Comment se débarrasser d’un bon locataire 2/4 : Le truc de «l’encombrement».


On peut l’accuser gratuitement d’ « encombrement » et menacer ainsi implicitement ses biens ..

Vraisemblablement, ça le poussera à partirPour sauver ses biens.  Sinon, il risque réellement de les perdre tous.

J’explique.


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Fragment jpg de la lettre enregistrée de la Directrice du Hlm de Saint-Zénon qui m’est parvenue par courrier recommandé fin novembre 2016.   Je la reproduis en entier plus bas.  Et ma réponse en entier est reproduite en fin d’article.  ( En passant, il n’y avait pas de “punaises de lit” dans mon logement.  Jamais eues de toute ma vie.  Apparemment, elles me fuient. Ou j’les attire pas. Ou les deux. )


Lire aussi :  Comment se débarrasser d’un bon locataire 1/4 :  Par accusations fausses, genre :  « Vous nuisez à la sécurité de tous! »

Comment se débarrasser d’un bon locataire 3/4 : Maintenir des «pas de», Exemple : Pas d’insonorisation. Pas d’espace de remisage.


Donc, sommation par lettre enregistrée, entièrement basée sur du ouï-dire, ordonnant l’élimination d’un encombrement inexistant

Faut l’faire.  Non, c’est pas de la fiction.

C’est sérieusement et concrètement inquiétant pour les biens d’un locataire dont le logement n’est pas, justement, encombré.

On est en droit de se demander :  Qu’est-ce que la Directrice du Hlm peut avoir en tête ?

Car l’arbitraire domine, ici.

Inquiétant :  Le règlement du Hlm de Saint-Zénon stipule que

« Le Locateur [ La Direction du Hlm ] aura le droit d’enlever, aux frais du locataire [ à ses frais en plus! ], tout ce qui constituera un encombrement. »   –  Article 6 du “Règlement (dit) numéro 2“.

Rappelons qu’après trois accusations fausses par courrier recommandé, ou à peu près trois, la Direction passe à l’action.  Out.  Et vous n’avez rien pu dire.  Sauf sur vot’ blog.  C’est pour ça que j’m’en sers.


saint-zenon_municipalite_amie_des_ainesInquiétant.

Et très ironique :

Comme je le mentionne dans la première partie,  Comment se débarrasser d’un bon locataire 1/4 : Par accusations fausses, etc.  :  La Municipalité de Saint-Zénon se proclame  «Municipalité Amie des Aînés » ( MADA ).

Le Hlm, lui, s’affiche officiellement comme un ensemble pour retraités (“réservé” aux   plus de 50 ans, hum..).

J’ai 73 ans et il est fort possible que je sois le plus âgé des locataires..

Document pdf  :   Saint-Zénon est une municipalité qui se déclare ” Mada ” :  Municipalité Amie Des Aînés (pdf)

Document pdf :   Direction, Hlm Saint-Zénon.  Office Municipal d’Habitation de Saint-Zénon (pdf)


Lire aussi :  Comment se débarrasser d’un bon locataire 1/4 :  Par accusations fausses, genre :  « Vous nuisez à la sécurité de tous! »

Comment se débarrasser d’un bon locataire 3/4 : Maintenir des «pas de», Exemple : Pas d’insonorisation. Pas d’espace de remisage.


Quand le logement n’est pas encombré, ce qui est le cas de mon logement, on se demande ce qui peut bien motiver la Directrice, ou la Direction, mais surtout, en pratique, et logiquement,  qu’est-ce que la Direction entend jeter ?

La réponse logique est  :   tout vos biens.  Quoi d’autre ?

En effet :  si votre logement, surtout si c’est sur une base arbitraire de ouï-dire, est désigné “encombré” – mais qu’il ne l’est pas,  –  tout ce qui se trouve dans votre logement constitue  “l’encombrement” désigné  – ( et implicitement, et logiquement, ça ne peut pas ne pas comprendre aussi le locataire)..

locataire_globe_planete_Rien d’autre ne peut être visé que la totalité de vos biens par la menace injustifiée exprimée dans la lettre.

Ce qui revient, dans les faits, à chasser le locataire.

Votre logement, encore une fois, n’est pas encombré, et vous ne pouvez donc pas satisfaire à l’injonction de la Direction.

Autrement dit, la Direction se sera justifée elle-même dès le départ en inventant l’«encombrement» à partir d’un ouï-dire.  Ça ne vous rappelle rien ?  Lisez sur les pratiques et la mentalité du système soviétique :  l’URSS n’a jamais détenu de brevet exclusif ou de propriété indivise là-dessus, ça peut ressoudre n’importe où.

