré qu’elles iront plus loin.
En fait, en un sens, le harcèlement sexuel femelle est devenu de plus en plus ouvertement et impunément actif au fil des décennies, on pourrait aussi dire ça, il s’est en quelque sorte “mâlifié” au détriment des hommes.
Ça aussi, ça fait partie des tactiques de guerre féminazis. Il faut être sous hypnose pour ne pas le voir, ou le savoir :
« Je me souviens, dans les années 1980s, à Montréal, au Québec, d’une connaissance, une jolie femme, qui jouait, avec d’autres femmes, à séduire sexuellement leur médecin respectif, et elles en parlaient ouvertement en détails comme de leur nouvelle robe.
« Même chose dans les universités : les totoches séduisent les chargés de cours ou les prof mâles pour obtenir de meilleures notes. La fellation et la sodomie, apparemment, rapporteraient beaucoup.
« Dans 95% des cas, c’est ce genre de femmes qui crient, souvent des années plus tard, #MeToo ou #MoiAussi (un hashtag typiquement mimétique et infantile – âge mental ? kindergarten) et qui font les dindonnettes pour attirer l’attention. La notoriété. Si possible le fric. Avec des airs de saintes-nitouches et de victimes. Et de l’humidité sur les joues. Très fortes à ce jeu. »
Ce à quoi on assiste présentement, et dont l’émision TLMEP est une représentation parmi d’autres, semble perçu “au premier degré” par la masse des gens. Pour d’autres, c’est un épisode de plus issu de l’activisme de la cabale féministe.
À un degré supérieur, à un “deuxième degré” qui ne semble être perçu que par une minorité de gens, on assiste, par rapport à l’ensemble de cette crise mimétique nord-américaine, et même européenne apparemment, à une sorte de “saut qualitatif” du Régime Féministe.
On vivrait présentement une étape importante dans la consolidation de ce Régime Féministe: le remplacement de plus en plus poussé, par des femmes, des mâles qui occupent des postes importants. Des mâles souvent féministes eux-mêmes et qui occupent des postes de commande, des mâles qui sont, pour la plupart, prospères, des mâles prestigieux dans leur domaine d’activités, et même au-delà de ces domaines, etc., et qui ont souvent, par “solidarité féministe”, co-opté les femmes qui maintenant les dégomment en les humiliant. Des années plus tard.
Depuis des décennies, les femelles, sous la poussée du féminisme (que cette poussée soit le fait d’hommes féministes ou de femmes féministes), envahissent graduellement le marché du travail, les institutions, etc. Les normes d’admission sont révisées à la baisse pour accomoder les femmes, ce qui, en passant, entraîne forcément un affaiblissement dans l’ensemble de l’économie. Quoi qu’il en soit, le féminisme, de plus en plus, dicte ses volontés, ses caprices, ses délires, et chasse les hommes.
“L’espace social” est maintenant suffisamment saturé de femelles pour qu’elles commencent à éprouver une sorte “d’ennivrement par le pouvoir”, une hybris, et pour qu’elles se mettent à dicter de plus en plus ouvertement, à imposer plus que jamais, avec un mélange de mesquinerie et de vindicte fanatique, nourrie de propagande, leurs peurs (du pénis), leurs hantises (du pénis), leur horreur (du pénis), leurs caprices (autour du pénis), leurs désirs (de pénis), leur haine (de pénis), leurs lois (contre le pénis), leur dépit (clithoridien), leur chaos mental contradictoire, irrationnel, sans structure nette, sans frein, etc. Des trous noirs.
Un certain degré de hybris animait vraisemblablement des gens comme Gilbert Rozon, justement, ou Éric Salvail, ou peut-être Gilles Parent.
Les féministes accèdent de plus en plus au même délire de pouvoir, au même champ de la hybris, mais cet alcool est trop fort pour elles — on le sait, elles supportent moins bien l’alcool que les hommes. Les p’tites femelles qui leur collent aux fesses, en-dessous, et les p’tits mâles manginas qui leur lèchent les orteils, n’ont qu’à bien se tenir, car les premières en obtiendront de moins en moins à partir d’un certain point, et les seconds, à partir du même point, se verront bousculés dans l’fossé avec un mépris, cette fois, ouvert: la société québécoise est probablement en train de tomber de Charybde en Scylla, et selon moi, ici, Scylla s’avèrera pire que Charybde.
