Comment se débarrasser d’un bon locataire 3/4 : Maintenir des «pas de». Exemple : Pas d’insonorisation. Pas d’espace de remisage.


Pas d’insonorisation :  murs intérieurs “en papier d’soie”.   Pas d’espace de remisage. 

Un Hlm qui semble suggérer ou murmurer subliminalement un air populaire connu:  «Dis..?  Quand partiras-tu ?  Dis..?  »

Mais pourquoi ?

Pour pouvoir plus facilement remplacer des comptoirs de cuisine en bon état par des comptoirs de cuisine neufs ?   Des éviers en bon état par des éviers neufs ?  Des armoires en bon état par des armoires neuves, etc. .. ?

Voir, pas mal plus bas, une énumération plus détaillée.  Dont une sorte d’énigme :  comment se débarrasser de 52 ans de production d’eau chaude..


la_vie_dans_un_hlm_quebecois_02__bouche_zipperMon approche est hypothétique.  Mettons.

Et j’en cherche une expression adéquate, au bout du clavier, dans cet article sur le Hlm de Saint-Zénon.

Comme un peintre qui cherche une couleur sur sa palette au bout du pinceau.


Lire aussi  :  Comment se débarrasser d’un bon locataire 1/4 : Par accusations fausses, genre : « Vous nuisez à la sécurité de tous! »

Comment se débarrasser d’un bon locataire 2/4 : Le truc de «l’encombrement»


Cette menace potentielle de la Direction du Hlm, qui plane toujours sur les biens des locataires, et qui peut s’activer par simple invocation du mot magique d’«encombrement» (Comment se débarrasser d’un bon locataire 2/4), cette menace potentielle, qui semble faire partie intégrante d’une sorte de “système”, comme on  dit,  serait-elle le résultat d’une pratique budgétaire s’exerçant au profit de certains mais pas au profit des locataires –  voire même aux dépens de ces derniers ?  

Je vous offre des observations.  Des réflexions.  Mon idée n’est pas entièrement faite.  Pas encore.  ( La vôtre, peut-être?)


Jacques Duchesneau. (Source: Src. - Under fair use.) ( Aide-mémoire, en passant, qui pourrait éclairer la question:    Rapport Duchesneau, texte intégral : «Un univers clandestin d’une ampleur insoupçonnée.» La Corruption au Québec.   —   Surprenant jouait au Casino – ou comment blanchir l’argent. Écrémage et Loto.)


Précisons, en passant, que le Hlm de Saint-Zénon est un petit Hlm dans l’archipel du Hlm québécois :  13 unités de logement.  Des petits logements.

Depuis 1984, depuis qu’il a été inauguré par le ministre Guy Tardif, le Hlm ne fournit aucun locker, c’est-à-dire aucun espace, même minimum, de remisage, ou d’entreposage d’objets personnels.  Pourtant il en faudrait pas beaucoup.

À la limite, un minimum d’espace de remisage sur le terrain du Hlm pourrait être défrayé par le locataire lui-même.  Mais il n’a pas le droit de le faire.   Résultat :  Son “surplus” devient potentiellement, dès le départ, comme par magie, de «l’encombrement».

«Pas de» remisage. Étrange.  Surtout en région.


Quizz.  Ci-dessous.  Je vous invite à le soumettre à votre entourage.

Pouvez-vous détecter ce qui est absent du règlement sur “l’encombrement” – mais qui devrait y être de par la nature même de ce règlement portant sur les biens du locataire?  (Maintenant que j’en ai parlé, probablement que oui, –  mais si j’en avais pas parlé ?)

hlm_saint-zenon_fragment_reglement_6_encombrement_01

L’une des choses au monde les plus difficiles à percevoir c’est l’absence de quelquechose.  Et aussi  le degré d’importance, en elle-même, de cette “chose absente”.  Mais aussi, après coup, la signification de cette absence.

En d’autres termes, l’importance et la signification sont très souvent signifiées par l’absence.  Ici, c’est le cas.


Donc, absence de cette donnée capitale, la possibilité de remisage d’une partie des biens du locataire en-dehors de son logement.

Remisage absent.  Complètement absent.

J’appelle ça un «pas de».

C’est aussi comme si cette sorte d’acharnement énumératif , qu’on peut éprouver à lire le règlement 6, exprimait une sorte de “punition” sous-jacente, non-explicite, une sorte de scapegoating du locataire.  On lui fait porter la responsabilité, le poids de cette absence de possibilité de rangement de certains de ses objets personnels, absence dont les autorités du Hlm sont cependant responsables à part entière.  Mais c’est le locataire qui en porte tout le poids.

On fait porter ce poids au locataire en le menaçant de jeter ses biens, ou une partie arbitraire de ces biens, transformés en “encombrement” par la politique du «pas de» remisage maintenue dès le départ par la Direction du Hlm.  Depuis 33 ans..

Le locataire devient, ici, de toute évidence, un bouc émissaire.  De “quelquechose”.

De quoi, exactement ?