( Soulignons que le loyer est payé chaque mois, régulièrement.  Le logement est propre.  Etc.  Le problème n’est pas du tout de cet ordre.)

hiver_saint-zenon__re_nelligan_04_couleurCette menace contre les biens, mise à exécution, peut confiner à une destruction des biens, notamment par perte, ou vol, ou détérioration considérable de ces biens, en toutes saisons, notamment en hiver, etc.

Dans son entier, l’article 6 du règlement du Hlm de Saint-Zénon se lit ainsi :

« Le locataire n’encombrera pas l’extérieur ou l’intérieur des lieux loués ou des espaces publics, soit les galeries, balcons, passages, escaliers, de cartons, boîtes, meubles, bicycles, carosses, jouets ou objets de toutes descriptions.

«  Le Locateur aura le droit d’enlever, aux frais du locataire [en plus!], tout ce qui constituera un encombrement. »


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Je reproduis plus bas les règlements du Hlm au complet.  Il faudrait y revenir dans les articles subséquents.  J’espère avoir le temps de le faire.  Parce que, en fait, ce qui importe le plus dans bon nombre de ces règlements, c’est ce qui n’est pas mentionné:  «There’s more to them than meet the eye


Lire aussi :  Comment se débarrasser d’un bon locataire 1/4 :  Par accusations fausses, genre :  « Vous nuisez à la sécurité de tous! »

Comment se débarrasser d’un bon locataire 3/4 : Maintenir des «pas de», Exemple : Pas d’insonorisation. Pas d’espace de remisage.


C’est par ouï-dire, encore une fois, que la Direction du Hlm affirme que mon logement est “encombré“,  mais je ne serais pas du tout étonné que ce ouï-dire lui-même (qui proviendrait de l’exterminateur mentionné dans la lettre ) soit une invention.  Il existe au moins 1 précédent – lire ma lettre à la Direction à la fin de mon article :  La Directrice m’a déjà menti dit le contraire de la vérité.

« C’est par ouï-dire.. » «Dénonciation par ouï-dire» :  ça ne vous rappelle rien ?  Lisez sur les pratiques et la mentalité du système soviétique.


Ci-dessous, copie jpg complète de la lettre enregistrée que m’envoie la Directrice du Hlm de Saint-Zénon :

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« L’encombrement », une sémantique orwellienne ?

Le mot «encombré» signifie «plein».  Voir, plus bas, la définition par le Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales ( CNRTL ).

Mon logement n’est pas « plein ».

Synonymes les plus utilisés du mot « encombré » :

Bloqué (mon logement n’est pas du tout  « bloqué » ).  Bouché (non plus).  Congestionné (pas du tout).   Embarrassé (non). Embouteillé (non plus).   Engorgé (non).   Fréquenté (oui, en étirant l’sens).   Gêné (non).   Obstrué (non).   Plein (certainement pas).   Saturé (non).   Surchargé (non).

De tous ces synonymes et définitions simples du mot «encombré», seul le mot  «fréquenté » pourrait s’appliquer.  On peut dire, en étirant le sens, que mon logement est effectivement fréquenté.  Par moi..

Voici la définition la plus courante du verbe “encombrer”, celle provenant du CNRTL, le Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales, sur internet  :

« Encombrer qqc. ou qqn.  Occuper à l’excès au point d’embarrasser, d’obstruer; être source de gêne par le volume, le nombre.  Encombrer un trottoir; la foule encombre un lieu; (être) encombré de ballots, de débris, de meubles. »

Ça ne s’applique en rien à mon logement et ça ne s’est jamais appliqué.  C’est même l’inverse :  depuis que j’ai aménagé, j’élimine des choses ( et ça n’a rien à voir, en passant, avec le règlement ).

Au fond, c’est très simple :  Si vous pouvez passer de la porte d’entrée à la porte-patio d’un logement sans avoir à déplacer quoi que ce soit, c’est-à-dire sans encombre, ce logement n’est pas encombré.   Évidemment.   Si vous pouvez vous déplacer en tous sens, accéder au frigo, au chauffe-eau, à votre lit, à l’ordinateur, à la toilette, aux étagères, à la bibliothèque, à la cuisine, au comptoir de cuisine, bref à tout lieu de votre logement, sans obstruction, sans avoir à déplacer quoi que ce soit, donc sans encombre, votre logement, par définition, n’est pas encombré.

Et c’est le cas de mon logement.

Si l’exterminateur a utilisé le mot “encombré”, il s’est trompé de mot et voulait vraisemblablement exprimer autre chose.  Et quand la Directrice utilise cette expression, elle erre à cent pour cent – et en même temps, elle accuse faussement.

Alors, qu’est-ce que j’ai à craindre ?

Répétons-le  :  On a à craindre une Directrice ou une Direction qui se base sur du ouï-dire pour affirmer que mon logement est “encombré” et exige, par courrier enregistré, que je désencombre un logement non-encombré.