Chose certaine, les matrones au pouvoir accompliront le couronnement de l’étouffement politique et social déjà en cours et qui est le fait de leur influence maniaque grandissante depuis près d’un siècle. Il ne faut pas désespérer : Rome ne s’est pas écroulée en un jour.
La liquéfaction fortement fermentée de la société, par la présence grandissante du pouvoir femelle mis en place par le féminisme, fait probablement, présentement, un important saut en avant par cette élimination poussée des mâles dominants.
Dans la mesure, bien sûr, où un liquide peut faire un saut. (Notons cependant que certains liquides peuvent sauter. Comme la nytro-glycerine.)
Le Patriarcat se désagrège. On se rapproche sans doute de la chute mortelle de l’édifice.
Ce qui signifie la fin de la société rationnellement organisée, ou patriarcale. Les choses tiennent en un tout — et elles se désagrègent également en un tout.
D’où ces têtes d’enterrements, notamment chez les femmes ?
Je le pense.
Pourquoi?
L’une des raisons, à mon avis : Ce que ces femmes, saisies à l’écran (et qui, à mon avis, sont très représentatives), sentent confusément, plus encore que la masse des manginas, ou des oedipiens (ces deux groupes mâles se confondent la plupart du temps), c’est que lorsque le patriarcat sera terrassé, qu’on l’ait aimé ou pas, ces femmes ne pourront plus réclamer quoi que ce soit : il n’y aura plus rien, plus de structures patriarcales cohérentes et fonctionnelles, pour leur donner ou leur céder quoi que ce soit.
Les manginas, les oedipiens, ne pourront évidemment leur donner ce que, essentiellement, les mâles dominants pouvaient procurer aux féministes et aux femmes.
Toutes les structures d’État qui protègent et gavent les femmes de toutes sortes d’avantages sont issues du patriarcat. Les “femmes de pouvoir”, les matrones qui miment tant bien que mal les mâles, ne pourront, quant à elles, que donner aux femelles des tranches ou des pointes de matronarcat. De l’ersatz de dépouilles patriarcales. Les structures patriarcales dominées par des femmes ne sont plus patriarcales. Les matrones, à travers ces anciennes structures “patriarcales” liquéfiées, ne pourront donner aux femelles que ce que des femelles peuvent produire ou donner : une liquéfaction plus poussée encore.. Mais ce que les femelles, voudront, et voudront encore, ce sont des pointes et des tranches de patriarcat..
Ce sera les femmes contre les femmes. On peut déjà voir la chose se dessiner, observez bien la scène publique. Ce ne sera ni Vivaldi, ni Beethoven, ni la philarmonie. La trame sonore de la fiction féministe ultime ressemblera plutôt à du pataugeage rap dans de la bouette rosâtre, ponctué de cris aigus.
Entretemps, nous avancerons de plus en plus en pleine fantasy fiction. En plein surréalisme. Dans un climat déréalisant croissant qui, déjà, ressemble de plus en plus à une société caractérisée par une dissonance cognitive généralisée. Une sorte de guerre de tous contre tous.
Le véritable pouvoir mâle, lui, sera ailleurs pour un temps, et insaisissable. Le véritable pouvoir mâle résidera dans ce qu’on pourrait appeler l’ensemble mgtow, issu de l’immanence. Et mgtow agira à son gré.
Heureux les mgtow qui, pour un temps, auront eu ainsi la sagesse de se tenir à distance respectable de cet immense nid d’coucous socio-politique qui ira s’étendant.
Par ailleurs, comme on l’a dit, les manginas, arnaqués par le féminisme, ne seront d’aucun secours aux femelles également arnaquées par le féminisme (ce que les femelles sentent déjà d’instinct)…
D’où ces têtes d’enterrement des femelles à l’émission TLMEP ? Fort possible.
Au plus profond des êtres gît et agit la réponse. Qui la reçoit ?
Ordinairement, quand on a bien agi, on se réjouit. Quand on est victorieux, on rayonne.
Et c’est le contraire qu’on voit. On a l’impression d’hommes et de femmes qui sentent, sans le réaliser clairement, apparemment, qu’ils se tirent dans le pied, se sont tiré dans le pied, et ne pourront s’empêcher de continuer à se tirer dans le pied. C’est la définition même de ce qu’on appelle une tragédie.
Les femmes hériteront d’un chaos qu’elles auront largement, elles-mêmes, produit, fêté, amplifié.