On cherche ..


Sur l’utilisation orwellienne du mot « encombrement », lire la deuxième partie de cette série :   Comment se débarrasser d’un bon locataire 2/4 : Le truc de «l’encombrement»

Lire aussi :  Comment se débarrasser d’un bon locataire 1/4 : Par accusations fausses, genre : « Vous nuisez à la sécurité de tous! »


article_rapport_duchesneau_secran_electrodes

Récemment, je relisais cet article (cliquer sur l’image) :  Rapport Duchesneau, texte intégral : «Un univers clandestin d’une ampleur insoupçonnée.»   Cet article peut peut-être éclairer en partie les données que j’explore dans la présente série (Comment se débarrasser d’un bon locataire). Ou le présent article peut peut-être éclairer en partie l’article consacré au Rapport Duchesneau ..   À vous d’en juger.

Cette absence d’espace de remisage serait-elle dûe simplement à un manque de budget à la Direction du Hlm ?

J’en doute fort.

Pourquoi ?

Depuis 14 mois que j’habite le Hlm de Saint-Zénon, j’ai vu, sans même faire d’enquête en ce sens, au hasard des jours, des circonstances, notamment après départ de locataires (mais pas forcément), —  j’ai vu :

le remplacement régulier de comptoirs de cuisine en bon état par des comptoirs de cuisine neufs.

Le remplacement de bols de toilette en bon état par des bols de toilette neufs.

Des éviers en bon état remplacés par des éviers neufs.   Fin 2016, 13 chauffe-eau en bon état pouvant durer encore cinq ans, remplacés par des chauffe-eau neufs.   Des tapis de balcon en bon état, couvrant tout le plancher des balcons, larges tapis en fibre de verre (la fibre de verre est pratiquement inusable), remplacés, sur tous les balcons, par des tapis de balcon neufs en fibre de verre (des tapis tout aussi inusables..).

Ah, récemment : les chaises du hall d’entrée, qui étaient en bon état, ont été remplacées par des chaises de hall d’entrée neuves..  On a ajouté un miroir encadré.  Neuf, évidemment.

Précision. Les chauffe-eau. Ou :  Comment se débarrasser de 52 ans de production d’eau chaude..

Un plombier m’informe que les chauffe-eau sont jugés assurables jusqu’à 12 ans par les assureurs. Ils sont donc jugés parfaitement fonctionnels jusqu’à 12 ans.

Les chauffe-eau qui viennent d’être remplacés fin 2016 au Hlm de Saint-Zénon avaient été installés en janvier 2009.  Ils avaient donc 8 ans d’âge.

Il leur restait donc, chacun, 4 ans de bons, chauds, loyaux services à rendre aux locataires.  4 ans.

Faites le calcul: 13 chauffe-eau à 4 ans de fonctionnalité chacun, ça fait 52 ans!

En remplaçant ces chauffe-eau fin 2016, c’est-à-dire 4 ans avant terme, on a gaspillé en argent l’équivalent de 52 ANS de bons, chauds et loyaux services en chauffe-eau !

Mais depuis 33 ans :

a)  On ne dépense pas un sou pour fournir un modicum d’espace de remisage aux locataires.

b)  On ne trouve pas, non plus, un sou de budget pour insonoriser, un à un, les murs intérieurs qui séparent  les logements ( au fur et à mesure des départs de locataires ).

À première vue, ça tient pas debout.

Vous remisez quoi dans..  une chaise neuve?

Dans un miroir neuf?

Dans un chauffe-eau neuf?  Vous remisez quoi dans un bol de toilette neuf?  Dans un dessus de comptoir de cuisine neuf?

En quoi un évier neuf contribue-t-il à insonoriser les murs intérieurs d’un Hlm?

En quoi des tapis de balcon en fibre de verre neufs contribuent-ils à insonoriser les logements les uns des autres?

Et que diable pouvez-vous entreposer dans un tapis, fut-il neuf, fut-il en fibre de verre ?

Il va de soi que l’insonorisation des murs et l’installation de cabanons de remisage n’offrent pas l’avantage de pouvoir justifier facilement leur remplacement régulier par du neuf .  Ça serait “un peu” gros.


Lire aussi  :  Comment se débarrasser d’un bon locataire 1/4 : Par accusations fausses, genre : « Vous nuisez à la sécurité de tous! »

Comment se débarrasser d’un bon locataire 2/4 : Le truc de «l’encombrement»


Le terrain autour du Hlm offre tout l’espace nécessaire pour installer rapidement des cabanons de remisage, notamment en face du parking, mais pas seulement là.  Facile.  Et même :  la vue ne serait pas du tout obstruée.  Les cabanons, on les remarquerait à peine.

L’absence de ces deux choses – espaces de remisage et insonorisation, notamment celle des murs séparant les logements – engendre forcément un malaise plus ou moins clairement senti ou éprouvé, au fil du temps, par les locataires.  Les locataires n’en parlent pas toujours (on a autre chose à faire) mais c’est toujours un fait, silencieusement présent, qui agit en sourdine.