Encore une fois, quand un logement est proclamé “encombré” sur ouï-dire par des autorités goulagoïdes, c’est simple  :  cette Direction peut sortir vos biens du logement, ne serait-ce que pour justifier leur faux pré-jugement, ne serait-ce que pour ne pas perdre la face, ne serait-ce que pour justifier leur autorité fautive.  Ou pour d’autres raisons.  Que je ne connais pas.

Mentionnons, en plus, comme je l’ai fait un peu plus longuement dans un autre article sur ce blog, et dans ma lettre à la Directrice reproduite en fin d’article, l’impossibilité, en pratique, de communiquer avec la Directrice.  Entre autres :  Son répondeur a été paramétré pour refuser les messages provenant de mon numéro de téléphone..

Gratuité.  Caprice (?).  Arbitraire.  Ça ne vous rappelle rien ?  Lisez sur les pratiques et la mentalité du système soviétique.


Lire aussi :  Comment se débarrasser d’un bon locataire 1/4 :  Par accusations fausses, genre :  « Vous nuisez à la sécurité de tous! »

Comment se débarrasser d’un bon locataire 3/4 : Maintenir des «pas de», Exemple : Pas d’insonorisation. Pas d’espace de remisage.


Une précision, en passant.  Sur les “punaises de lit”.   Et pour éviter tout malentendu:

Il n’y a jamais eu de punaises de lit ( bien nommées) chez moi.

Il n’y en aura vraisemblablement jamais.  J’explique pourquoi dans ma lettre en réponse à celle de la Direction, plus bas, à la fin de cet article.  ( Notamment :  j’ai pas de matelas, pas de fauteuil, j’aime pas surchauffer le logement, j’aère souvent même en hiver (je neutralise alors le chauffage en abaissant le thermostat), etc.)

Mais il y avait des « punaises de lit » dans certains logements  :  essentiellement des logements occupés par des femmes (trois).  Ça m’a frappé.

C’est essentiellement pour ces trois femmes que tout le Hlm a été branle-bassé par la Directrice.

Quand l’exterminateur est venu dans mon logement j’étais absent.  Je n’avais pas été prévenu à temps et je devais m’absenter.   Un témoin m’a cité les commentaires de l’exterminateur :  ils n’allaient pas dans le sens de ce que la lettre de la Directrice laisse entendre.  Voir ma lettre en réponse, à la fin de cet article, qui explique tout ça.

Chose certaine, cet «encombrement », dont parle la Directrice, n’existe pas.


Le règlement du Hlm de Saint-Zénon au complet en deux images jpg:

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la_vie_dans_un_hlm_quebecois_02__bouche_zipperQuelques notes, ci-dessous, sur l’un des articles à venir.

[ Mise à jour.  Voici l’article:   Comment se débarrasser d’un bon locataire 3/4 : Maintenir des «pas de», Exemple : Pas d’insonorisation. Pas d’espace de remisage. Hlm de Saint-Zénon. J’y explore le thème décrit ci-dessous. ]

Une hypothèse.  Se pourrait-il que l’utilisation abusive, voire compulsive (relire l’article 6 du  règlement du Hlm), du mot “encombrement”, camoufle, en fait, depuis plus de 33 ans, au dépens des locataires, un comportement budgétaire, de la part de la Direction du Hlm ( et du gouvernement québécois, propriétaire des Hlm? ) , qui pourrait être, disons, “étrange”?  Hypothèse.

Je pense à l’hypothèse d’une sorte de renvoi d’ascenseur ou d’une sorte de pratique larvée, persistante, liée à l’industrie de la construction, de la rénovation, etc., et qui colle.  Simple hypothèse.  Ça vous surprendrait ?

Je tenterai d’expliquer cette hypothèse dans un autre article en soulignant le lien qu’on peut certainement entrevoir, entre, notamment, l’obsession compulsive de l’«encombrement» et l’absence de lieu de remisage même minimum – et aussi la non-insonorisation des murs depuis 33 ans  -,  d’une part, – et d’autre part des dépenses de fonds publics qui me semblent “fantaisistes”, difficilement explicables pour le moins.

Il pourrait y avoir une sorte de lien logique entre ces choses.  Je ne l’avais pas entrevu au départ.  C’est très intéressant.   Je vous laisserai juge.


Lire  la première partie :  Comment se débarrasser d’un bon locataire 1/4 : Accusations fausses, genre : « Vous nuisez à la sécurité de tous! »

Comment se débarrasser d’un bon locataire 3/4 : Maintenir des «pas de», Exemple : Pas d’insonorisation. Pas d’espace de remisage.

Et on peut toujours lire ceci  :    Rapport Duchesneau, texte intégral : «Un univers clandestin d’une ampleur insoupçonnée.» La Corruption au Québec.  (Jacques Duchesneau, Commission Charbonneau, etc. )


wikipedia_logoNote :  Mon nom légal est Hamilton Sinclair, parfois Hamilton-Lucas Sinclair.  Pseudonymes d’auteur :  Loup Kibiloki, Jacques Renaud.