Ou plutôt, elles seront dominées par le chaos qu’elles auront produit de par leur nature laissée sans guide et sans frein. Dominées par une sorte de vide, de néant, de flou, et de rages absurdes et soudaines, typiquement femelles.
Car à la fin il n’y aura plus rien à engouffrer dans le trou noir de l’insatiable et irrationnel désir femelle sans contrôle, sans tutelle. Je pense que Freud avait raison : l’envie de pénis domine les femmes, et ce désir, laissé sans balises nettes et sans frein, ne pourra jamais être comblé. Ce désir est sidéral. À l’image des trous noirs.
Les femmes seront submergées et soumises au résultat de la destruction liquéfiante qu’elles auront engendrée en se laissant entraîner, souvent avec enthousiasme, dans le piège du féminisme. Sans qu’elles puissent jamais acquérir le patriarcat pénis. Évidemment. Ni même le Phallus. Ça va de soi, comme dirait Brassens.
Ce ne sont jamais les femelles qui construisent les civilisations ou les sociétés rationnellement organisées. Ce ne sont jamais les femelles qui reconstruisent, non plus, quelquechose quand les sociétés ou les civilisation s’écroulent. Ce sont les mâles. Généralement une armée de mâles célibataires.
Ceux qui “reconstruiront”, ou redonneront des balises, seront vraisemblablement issus du mgtow. Ils seront de tous âges. Ils auront appris beaucoup.
Et ils imposeront leurs conditions.
Cette nouvelle société sera très différente de la société actuelle.
Au fur et à mesure qu’avance le Kali Yuga, les choses n’ont pas tendance à s’améliorer mais à empirer. Avec parfois de courtes pauses. Mgtow devra être à la hauteur. Ça dépendra de leur capacité de hauteur.
Seuls ceux qui accéderont à la conscience spirituelle, à la conscience d’une conscience nouvelle sur terre, profiteront vraiment de la catastrophe, qui se déroule et s’amplifie de toutes parts, en comprenant le sens des changements qu’elle entraîne.
À l’écart des délires femelles, féministes, genristes, trans-humanistes, robotisants, une nouvelle espèce est d’ailleurs déjà née sur terre.
Heureux ceux qui sentent la présence agissante de cette conscience nouvelle en eux.
Tout comme la Guerre Froide était une guerre, la guerre que mène le Régime Féministe contre les mâles, mais aussi contre les femelles, contre les hommes, mais aussi contre les femmes, est une guerre. Ne vous y trompez pas.
Les clips vidéos pullulent sur internet au sujet de “l’affaire” Éric Salvail, sur Gilbert Rozon, ou Gilles Parent, ou Sylvain Archambault.
Un éditeur montréalais, Michel Brûlé, a aussi été ajouté à la liste des «monstres mâles».
L’éditeur Michel Brûlé a notamment publié l’ouvrage de Jean-Philippe Trottier, Le Grand Mensonge du Féminisme, en 2007…
En 2010, Jean-Philippe Trottier a publié un texte dans une brique antifémiste québécoise décapante (qu’on devrait laisser circuler gratis en format pdf sur internet – l’ouvrage est épuisé): 300 000 femmes battues – y avez-vous cru ?
D’autres noms pourraient être jetés en pâture au public.
Les féminazis, en bons agents du néo-totalitarisme féministe, tiennent des listes, de toute évidence.

Faces de carême. Têtes zomboïdes. La blonde serait une journaliste féministe du nom de Katia Gagnon. À gauche, en premier sur la photo, une autre journaliste du Québec, Stéphanie Vallet. Troisième à partir de la gauche, ça semble être le co-animateur de l’émission – d’après mon visionnement d’un enregistrement de l’émission ( reproduit en fin d’article). ( Saisie d’écran, Tout le Monde en Parle, 22 octobre 2017, Radio-Canada.)
Je n’ai pas de téléviseur et je n’achète jamais de journaux depuis près d’une vingtaine d’années. Je prends le poulx en observant autour de moi. Et à travers l’internet. Je fais des recoupements. J’ai lu, je lis encore parfois des livres. Quand j’ai le temps.
Ce qui fait que la presque totalité de ces gens qui apparaissent sur les saisies d’écran de l’émission TLMEP du 22 octobre 2017 me sont étrangers. Je ne les connais pas. Certains noms mentionnés me viennent de l’écoûte de l’émission. En fait, c‘est ce qui se reflète sur leur visage qui me frappe, et c’est essentiellement ce qui inspire cet article. Au départ, en tout cas.