Cette absence d’insonorisation et de remisage favorise certainement les départs et joue certainement en faveur d’une augmentation du nombre des fois où les logements se vident et où les petits entrepreneurs de toutes sortes peuvent garnir le carnet de commandes et venir et travailler à l’aise, justement, à remplacer des armoires en bon état par des armoires neuves ( qui peuvent même parfois être de qualité inférieure aux anciennes, re :  l’obsolescence programmée), des linoléums en bon état par des linoléums neufs, bref, une foule de bidules en bon état par des bidules neufs..


article_rapport_duchesneau_secran_electrodes Rapport Duchesneau, texte intégral : «Un univers clandestin d’une ampleur insoupçonnée.» La Corruption au Québec.)


Encore une fois, depuis l’inauguration du Hlm en 1984, pas même un minimum d’espace de remisage pour les locataires —  et les murs de séparation des logements sont toujours en papier d’soie.

C’est comme ça depuis 33 ans.

Rien n’a jamais été fait.

Rien.

Pourquoi, exactement ?  Je cherche .. 


Lire aussi  :  Comment se débarrasser d’un bon locataire 1/4 : Par accusations fausses, genre : « Vous nuisez à la sécurité de tous! »

Comment se débarrasser d’un bon locataire 2/4 : Le truc de «l’encombrement»


En plus des «pas de», il est bon aussi d’avoir beaucoup de règlements restrictifs.

Et, idéalement, des règlements compliqués.  Rédigés sur un ton qui “terrorise” un peu.  Pas trop.  Mais quand même.

Plus les règlements sont nombreux et compliqués, ou inutilement frustrants, plus ça augmente les possibilités de prendre un locataire en défaut quand on a besoin de le faire, quelles que soient les raisons qui puissent alors motiver la Direction.

Ça peut même être pour des raisons autres que “gestionnaires” ou “pratiques”, disons.  Comment peut-on le savoir?  La Direction ne répond pas (littéralement, dans mon cas).  C’est un peu comme si on jouait au chat et à la souris avec les locataires.  Ça peut être pour des raisons personnelles.  Pour se débarrasser de quelqu’un qui déplait à la Direction.  Ça peut être pour libérer le logement et l’offrir à une copine ou un copain.  Qu’est-ce qu’on en sait ?  Pas grand’chose.

Quoi qu’il en soit, on touille un peu la liste des règlements, on trouve, on envoie du courrier recommandé..  Il n’y a pas de violation de règlements ?  On peut faire comme si y en avait eu.  Le locataire fera pas trop attention.  On envoie, comme ça, deux, trois, quatre courriers recommandés.  Et alors kaboum!  Vous avez vu venir, ou vous avez pas vu venir, mais c’est pareil quant à la décision.

À moins de vouloir investir des années dans une contestation en cour, vous quittez.

Et pas facile de vous trouver un autre logement : la Direction du Hlm vient tout juste de vous fabriquer une mauvaise réputation de locataire pour justifier ce qu’elle vient de faire.  Et elle s’en fout.  Et vous n’avez pas de protection.

En tout cas, c’est “statistique” :   plus les règlements sont nombreux et verbeux, plus ça facilite les choses, plus ça augmente les possibilités de pouvoir obliger un locataire à partir.

Ce qui, évidemment, permettra plus facilement, vu que le logement est vide, de remplacer des éviers en bon état par des éviers neufs, des bols de toilette en bon état par des bols de toilette neufs, etc., etc., etc.   “Ça fait marcher l’économie”, me disait quelqu’un.

Ce qui signifie que l’activité économique contemporaine est basée sur le gaspillage.  Pour employer un euphémisme.  Mais ça, on le sait.  Vous saviez pas ?  Ce gaspillage systémique, parfois systématique, peut porter divers noms.  L’un d’eux, c’est   l’obsolescence programmée.

La politique de remplacement du truc en bon état par un truc neuf  n’est simplement qu’une variante :  on pourrait parler d’obsolescence ..  artificielle.  Ou artificiellement “accélérée”.


Bref.  Ce qui n’était pas nécessaire a été fait.  Ce qui était nécessaire n’a pas été fait.

L’argent a transigé.  Des entreprises, pmes généralement, profitent de la manne (je n’aurai pas l’hypocrisie de les condamner – en tous cas j’hésite).  Quelqu’un d’autre aussi en  profite, un intermédiaire sans doute, vraisemblablement.

Mais pas le contribuable qui, lui, s’est appauvri ou, ce qui revient au même, voit le poids des taxes augmenter.

L’inutile s’est accompli.

D’inutilité accomplie en inutilité accomplie, nous nous acheminons vers une sorte d’Inutilité Ultime.

Ou d’obsolescence globale artificiellement accélérée et/ou programmée.

Obsolescence globale qui, évidemment, on l’oublie trop facilement, nous contient et nous resserre dans sa bulle en nous déglutissant graduellement et en nous transformant en robots rotants.