Jacques Renaud, Wikipedia

J’utilise aussi, essentiellement sur ce blog (Électrodes ), et sur un seul autre (L’Espace du Scribe ), un pseudonyme malheureusement (!) assez répandu sur internet  :  “Le Scribe”.


Je reproduis la partie qui suit, subdivisée en  a)  b) et c), à la fin de chacun des articles de cette série.


a)  La lettre de la Directrice du Hlm de Saint-Zénon:


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b) Document accompagnant cette lettre ( un peu plus bas )

 Mais avant, quelques commentaires sur ce document, plus bas, montrant que le détecteur de fumée avait été recouvert d’un carré de papier blanc.  Mais pas par moiIl était ainsi quand j’ai aménagé.  Je m’en suis aperçu il y a environ 7 mois (à peu près fin avril, début mai 2016) et j’ai enlevé le bout de papier.  C’est tout.  Pas d’histoires.

Et tout à coup, étrangement, huit mois après la visite de l’inspecteur et son rapport (9 avril 2016), oui, 8 mois après!, en novembre 2016, on m’accuse soudain, out of the blue, de “nuire à la sécurité de tous”,  8 mois après que la photo ait été prise par l’inspecteur de la BSI (British Standards Institution) (ou commandité par la BSI), et  7 mois après que j’aie remarqué et enlevé le bout d’papier..

Notez aussi que l’inspecteur de la BSI, qui inspectait mon logement en ma présence le 9 avril 2016, il y a 8 mois, ne m’a jamais signalé ce bout de papier sur le détecteur de fumée..  et c’est lui qui écrit dans son rapport (lire le document)  :

« Aviser le locataire du logement qu’il est très dangereux de bloquer l’ouverture du détecteur de fumée et qu’un tel comportement nuit à la sécurité de tous. »

( Notez qu’il ne mentionne ma sécurité. )

Cet inspecteur aurait pu me le dire sur le champ qu’il y avait ce maudit papier blanc sur le détecteur de fumée puisqu’il jugeait la chose si importante. J’ÉTAIS LÀ.

J’aurais vu le bout de papier et je l’aurais enlevé.  C’est tout.

Notez aussi que tout inspecteur BSI.net qu’il est ( voir coin gauche en haut du document jpg ci-dessous ), une firme mondiale britannique qui s’accroît constamment, vraisemblablement la plus grande dans son domaine ( lire BSI : Notre histoire ), et qui se consacre, comme elle dit, à “l’excellence” en tout, l’inspecteur, donc, n’a pas non plus constaté que les murs des logements du Hlm de Saint-Zénon étaient “en papier d’soie”..

Faut êt’ patient  :   ça fait seulement 33 ans que ça passe sous le nez des disciples de “l’excellence” et de l’imposition de normes mondiales uniformisantes..

Donc, on disait quoi déjà ?  Ah oui :  Huit mois après ..

Pour moi, il est évident que ce n’est pas seulement, simplement, une affaire de bout d’papier scotché sur un détecteur de fumée avant que j’aménage.

Ou encore d’une simple accusation par ouï-dire, qui serait simplement “inconsidérée”, concernant un soit-disant « encombrement» de mon logement, entièrement fictif ( j’en parle dans ma lettre), une accusation qui constitue, dans les faits, une menace à l’intégrité de mes biens – et de moi-même, pour maintes raisons sur lesquelles je pourrais revenir dans de subséquents articles. Si j’ai le temps.

Ou encore, simplement une affaire de bruit, le bruit d’enfer d’une voisine dont les partys m’empêchaient de dormir pendant des jours (également décrit dans ma lettre ) –  et où la Directrice du Hlm aurait pris parti, après coup,  “par erreur” ou “distraction”, en faveur de la voisine et de ses invité(e)s en dépit du règlement, très clair, sur le bruit, que ces femmes violaient à mes dépens  ( je reproduis ce règlement, plus bas : c’est un bon règlement.)

Au-delà des apparences, je ne peux m’empêcher de penser que c’est plus que tout ça.  À mon avis.  Le contenu de cette lettre de la Directrice est trop grossièrement tardif, à la fois, et irrationnel, c’est trop grotesque et trop tordu  :  il y a autre chose.  Un motif autre que ceux qui sont exprimés.  Mais quoi ?  Je finirai par savoir.

Vous pouvez lire la date entourée de rouge sur le document  :  9 avril 2016 (2016-04-09).

La lettre enregistrée de la Directrice (reproduction jpg, plus haut), à laquelle elle joint le document ci-dessous daté du 9 avril 2016, est datée du 23 novembre 2016  : huit mois plus tard !