Une mater dolorosa en prière. Que prie-t-elle? Dieu sait. L’Diable s’en doute. ( Tout l’Monde en Parle. )
Un hashtag qui témoigne de la crise mimétique est apparu (“tout le monde” le connait maintenant) : #MoiAussi.
Ce hashtag mime et traduit le hashtag étatsunien #MeToo qui est apparu au moment de l’affaire Harvey Weinstein; meatouzes et moissies, même délire, même combat.
On croit entendre «moi-aussi-yohou-j’ai-été-sexuellement-agressée-harcelée-par-lui-regardez-moi».
Très infantile.
À part les vrais cas de viols, qui sont vraisemblablement peu nombreux, attendez-vous à une avalanche d’affabulations propres à ces crises mimétiques.
Les têtes de totoches “abusées” popent, et vont poper encore l’une après l’autre comme des poupées à ressort.
Le hashtag mimétique “MoiAussi” est du même niveau mental que le hashtag #JeSuisCharlie (“moi aussi je suis Charlie”).
Les deux hashtags sont des «me too», des «moi aussi», des mantras mimétiques.
Je ressers le hors-d’oeuvre. Une image vaut mille mots. Histoire, aussi, de provoquer un peu de dissonance cognitive chez les vaginaux (manginas), les oedipiens, les mâles féministes, etc.

« Moi aussi, moi aussi, moi aussi. » Harvey Weinstein sexuellement harcelé, vraisemblablement par trois futures dénonciatrices…
Les femmes sont des enfants exhibitionnistes qui en “veulent” elles aussi. Quoi? La “même chose” que “l’autre”.
Le désir mimétique, qui s’exprime dans des mantras obsessionnels comme #JeSuisCharlie, #MeToo, #MoiAussi, engendre la rivalité mimétique.
La rivalité mimétique est inhérente au désir mimétique.
C’est la raison pour laquelle un très, très grand nombre (incalculable, rigoureusement parlant), de greluches qui crient «me too !» ou «moi aussi !», mentent. Pour obtenir le “même”. Pour être “comme”.
La plupart de ces femmes qui ont crié “moi aussi !” savent qu’un très grand nombre d’autres femmes ont menti, soit en inventant tout, soit en transformant un incident mineur en drame majeur et, pour cette raison, haïssent ou méprisent l’ensemble des femelles qui crient, elles aussi, «moi aussi!». Non seulement elles savent que la majeure partie d’entre ces femmes mentent (comme elles), mais elles sont, en plus, en concurrence avec elles.. Drôle de cocktail. Molotov ?
Le phénomène de crise mimétique s’applique autant aux hommes très fémininisés qu’aux femmes: Éric Salvail, contrairement à Gilbert Rozon, à Gilles Parent, ou à Sylvain Archambault, est homosexuel. Le “harcèlement sexuel” de Salvail a, pour objet, des mâles.
Chose certaine, ces hashtags mimétiques en disent long sur l’âge mental des accusatrices ou des accusateurs qui popent l’un(e) après l’autre dans la bulle publico-massemédiatique comme autant de petits champignons rouges.

Et ça continue. Mortifère. ( Saisie d’écran, Tout le Monde en Parle, 22 octobre 2017, Radio-Canada. )
Faces de carêmes. Atmosphère de pompes funèbres.
Les saisies d’écran parlent d’elles-mêmes.
Frappant.
Ce n’est pas une victoire, c’est un enterrement.
Comme si les “enterrés”, les “exécutés”, c’étaient elles et, en plus, tous ces hommes possédés par le lavage d’esprit féministe qui se torturent moralement en se livrant à d’interminables mea culpa («par ma faute, par ma faute, par ma très grande faute, car je suis cette chose horrible, un mâââle..»).
Délire janséniste. Climat sado-maso. Pénible à voir. Pénible à entendre.
Vers une harmonie d’enfer : harcèlement, faux viols, chaos du genre
Le mythe de l’égalité homme-femme – le féminisme et la calculette
La plupart des illustrations sont des saisies d’écran faites à partir de vidéos de l’émission Tout le Monde en Parle du 22 octobre 2017 à Radio-Canada.
Ces vidéos sont reproduits en fin d’article.
La première vidéo porte sur l’affaire Éric Salvail.
La seconde, sur l’affaire Gilbert Rozon.