Lire aussi :  Comment se débarrasser d’un bon locataire 1/4 :  Par accusations fausses, genre : « Vous nuisez à la sécurité de tous! »

Comment se débarrasser d’un bon locataire 2/4 :  Le truc de «l’encombrement»

Rapport Duchesneau, texte intégral : «Un univers clandestin d’une ampleur insoupçonnée.» La Corruption au Québec.

Ou, pourquoi pas :  Un coup bavant du Grand Avide –  Ou :   Kafka aurait pu l’dire.  Avec un bon thé, ou un bon café, ou un peu d’brandy.  ( Comme le dit pertinemment l’oxymore populaire :  “Ça détend raide”).


wikipedia_logoNote :  Mon nom légal est Hamilton Sinclair, parfois Hamilton-Lucas Sinclair.  Pseudonymes d’auteur :  Loup Kibiloki, Jacques Renaud.

Jacques Renaud, Wikipedia

J’utilise aussi, essentiellement sur ce blog (Électrodes ), et sur un seul autre (L’Espace du Scribe ), un pseudonyme malheureusement (!) assez répandu sur internet  :  “Le Scribe”.


Je reproduis la partie qui suit, subdivisée en  a)  b) et c), à la fin de chacun des articles de cette série.


a)  La lettre de la Directrice du Hlm de Saint-Zénon:


hlm_saint-zenon_lettre_accusation_23nov2016__02


b) document accompagnant cette lettre ( un peu plus bas )

 Mais avant, quelques commentaires sur ce document, plus bas, montrant que le détecteur de fumée avait été recouvert d’un carré de papier blanc.  Mais pas par moiIl était ainsi quand j’ai aménagé.  Je m’en suis aperçu il y a environ 7 mois (à peu près fin avril, début mai) et j’ai enlevé le bout de papier.  C’est tout.  Pas d’histoires.

Et tout à coup, étrangement, huit mois après la visite de l’inspecteur et son rapport, oui, 8 mois!, en novembre 2016, on m’accuse soudain, out of the blue, de “nuire à la sécurité de tous”,  8 mois après que la photo ait été prise par l’inspecteur de la BSI (British Standards Institution) (ou commandité par la BSI), et  7 mois après que j’aie remarqué et enlevé le bout d’papier..

Notez aussi que l’inspecteur de la BSI, qui inspectait mon logement en ma présence le 9 avril 2016, il y a 8 mois, ne m’a jamais signalé ce bout de papier sur le détecteur de fumée..  et c’est lui qui écrit dans son rapport (lire le document)  :

« Aviser le locataire du logement qu’il est très dangereux de bloquer l’ouverture du détecteur de fumée et qu’un tel comportement nuit à la sécurité de tous. »

( Notez qu’il ne mentionne ma sécurité. )

Cet inspecteur aurait pu me le dire qu’il y avait ce maudit papier blanc sur le détecteur de fumée puisqu’il jugeait la chose si importante. J’ÉTAIS LÀ.  J’aurais vu le bout de papier et je l’aurais enlevé.  C’est tout.

Notez aussi que tout inspecteur BSI.net qu’il est ( voir coin gauche en haut du document jpg ci-dessous ), une firme mondiale, vraisemblablement la plus grande dans son domaine ( lire BSI : Notre histoire ), et qui se consacre, comme elle dit, à “l’excellence” en tout, l’inspecteur, donc, n’a pas non plus constaté que les murs des logements du Hlm de Saint-Zénon étaient “en papier d’soie”..

Faut êt’ patient  :   ça fait seulement 33 ans que ça passe sous le nez des disciples de “l’excellence” et de l’imposition de normes mondiales uniformisantes..

Donc, on disait quoi déjà ?  Ah oui :  Huit mois après ..

Pour moi, il est évident que ce n’est pas seulement, simplement, une affaire de bout d’papier scotché sur un détecteur de fumée avant que j’aménage.

Ou encore d’une simple accusation par ouï-dire, qui serait simplement “inconsidérée”, concernant un soit-disant « encombrement» de mon logement, entièrement fictif ( j’en parle dans ma lettre), une accusation qui constitue, dans les faits, une menace à l’intégrité de mes biens.

Ou encore, simplement, du bruit d’enfer d’une voisine dont les partys m’empêchaient de dormir pendant des jours (également décrit dans ma lettre ) –  et où la Directrice du Hlm aurait pris parti, après coup,  “par erreur” ou “distraction”, en faveur de la voisine et de ses invité(e)s en dépit du règlement, très clair, sur le bruit, que ces femmes violaient à mes dépens  ( je reproduis ce règlement, plus bas.)

Au-delà des apparences, je ne peux m’empêcher de penser que c’est plus que tout ça.  À mon avis.  Le contenu de cette lettre de la Directrice est trop grossièrement tardif, à la fois, et irrationnel, c’est trop grotesque et trop tordu  :  il y a autre chose.  Un motif autre que ceux qui sont exprimés.  Mais quoi ?  Je finirai par savoir.