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c)  Ma réponse à la lettre de la Directrice du Hlm:

Saint-Zénon, 28 novembre 2016

Madame Sylvie Champagne, Directrice du Hlm,
Membres du Conseil du Hlm,

Office Municipal d’Habitation de Saint-Zénon,
[rue … ],
Saint-Zénon, Qué., J0K 3N0

Cette lettre est en réponse à votre courrier recommandé qui m’a été envoyé par vous et par le Conseil du Hlm subventionné de Saint-Zénon, lettre datée du 23 novembre 2016.

Je soumets et déclare respectueusement ce qui suit :

En résumé, d’abord  :

a) Le carré de papier sur le détecteur de fumée a été enlevé il y a 7 mois environ. Ça fait longtemps. Explications plus bas.  Ce n’était pas moi qui l’avait apposé.

Vous me prévenez de la chose, par écrit, 8 mois après que l’inspecteur vous en ait avisé. L’inspecteur, non plus, ne m’a jamais avisé de la chose. J’étais présent durant l’inspection. Voir plus bas.

b) Il n’y avait pas de punaises de lit. C’est d’ailleurs ce que l’exterminateur vous a dit et a dit à un témoin. Je n’ai pas de lit, matelas, fauteuils. Je dors sur un lit de camp pliable à empattements de métal depuis vingt ans.

c) J’ai résolu cet ” encombrement ” du logement, dont vous parlez par ouï-dire, dans la mesure où la chose correspondait à la réalité..

Fin du résumé.

*

Le détecteur de fumée et la sécurité

C’est une accusation sérieuse, mais sans preuve aucune contre moi, celle « de nuire à la sécurité de tous », que vous portez dans votre courrier recommandé, lettre datée du 23 novembre 2016.

C’est la raison essentielle pour laquelle je vous réponds.

Mentionnons que, de manière frappante, vous omettez de mentionner ma sécurité, comme si j’étais une sorte d’entité abstraite et que ça ne me concernait pas du tout. Ou comme si j’étais un parfait idiot qui raffole de nuire à sa propre sécurité.

[ En passant, si vous voulez avoir une idée plus juste de ma réputation comme locataire, pourquoi n’appelez-vous pas les noms indiqués en références sur le bail lors de sa signature, notamment la propriétaire qui m’a loué une chambre pendant près de 8 ans, au Lac Saint Louis (Saint-Zénon), jusqu’en 2015, avant mon déménagement au Hlm de Saint-Zénon ? ]

Je ne sais pas qui avait collé, avec du scotch-tape transparent, le bout de papier blanc sur le détecteur de fumée blanc, et sur fond de plafond blanc, et de plus dans une zone légèrement ombrée, et plutôt en retrait, du logement.

Ce que je sais, c’est que ce n’est pas moi.  L’hypothèse la plus vraisemblable est que c’était ainsi quand j’ai aménagé.

Par ailleurs, je ne passe pas mon temps à marcher le nez pointé au plafond pour tenter d’y distinguer un petit truc plat et blanc, qui joue les caméléons immobiles sur un objet blanc, lui-même sur fond blanc.

99% du temps, le regard de l’être humain porte à l’horizontale ou vers le bas.

C’est tardivement que j’ai remarqué le bout de papier blanc sur le détecteur de fumée. Probablement fin avril ou début mai 2016.

J’ai allumé les lumières du passage. Allumé au maximum les lumières de la salle de séjour. Le détecteur se trouve dans une zone légèrement plus ombrée du logement, entre le passage et la salle de séjour. Je suis monté sur un marchepied. Mis mes lunettes. Regardé un peu. J’ai enlevé le bout de papier.

Simple.

Je l’ai fait sans brandir de baguettes et sans lancer d’accusations gratuites contre qui que ce soit.

Il vous suffisait pourtant de m’appeler pour me le dire. Vous ne l’avez jamais fait.

L’inspecteur vous avait pourtant envoyé la photo en avril 2016 ! Vous avez négligé de le faire :

Vous avez attendu 8 mois.

Par ailleurs, les détecteurs de fumée ne sont en rien mon champ d’expertise.

De quoi allez-vous m’accuser la prochaine fois ? Comme ça. Gratuitement. Tout d’un coup.
Il est important de souligner que l’inspecteur, un monsieur Lemelin (vous mentionnez son nom) ne m’a pas signalé non plus la présence de ce bout de papier blanc sur le détecteur quand il est venu inspecter mon logement, en ma présence, en avril 2016, soit environ un mois avant que je remarque ce bout de papier.

La sécurité de tous – et la mienne – tenaient probablement une telle place dans le coeur de l’inspecteur qu’il en oubliait que j’habitais le logement qu’il inspectait en ma présence. Motus. Il ne m’a rien dit. Pas un mot.