L’essentiel des saisies d’écran de cet article apparait vers la toute fin de la vidéo sur l’affaire de harcèlement sexuel reliée à l’animateur-vedette Éric Salvail.
Éric Salvail, un homosexuel, serait une vedette massemédiatique très populaire, et en même temps, aussi, un entrepreneur. Tout comme Gilbert Rozon, notamment.
C’est le genre d’individus qui ont du leadership. Ce sont des créateurs et des catalyseurs de l’économie.
Le Régime Féministe, qui s’est mis en place graduellement au Québec depuis plusieurs décennies, cherche à éliminer les mâles des postes de commande. Pour prendre leur place.
Les accusations de “harcèlement sexuel”, “d’agression sexuelle”, qu’elles soient fondées ou pas, sont des prétextes.
Le pouvoir mâle construit et maintient les sociétés. Le pouvoir femelle les liquéfie. Les invasions barbares les liquident.
De cycles en cycles, les détails changent. Les grandes lignes demeurent.
Nous sommes en phase diluvienne avancée. Il y aura peut-être des “reculs” temporaires. Mais ils ne seront que ça, temporaires.

Pénible. Mortuaire. Ces gens semblent intérieurement morts. ( Saisie d’écran, Tout le Monde en Parle, 22 octobre 2017, Radio-Canada.)
Ces gens semblent imprégnés d’une sorte d’invisible corset funèbre.
La dénonciation ne les en libère pas, semble-t-il, elle les y emprisonne.
Elle les y étouffe.
Comme si une sorte d’égrégore invisible, sombre, lourd, pesait sur elles et sur eux et qu’ils s’y abandonnaient. Inconsciemment (pour la majeure partie d’entre ces gens, certainement).
On dirait qu’ils sont plongés dans une sorte d’état de stupéfaction.
L’impression d’ensemble est qu’ils ne sont pas dans un studio de télévision mais dans le temple d’une secte (c’est peut-être la même chose).
Rassemblés pour une sorte de cérémonie funèbre.
Quand les mères de mort dominent invisiblement la psyché
L’avortement, le foetus, Morgentaler et la peine de mort : les holocaustes préventifs
Des femmes, des féministes pour la plupart, accusent leurs anciens patrons d’agression sexuelle… des années plus tard. Les hommes accusés contribuent à la vie économique de Montréal, du Québec, souvent aussi à l’étranger.
Essentiellement, ces boucs émissaires sacrifiés sur la place publique sont des mâles de type « alpha». Des leaders.
Le Québec, qu’on considérait comme déjà très matriarcal bien avant le Révolution Tranquille des annés 1960s, c’était du gâteau pour les féministes.
Le Québec est facilement tombé en Régime Féministe. Les femmes dominent plus que jamais. Une sorte de “jansénisme athée” domine. Et Big Sister is watching you.
Les #mgtow ( Men Going Their Own Way) se multiplient, même s’ils ne connaissent pas le sigle “mgtow”.

Mimétisme de la Mater Dolorosa. Au bord de la sempiternelle pleurniche. Vont-elles finir par sortir de ce cirque ridicule ? ( Saisie d’écran, Tout le Monde en Parle, 22 octobre 2017, Radio-Canada.)
TLMEP, 22 octobre 2017. Une assemblée de pénitentes et de pénitents. Puritains et puritaines. Visages funèbres.
Le “jansénisme” s’est perpétué dans une société laïco-athée et qui a perdu contact avec son identité de Canadien-français et surtout avec l’âme canadienne-française.
Rappelons un fait historique, à savoir que le haut clergé catholique a toujours combattu le jansénisme.
C’est un fait historique.
Et c’est un fait historique qu’il a perdu la partie ..
Le “laïco-athéïsme” québécois, et le féminisme, semblent avoir repris le flambeau l’éteignoir de cette tendance sombre, punissante et self-punissante, sado-maso, qui caractérisait et caractérise encore ce qu’on a appelé, en gros, le comportement «janséniste».
Rappelons aussi que les jésuites ont toujours combattu le jansénisme. Entre eux, c’était guerre.
Ce n’est pas pour rien que les jésuites ont si souvent mauvaise presse ou mauvaise réputation chez nous: nous vivons dans une société janséniste..