Vous pouvez lire la date entourée de rouge sur le document  :  9 avril 2016 (2016-04-09).

La lettre enregistrée de la Directrice (reproduction jpg, plus haut), à laquelle elle joint le document ci-dessous daté du 9 avril 2016, est datée du 23 novembre 2016.


hlm_saint-zenon_doc_detecteur_accusation_23nov2016_02


c)  Ma réponse à la lettre de la Directrice du Hlm:

Saint-Zénon, 28 novembre 2016

Madame Sylvie Champagne, Directrice du Hlm,
Membres du Conseil du Hlm,
Office Municipal d’Habitation de Saint-Zénon,
[ rue … ],
Saint-Zénon, Qué., J0K 3N0

Cette lettre est en réponse à votre courrier recommandé qui m’a été envoyé par vous et par le Conseil du Hlm subventionné de Saint-Zénon, lettre datée du 23 novembre 2016.

Je soumets et déclare respectueusement ce qui suit :

En résumé, d’abord  :

a) Le carré de papier sur le détecteur de fumée a été enlevé il y a 7 mois environ. Ça fait longtemps. Explications plus bas. Ce n’était pas moi qui l’avait apposé.

Vous me prévenez de la chose, par écrit, 8 mois après que l’inspecteur vous en ait avisé. L’inspecteur, non plus, ne m’a jamais avisé de la chose. J’étais présent durant l’inspection. Voir plus bas.

b) Il n’y avait pas de punaises de lit. C’est d’ailleurs ce que l’exterminateur vous a dit et a dit à un témoin. Je n’ai pas de lit, matelas, fauteuils. Je dors sur un lit de camp pliable à empattements de métal depuis vingt ans.

c) J’ai résolu cet ” encombrement ” du logement, dont vous parlez par ouï-dire, dans la mesure où la chose correspondait à la réalité..

Fin du résumé.

*

Le détecteur de fumée et la sécurité

C’est une accusation sérieuse, mais sans preuve aucune contre moi, celle « de nuire à la sécurité de tous », que vous portez dans votre courrier recommandé, lettre datée du 23 novembre 2016.

C’est la raison essentielle pour laquelle je vous réponds.

Mentionnons que, de manière frappante, vous omettez de mentionner ma sécurité, comme si j’étais une sorte d’entité abstraite et que ça ne me concernait pas du tout. Ou comme si j’étais un parfait idiot qui raffole de nuire à sa propre sécurité.

[ En passant, si vous voulez avoir une idée plus juste de ma réputation comme locataire, pourquoi n’appelez-vous pas les noms indiqués en références sur le bail lors de sa signature, notamment la propriétaire qui m’a loué une chambre pendant près de 8 ans, au Lac Saint Louis (Saint-Zénon), jusqu’en 2015, avant mon déménagement au Hlm de Saint-Zénon ? ]

Je ne sais pas qui avait collé, avec du scotch-tape transparent, le bout de papier blanc sur le détecteur de fumée blanc, et sur fond de plafond blanc, et de plus dans une zone légèrement ombrée, et plutôt en retrait, du logement.

Ce que je sais, c’est que ce n’est pas moi.  L’hypothèse la plus vraisemblable est que c’était ainsi quand j’ai aménagé.

Par ailleurs, je ne passe pas mon temps à marcher le nez pointé au plafond pour tenter d’y distinguer un petit truc plat et blanc, qui joue les caméléons immobiles sur un objet blanc, lui-même sur fond blanc.

99% du temps, le regard de l’être humain porte à l’horizontale ou vers le bas.

C’est tardivement que j’ai remarqué le bout de papier blanc sur le détecteur de fumée. Probablement fin avril ou début mai 2016.

J’ai allumé les lumières du passage. Allumé au maximum les lumières de la salle de séjour. Le détecteur se trouve dans une zone légèrement plus ombrée du logement, entre le passage et la salle de séjour. Je suis monté sur un marchepied. Mis mes lunettes. Regardé un peu. J’ai enlevé le bout de papier.

Simple.

Je l’ai fait sans brandir de baguettes et sans lancer d’accusations gratuites contre qui que ce soit.

Il vous suffisait pourtant de m’appeler pour me le dire. Vous ne l’avez jamais fait.

L’inspecteur vous avait pourtant envoyé la photo en avril 2016 ! Vous avez négligé de le faire :

Vous avez attendu 8 mois.

Par ailleurs, les détecteurs de fumée ne sont en rien mon champ d’expertise.

De quoi allez-vous m’accuser la prochaine fois ? Comme ça. Gratuitement. Tout d’un coup.
Il est important de souligner que l’inspecteur, un monsieur Lemelin (vous mentionnez son nom) ne m’a pas signalé non plus la présence de ce bout de papier blanc sur le détecteur quand il est venu inspecter mon logement, en ma présence, en avril 2016, soit environ un mois avant que je remarque ce bout de papier.