Les grandes émotions humanitaires profondes, c’est fou comme ça rend parfois muet..

Cependant, en négligeant de me signaler la chose, en négligeant de me prévenir très simplement au lieu de filer en douce sans rien me dire, l’inspecteur me cachait sciemment quelquechose qui revêt pourtant une grande importance à ses yeux – si l’on en croit ce qu’il écrit dans le document que vous me faites parvenir – ou alors il prenait à la légère une chose qui, de sa propre affirmation, encore une fois, ( re: le document que vous m’envoyez et qui émane de lui ) constitue, écrit-il, « un comportement » qui « nuit à la sécurité de tous » ( oubliant, lui aussi, de manière frappante, encore une fois, tout comme vous, de mentionner ma propre sécurité personnelle ).

C’est près de HUIT MOIS après l’inspection du 9 avril 2016, date indiquée dans le document que vous m’envoyez le 23 novembre 2016, donc bien après que vous en ayiez été avisée en tant que directrice du Hlm de Saint-Zénon, tout comme le Conseil (la preuve datée est, encore une fois, le document même que vous m’envoyez), que vous m’avisez, soudainement, de la chose.

HUIT MOIS après. Et vous m’accusez de négligence et de nuisance !?!

Cette négligence de votre part, et ce délai d’une durée inexplicablement longue, avec preuve à l’appui fournie par vous, constituent un comportement qui n’est pas rassurant quant à ma sécurité et à la sécurité de tous.

Cependant, encore une fois, c’est moi que vous accusez.  Sans preuve aucune.  On finira par croire que vous faites ça pour vous “couvrir”.

Vous aurez compris que votre avis est sans objet depuis longtemps quant au détecteur de fumée. Comme je vous ai dit, j’ai enlevé le truc en papier blanc il y a plusieurs mois.

Cependant, cet avis, en soi, m’inquiète quant à « la sécurité de tous » y compris la mienne – vu le retard énorme dans le signalement de quelquechose qui, selon vos propres termes et ceux de l’inspecteur, est très important, justement, pour la «sécurité de tous ».

Il vous suffisait pourtant, tout simplement, encore une fois, de me donner un coup de fil il y a HUIT MOIS et de me signaler la chose : je l’aurais vu dès ce moment-là, et je l’aurais enlevé.

Mais c’était probablement trop simple.

Ou il y avait d’autres raisons que je ne connais pas.

*

Les punaises de lit m’haïssent et ne me fréquentent pas

Il n’y en avait évidemment pas ( des punaises de lit ) dans mon logement quand l’exterminateur est passé récemment, en novembre. Et pour raisons. Lire plus bas.

L’exterminateur, en mon absence, a bel et bien inspecté mon lit de camp, léger, à empattements de métal –  contrairement à ce que vous laissez entendre. Car il l’a inspecté, soulevé, tourné, etc., c’était évident, et il l’a fait sans encombres ni encombrements puisque rien d’autre n’a été déplacé.

Par ailleurs, je n’ai à me plaindre d’aucune façon du travail qu’il a effectué dans mon logement. Selon un témoin, il a répandu du produit, au cas-où, par précaution. Mais il a affirmé qu’il ne trouvait ni pdl, ni traces de pdl. Bredouille

Pas étonnant qu’il n’y ait pas de pdl chez moi : Je n’ai pas de matelas.  Ni simple, ni double. Comme ceux que j’ai vu traîner, éventrés, pendant des semaines, dans la cour du Hlm, après la visite de l’exterminateur.

Je n’ai évidemment pas de sommier non plus. Pas de fauteuils non plus. Rien de tout ce que les punaises de lit cherchent.

J’ai quatre chaises pliantes en métal. J’en utilise trois. Le métal, pas attirant du tout pour les punaises de lit.

Je n’aime pas les choses encombrantes qui prennent toute la place et, surtout, ne servent à rien, sinon à vous massacrer le dos pendant qu’on se fait croire que c’est confortable. Comme les fauteuils. Les matelas.

Je n’ai pas de téléviseur non plus. Évidemment. C’est énorme. Laid. Encombrant. Régressant. Abrutissant. Je n’en ai pas depuis vingt ans.

Même chose pour les commodes qui semblent toujours contenir plus de bois que de vêtements. Mes contenants en plastique, qui s’emboîtent bien, toujours aérés par des orifices, contiennent, eux, énormément moins de plastique que de vêtements.

Frigo : deux cubes Danby Star Energy. À eux deux, ils occupent beaucoup moins d’espace qu’un frigo ordinaire.

Je dors depuis vingt ans sur un petit lit de camp qui repose sur des empattements de métal. L’épaisseur de la surface du lit de camp est d’environ 1 cm. Matière non-poreuse, pleine. Les punaises méprisent ces choses.