Otto Weininger, Sex and Character, 1903, un classique. — E. Belfort Bax : The Fraud of Feminism – E. Belfort Bax, London, 1913 — Almroth E. Wright : The Unexpurgated Case Against Woman Suffrage — Almroth E. Wright, London, 1913. — Joseph Daniel Unwin: Sex and Culture, Joseph Daniel Unwin, 1934. Etc.
Les femmes jouent du sexe et se prostituent dans les entreprises pour grimper l’échelle des promotions.
Quand elles ont obtenu ce qu’elles convoitaient, elles accusent publiquement d’agression sexuelle les hommes qui leur ont fait gravir les échelons.
L’un des effets est de briser la carrière de ces hommes.
Ce qui fait de la place pour les femelles.
C’est la dynamique propre à un Régime Féministe.
Nous sommes en Régime Féministe.
Les femelles peuvent prendre la place des hommes, qui leur ont fait gravir les échelons, en les chassant, tout en s’exhibant publiquement et en jouant les victimes. Elles gagnent sur tous les tableaux. Croient-elles.
Le pouvoir de la crise de nerf, de l’hypocrisie, du mensonge, de la pleurnicherie : c’est le Régime Féministe.
La Maison de Poupée de Stalinette
La Paranoïa de la Maison de Poupée ( La Paranoïa de Stalinette )
Les femmes, et de manière générale les êtres en qui domine “l’énergie” féminine, ont besoin d’attirer l’attention, d’être regardés. Célébrés.
Les féministes sont une impitoyable armée de menteuses chapardeuses, avides de s’emparer, soit du pouvoir des hommes, soit de leur fric.
Il faudrait un moratoire prolongé sur le droit de vote des femmes et sur la promotion subventionnée de leur présence dans les entreprises, surtout dans les grandes entreprises.
Mais évidemment, ça ne se fera pas.
Le tsunami femelle ira jusqu’au bout de sa dynamique inhérente, en aval, jusque dans les derniers méandres humides et nauséabonds du delta.

Faut pas qu’ça paraisse trop mais j’aimerais bien mieux être ailleurs que de participer aux pompes funèbres de Tout l’Monde En Parle.
Les féminazis, présentement, gagnent.
Les hommes, ceux qui ont compris ce qui se passe, de plus en plus prennent leurs distances.
Les plus lucides sont #mgtow.
Ils vont de leur côté et suivent leur chemin.
Il y en a de plus en plus.
Ils découvrent la liberté.

HeForShe, LuiPourElle (caricature de la campagne onusienne d’Emma Watson). « HeForShe », on sait c’que ça veut dire, et ça n’prend plus, bye -:)). Never again!
HeForShe, LuiPourElle, ils n’en veulent pas, ils n’en veulent plus, over.
Ils ne vont pas lâcher la liberté pour retourner à la contamination féministe qui atteint pratiquement toutes les femelles, d’une manière ou d’une autre.
Et la société en général.
Le pouvoir femelle liquéfie l’Occident.
Observez la suite.
Qui vivra verra.
Références vidéo :
L’Affaire Éric Salvail, telle que traitée à l’émission Tout Le Monde En Parle, 22 octobre 2017, première partie.
Source : — https://www.youtube.com/watch?v=q3RhfvUKdFY
L’Affaire Gilbert Rozon, telle que traitée à l’émission Tout Le Monde En Parle, 22 octobre 2017, deuxième partie.
L’émission au complet, TLMEP, 22 octobre 2017 — http://ici.radio-canada.ca/tele/tout-le-monde-en-parle/site/episodes/392298/guy-lepage-dany-turcotte-film-affames-baseball
© Copyright 2017 Hamilton-Lucas Sinclair (Loup Kibiloki, Jacques Renaud, Le Scribe), cliquer
Le mythe de l’égalité homme-femme : le féminisme et la calculette — Vers une harmonie d’enfer : harcèlement, faux viols, chaos du genre
La Maison de Poupée de Stalinette — La Paranoïa de la Maison de Poupée ( La Paranoïa de Stalinette )
Vers une harmonie d’enfer : harcèlement, faux viols, chaos du genre — Les Femen et la Ressurgence de la symbolique nazi, cruelle, et totalitaire
Terrorisme domestique et destruction de potagers par les municipalités : Aux profits de quel lobby ?
René Guénon : Le règne de la quantité et les signes des temps — Non-fiction (des pdf, des liens)
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Elles sont les premières à entretenir le système puis quand elles sont déclassées par des plus jeunes, elles montent aux créneaux, se posant en victimes.
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