La sécurité de tous – et la mienne – tenaient probablement une telle place dans le coeur de l’inspecteur qu’il en oubliait que j’habitais le logement qu’il inspectait en ma présence. Motus. Il ne m’a rien dit. Pas un mot.

Les grandes émotions humanitaires profondes, c’est fou comme ça rend parfois muet..

Cependant, en négligeant de me signaler la chose, en négligeant de me prévenir très simplement au lieu de filer en douce sans rien me dire, l’inspecteur me cachait sciemment quelquechose qui revêt pourtant une grande importance à ses yeux – si l’on en croit ce qu’il écrit dans le document que vous me faites parvenir – ou alors il prenait à la légère une chose qui, de sa propre affirmation, encore une fois, ( re: le document que vous m’envoyez et qui émane de lui ) constitue, écrit-il, « un comportement » qui « nuit à la sécurité de tous » ( oubliant, lui aussi, de manière frappante, encore une fois, tout comme vous, de mentionner ma propre sécurité personnelle ).

C’est près de HUIT MOIS après l’inspection du 9 avril 2016, date indiquée dans le document que vous m’envoyez le 23 novembre 2016, donc bien après que vous en ayiez été avisée en tant que directrice du Hlm de Saint-Zénon, tout comme le Conseil (la preuve datée est, encore une fois, le document même que vous m’envoyez), que vous m’avisez, soudainement, de la chose.

HUIT MOIS après. Et vous m’accusez de négligence et de nuisance !?!

Cette négligence de votre part, et ce délai d’une durée inexplicablement longue, avec preuve à l’appui fournie par vous, constituent un comportement qui n’est pas rassurant quant à ma sécurité et à la sécurité de tous.

Cependant, encore une fois, c’est moi que vous accusez.  Sans preuve aucune.  On finira par croire que vous faites ça pour vous “couvrir”.

Vous aurez compris que votre avis est sans objet depuis longtemps quant au détecteur de fumée. Comme je vous ai dit, j’ai enlevé le truc en papier blanc il y a plusieurs mois.

Cependant, cet avis, en soi, m’inquiète quant à « la sécurité de tous » y compris la mienne – vu le retard énorme dans le signalement de quelquechose qui, selon vos propres termes et ceux de l’inspecteur, est très important, justement, pour la «sécurité de tous ».

Il vous suffisait pourtant, tout simplement, encore une fois, de me donner un coup de fil il y a HUIT MOIS et de me signaler la chose : je l’aurais vu dès ce moment-là, et je l’aurais enlevé.

Mais c’était probablement trop simple.

Ou il y avait d’autres raisons que je ne connais pas.

*

Les punaises de lit m’haïssent et ne me fréquentent pas

Il n’y en avait évidemment pas ( des punaises de lit ) dans mon logement quand l’exterminateur est passé récemment, en novembre. Et pour raisons. Lire plus bas.

L’exterminateur, en mon absence, a bel et bien inspecté mon lit de camp, léger, à empattements de métal –  contrairement à ce que vous laissez entendre. Car il l’a inspecté, soulevé, tourné, etc., c’était évident, et il l’a fait sans encombres ni encombrements puisque rien d’autre n’a été déplacé.

Par ailleurs, je n’ai à me plaindre d’aucune façon du travail qu’il a effectué dans mon logement. Selon un témoin, il a répandu du produit, au cas-où, par précaution. Mais il a affirmé qu’il ne trouvait ni pdl, ni traces de pdl. Bredouille

Pas étonnant qu’il n’y ait pas de pdl chez moi : Je n’ai pas de matelas.  Ni simple, ni double. Comme ceux que j’ai vu traîner, éventrés, pendant des semaines, dans la cour du Hlm, après la visite de l’exterminateur.

Je n’ai évidemment pas de sommier non plus. Pas de fauteuils non plus. Rien de tout ce que les punaises de lit cherchent.

J’ai quatre chaises pliantes en métal. J’en utilise trois. Le métal, pas attirant du tout pour les punaises de lit.

Je n’aime pas les choses encombrantes qui prennent toute la place et, surtout, ne servent à rien, sinon à vous massacrer le dos pendant qu’on se fait croire que c’est confortable. Comme les fauteuils. Les matelas.

Je n’ai pas de téléviseur non plus. Évidemment. C’est énorme. Laid. Encombrant. Régressant. Abrutissant. Je n’en ai pas depuis vingt ans.

Même chose pour les commodes qui semblent toujours contenir plus de bois que de vêtements. Mes contenants en plastique, qui s’emboîtent bien, toujours aérés par des orifices, contiennent, eux, énormément moins de plastique que de vêtements.

Frigo : deux cubes Danby Star Energy. À eux deux, ils occupent beaucoup moins d’espace qu’un frigo ordinaire.

Je dors depuis vingt ans sur un petit lit de camp qui repose sur des empattements de métal. L’épaisseur de la surface du lit de camp est d’environ 1 cm. Matière non-poreuse, pleine. Les punaises méprisent ces choses.