Donc, n’ayant pas de “lit” épais et mou, voyageant très peu, et ne pratiquant pas la promiscuité qui fait allègrement passer les punaises de lit (bien nommées) d’un matelas à l’autre, les pdl me détestent, me snobent, et, finalement, me fuient.

Je ne peux que m’en réjouir.

Par ailleurs, toujours suite à votre courrier enregistré du 23 novembre 2016,   j’ai réglé le problème de “l’encombrement”, comme vous dites ( mention basée sur du ouï-dire, en passant ) dans la mesure où il existait.

Je ne garde que ce qui est indispensable à mon métier, à mes autres taches, à la vie, à la sustenance quotidienne, à la survie. C’est fait.

*

Certains de mes outils de travail

J’aimerais vous signaler que, notamment, mais pas exclusivement, tout ce qui est livres, papier, papeterie, notes, documents personnels ou publics, manuscrits, équipement électronique, tables, etc., sont des choses indispensables dans mon cas. Ce sont mes principaux outils de travail : mon métier est celui d’écrivain, c’est mon statut auprès de Copibec, Revenu Canada, Québec, etc.

*

Bruit d’enfer, détecteur, appels téléphoniques bloqués, directrice introuvable – et la sécurité

Si je voulais savoir, par exemple, si le détecteur de fumée est présentement fonctionnel, ou si n’importe quoi d’important survient : à qui m’adresser ?

Je n’en sais rien.

Qui appeler ?   Vous ?

Impossible.

Vous avez bloqué mes appels à votre répondeur depuis au moins mai 2016, soit depuis environ SEPT MOIS, à la suite d’une série d’appels que j’avais faits pour vous signaler que la nouvelle voisine, C.B., au [logement zzz], ( je suis au [logement yyy], mur contiguë ) faisait continuellement des partys extrêmement bruyants, qui duraient des heures, jusqu’à très tard dans la nuit, avec plusieurs invité(e)s, à partir de 19h00 ou 20h00 du soir jusqu’à 4h30 du matin, ou plus tard encore. Un bruit d’enfer. Littéralement.

Un bruit d’enfer qui m’a empêché de dormir normalement pendant des jours.

À un certain moment, C.B., la locataire du [logement zzz] (qui, depuis, a changé de logement), est venue frapper à pleine main, ou avec un large objet plat, à toute force, comme une furie, dans ma porte, parce que j’avais cogné quelques coups dans le mur pour les inviter, implicitement, à respecter le couvre-bruit de 23h00, qui est inscrit dans les règlements  –  en fait, le règlement sur le bruit, que vous faites signer à tous les locataires, est beaucoup plus étendu et sévère que ça, comme vous le savez  :  voir plus bas.

Quelques minutes plus tard, une autre locataire du Hlm, L.F., apparemment une des invitées de C.B., m’a menacé, à travers la porte de mon logement, de coups et blessures (“M’as t’casser a guieule!”).

Au lieu d’intervenir pour faire cesser ces agisssements, votre solution a été de … m’empêcher dorénavant de vous les signaler.

Votre répondeur a refusé, à partir de ce moment, de prendre mes messages.

Vous l’avez d’ailleurs admis de vive voix deux mois plus tard, début juillet 2016, lors du renouvellement du bail ( mais après l’avoir nié environ deux mois avant, en mai, quand je vous ai appelée d’une cabine téléphonique ) en m’expliquant que c’était votre compagnon (“chum”) qui vous avait demandé de placer votre répondeur en mode de refus de mes messages.

C’est comme si vous aviez décrété que, en tant que locataire, je n’existais plus.

De plus, toujours lors du renouvellement du bail, début juillet 2016, à mon grand étonnement, vous vous êtes rangée du côté des deux femmes et des autres fêtard(s)s au mépris du règlement du Hlm.

Votre répondeur a donc été placé en mode de refus de prendre les messages en provenance de mon numéro de téléphone depuis au moins mai 2016.  Nous sommes fin novembre 2016.  Ça fait environ 7 mois.

Dans quelle mesure ce refus pouvait-il, et peut-il encore, nuire à la sécurité de ma personne ?

Et le cas échéant, à celle des autres ?

*

Votre attitude dans cette affaire est d’autant plus étonnante que vous faites signer, aux demandeurs et futurs locataires, le document suivant qui dit clairement :

« Comme vous savez la loi dit :

« Le propriétaire a l’obligation de procurer au locataire tous les services promis au bail ainsi que la jouissance paisible des lieux.

« De son côté, le locataire est tenu de ne pas déranger les voisins et d’éviter le bruit.   Quelle que soit l’heure du jour ou de la nuit, il n’a pas le droit de troubler la jouissance normale des autres locataires. »

Vous avez ajouté, sous ce texte de loi, ceci :

« Il ne devrait plus avoir de bruit entre 22heures et 8 heures du matin. Les procédures seront prit auprès de la régie après le troisième avertissement.