Donc, n’ayant pas de “lit” épais et mou, voyageant très peu, et ne pratiquant pas la promiscuité qui fait allègrement passer les punaises de lit (bien nommées) d’un matelas à l’autre, les pdl me détestent, me snobent, et, finalement, me fuient.

Je ne peux que m’en réjouir.

Par ailleurs, toujours suite à votre courrier enregistré du 23 novembre 2016,   j’ai réglé le problème de “l’encombrement”, comme vous dites ( mention basée sur du ouï-dire, en passant ) dans la mesure où il existait.

Je ne garde que ce qui est indispensable à mon métier, à mes autres taches, à la vie, à la sustenance quotidienne, à la survie. C’est fait.

*

Certains de mes outils de travail

J’aimerais vous signaler que, notamment, mais pas exclusivement, tout ce qui est livres, papier, papeterie, notes, documents personnels ou publics, manuscrits, équipement électronique, tables, etc., sont des choses indispensables dans mon cas. Ce sont mes principaux outils de travail : mon métier est celui d’écrivain, c’est mon statut auprès de Copibec, Revenu Canada, Québec, etc.

*

Bruit d’enfer, détecteur, appels téléphoniques bloqués, directrice introuvable – et la sécurité

Si je voulais savoir, par exemple, si le détecteur de fumée est présentement fonctionnel, ou si n’importe quoi d’important survient : à qui m’adresser ?

Je n’en sais rien.

Qui appeler ?   Vous ?

Impossible.

Vous avez bloqué mes appels à votre répondeur depuis au moins mai 2016, soit depuis environ SEPT MOIS, à la suite d’une série d’appels que j’avais faits pour vous signaler que la nouvelle voisine, C.B., au  [logement zzz]  ( je suis au [logement yyy], mur contiguë ) faisait continuellement des partys extrêmement bruyants, qui duraient des heures, jusqu’à très tard dans la nuit, avec plusieurs invité(e)s, à partir de 19h00 ou 20h00 du soir jusqu’à 4h30 du matin, ou plus tard encore. Un bruit d’enfer. Littéralement.

Un bruit d’enfer qui m’a empêché de dormir normalement pendant des jours.

À un certain moment, C.B., la locataire du   [logement zzz]   (qui, depuis, a changé de logement), est venue frapper à pleine main, ou avec un large objet plat, à toute force, comme une furie, dans ma porte, parce que j’avais cogné quelques coups dans le mur pour les inviter, implicitement, à respecter le couvre-bruit de 23h00, qui est inscrit dans les règlements  –  en fait, le règlement sur le bruit, que vous faites signer à tous les locataires, est beaucoup plus étendu et sévère que ça, comme vous le savez  :  voir plus bas.

Quelques minutes plus tard, une autre locataire du Hlm, L.F., apparemment une des invitées de C.B., m’a menacé, à travers la porte de mon logement, de coups et blessures (“M’as t’casser a guieule!”).

Au lieu d’intervenir pour faire cesser ces agisssements, votre solution a été de … m’empêcher dorénavant de vous les signaler.

Votre répondeur a refusé, à partir de ce moment, de prendre mes messages.

Vous l’avez d’ailleurs admis de vive voix deux mois plus tard, début juillet 2016, lors du renouvellement du bail ( mais après l’avoir nié environ deux mois avant, en mai, quand je vous ai appelée d’une cabine téléphonique ) en m’expliquant que c’était votre compagnon (“chum”) qui vous avait demandé de placer votre répondeur en mode de refus de mes messages.

C’est comme si vous aviez décrété que, en tant que locataire, je n’existais plus.

De plus, toujours lors du renouvellement du bail, début juillet 2016, à mon grand étonnement, vous vous êtes rangée du côté des deux femmes et des autres fêtard(s)s au mépris du règlement du Hlm.

Votre répondeur a donc été placé en mode de refus de prendre les messages en provenance de mon numéro de téléphone depuis au moins mai 2016.  Nous sommes fin novembre 2016.  Ça fait environ 7 mois.

Dans quelle mesure ce refus pouvait-il, et peut-il encore, nuire à la sécurité de ma personne ?

Et le cas échéant, à celle des autres ?

*

Votre attitude dans cette affaire est d’autant plus étonnante que vous faites signer, aux demandeurs et futurs locataires, le document suivant qui dit clairement :

« Comme vous savez la loi dit :

« Le propriétaire a l’obligation de procurer au locataire tous les services promis au bail ainsi que la jouissance paisible des lieux.

« De son côté, le locataire est tenu de ne pas déranger les voisins et d’éviter le bruit.   Quelle que soit l’heure du jour ou de la nuit, il n’a pas le droit de troubler la jouissance normale des autres locataires. »

Vous avez ajouté, sous ce texte de loi, ceci :

« Il ne devrait plus avoir de bruit entre 22heures et 8 heures du matin. Les procédures seront prit auprès de la régie après le troisième avertissement.

« S.V.P : n’oublier pas que vous être dans une office d’habitation pour personne âgée, la tranquillité est obligatoire. »

La Direction de OHM St-Zénon

Et vous faites signer comme quoi le demandeur s’engage à respecter cette loi et le règlement.

/…


hlm_saint-zenon_loi__reglement_sur_le_bruit_annote_02


…/

Donc, depuis mai 2016, depuis environ sept mois, je ne peux pas vous laisser de message sur votre répondeur.

Vous m’empêchez de communiquer avec vous.

En tout cas, vous ne m’avez avisé d’aucun changement à cet égard. Ni par téléphone, ni autrement.

Ce qui constitue, à tout le moins, un traitement inusité.

Ce qui est littéralement interdit, faut-il même le mentionner, par l’amendement de 1982 à la Constitution Canadienne (article 12) !

Et ce qui constitue aussi, encore une fois, un comportement qui, en certaines circonstances, pourrait nuire à ma sécurité et peut-être à la sécurité de tous.

On pense, cette fois, à l’article 7 (amendement de 1982) qui affirme le droit à la sécurité de la personne.

La seule façon de communiquer avec vous, dans tous les cas, y compris en cas d’urgence, est donc de vous écrire à l’adresse officielle du Hlm et de vous faire parvenir la lettre par la poste … Drôlement efficace.

Mais surtout, pour être sûr que vous allez, non seulement recevoir, mais considérer le message, la seule façon est de vous faire parvenir la lettre par courrier recommandé.  Et à une adresse, en plus, où vous n’habitez pas,

Encore une fois, ce comportement, en certaines circonstances, pourrait nuire à ma sécurité et peut-être à la sécurité de tous.

*

Mois de loyer d’avance

Je vous ai proposé grâcieusement, au moment de la signature du bail en octobre 2015, de vous verser 1 ou 2 mois de loyer d’avance sur le loyer courant payé, comme il m’est arrivé de le faire parfois ailleurs.

Ça constitue une caution, et une sorte d’assurance advenant tout événement.

J’attends toujours votre confirmation.

Veuillez croire à l’expression de mes sentiments,

Hamilton Sinclair

cc autorités et personnes concernées.


Comment se débarrasser d’un bon locataire 1/4 : Par accusations fausses, genre : « Vous nuisez à la sécurité de tous! »

Comment se débarrasser d’un bon locataire 2/4 : Le truc de «l’encombrement»


© Copyright 2016 Hamilton-Lucas Sinclair (Loup Kibiloki, Jacques Renaud, Le Scribe), cliquer


«Un univers clandestin d’une ampleur insoupçonnée.»  Rapport Duchesneau, la Corruption au Québec. Texte intégral.


Document Flaherty : Le Canada entend autoriser les banques à saisir l’argent des clients pour se renflouer (bail-in)


Canada, Québec, Ontario …  un proto-totalitarisme souterrain persistant.

Canada : Pouvoir dérogatoire canadien et pouvoir dérogatoire hitlérien sont identiques.

Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, Nations-Unies. Texte complet et intégral.

Depuis 1982, le Parlement canadien – tout comme chacune des législatures du pays – ont le pouvoir constitutionnel de violer, sans aucun recours légal possible, au moins 18 des 30 articles de la Déclaration universelle des droits de l’Homme des Nations-Unies, soit les articles suivants1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 17, 18, 19, 20, 26, 29.

Ce pouvoir dérogatoire canadien, c’est l’article 33 de la Charte des droits et libertés canadienne de 1982, qui fait partie de la Constitution canadienne :  Charte des droits et libertés du Canada (1982; lire l’article 33 en allant à la page 48)  ;  English : Canadian Constitution Act, 1867-1982 (1982; go to page 47, read article 33)

Documents de référence – La d’Habilitation nazie mars 1933, pouvoir dérogatoire québécois (1975), canadien de 1982. Essentiellement, les extraits pertinents de la Charte québécoise, de la Charte canadienne, et la Loi d’Habilitation allemande de mars 1933 au complet.


Québec: la clause dérogatoire et la loi 204.    –     Collusion : Karl Péladeau à Hydro-Québec et la Loi Labeaume-Maltais (loi 204)

Milgram, la torture, l’abîme de l’obéissance. Les candidats sont légion.

Le danger d’être canadien, le danger d’être québécois

Avons-nous jamais vécu en démocratie? Pétitionne, trace ton x, cause toujours.    –     Le Petit x du vote: Acte de liberté – ou Pacte de soumission?    –    Nos démocraties: Liberté ou Soumission volontaire?


Arrêtez de raser les parterres et de massacrer les plantes sauvages. Plus de 500 espèces de plantes en danger au Québec.     –    Terrorisme domestique et destruction de potagers par les municipalités : Aux profits de quel lobby ?   –    Invasions de domiciles : Tout se passe comme si on voulait abolir la légitime défense.


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13 Responses to Comment se débarrasser d’un bon locataire 3/4 : Maintenir des «pas de». Exemple : Pas d’insonorisation. Pas d’espace de remisage.

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