« S.V.P : n’oublier pas que vous être dans une office d’habitation pour personne âgée, la tranquillité est obligatoire. »

La Direction de OHM St-Zénon

Et vous faites signer comme quoi le demandeur s’engage à respecter cette loi et le règlement.

…/


hlm_saint-zenon_loi__reglement_sur_le_bruit_annote_02


/…

Donc, depuis mai 2016, depuis environ sept mois, je ne peux pas vous laisser de message sur votre répondeur.

Vous m’empêchez de communiquer avec vous.

En tout cas, vous ne m’avez avisé d’aucun changement à cet égard. Ni par téléphone, ni autrement.

Ce qui constitue, à tout le moins, un traitement inusité.

Ce qui est littéralement interdit, faut-il même le mentionner, par l’amendement de 1982 à la Constitution Canadienne (article 12) !

Et ce qui constitue aussi, encore une fois, un comportement qui, en certaines circonstances, pourrait nuire à ma sécurité et peut-être à la sécurité de tous.

On pense, cette fois, à l’article 7 (amendement de 1982) qui affirme le droit à la sécurité de la personne.

La seule façon de communiquer avec vous, dans tous les cas, y compris en cas d’urgence, est donc de vous écrire à l’adresse officielle du Hlm et de vous faire parvenir la lettre par la poste … Drôlement efficace.

Mais surtout, pour être sûr que vous allez, non seulement recevoir, mais considérer le message, la seule façon est de vous faire parvenir la lettre par courrier recommandé.  Et à une adresse, en plus, où vous n’habitez pas,

Encore une fois, ce comportement, en certaines circonstances, pourrait nuire à ma sécurité et peut-être à la sécurité de tous.

*

Mois de loyer d’avance

Je vous ai proposé grâcieusement, au moment de la signature du bail en octobre 2015, de vous verser 1 ou 2 mois de loyer d’avance sur le loyer courant payé, comme il m’est arrivé de le faire parfois ailleurs.

Ça constitue une caution, et une sorte d’assurance advenant tout événement.

J’attends toujours votre confirmation.

Veuillez croire à l’expression de mes sentiments,

Hamilton Sinclair

cc :  autorités et personnes concernées.


Comment se débarrasser d’un bon locataire 1/4 : Par accusations fausses, genre : « Vous nuisez à la sécurité de tous! »

Comment se débarrasser d’un bon locataire 3/4 : Maintenir des «pas de», Exemple : Pas d’insonorisation. Pas d’espace de remisage.


© Copyright 2016 Hamilton-Lucas Sinclair (Loup Kibiloki, Jacques Renaud, Le Scribe), cliquer


«Un univers clandestin d’une ampleur insoupçonnée.»  Rapport Duchesneau, la Corruption au Québec. Texte intégral.


Document Flaherty : Le Canada entend autoriser les banques à saisir l’argent des clients pour se renflouer (bail-in)


Canada, Québec, Ontario …  un proto-totalitarisme souterrain persistant.

Canada : Pouvoir dérogatoire canadien et pouvoir dérogatoire hitlérien sont identiques.

Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, Nations-Unies. Texte complet et intégral.

Depuis 1982, le Parlement canadien – tout comme chacune des législatures du pays – ont le pouvoir constitutionnel de violer, sans aucun recours légal possible, au moins 18 des 30 articles de la Déclaration universelle des droits de l’Homme des Nations-Unies, soit les articles suivants1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 17, 18, 19, 20, 26, 29.

Ce pouvoir dérogatoire canadien, c’est l’article 33 de la Charte des droits et libertés canadienne de 1982, qui fait partie de la Constitution canadienne :  Charte des droits et libertés du Canada (1982; lire l’article 33 en allant à la page 48)  ;  English : Canadian Constitution Act, 1867-1982 (1982; go to page 47, read article 33)

Documents de référence – La d’Habilitation nazie mars 1933, pouvoir dérogatoire québécois (1975), canadien de 1982. Essentiellement, les extraits pertinents de la Charte québécoise, de la Charte canadienne, et la Loi d’Habilitation allemande de mars 1933 au complet.


Québec: la clause dérogatoire et la loi 204.    –     Collusion : Karl Péladeau à Hydro-Québec et la Loi Labeaume-Maltais (loi 204)

Milgram, la torture, l’abîme de l’obéissance. Les candidats sont légion.

Le danger d’être canadien, le danger d’être québécois

Avons-nous jamais vécu en démocratie? Pétitionne, trace ton x, cause toujours.    –     Le Petit x du vote: Acte de liberté – ou Pacte de soumission?    –    Nos démocraties: Liberté ou Soumission volontaire?


Arrêtez de raser les parterres et de massacrer les plantes sauvages. Plus de 500 espèces de plantes en danger au Québec.     –    Terrorisme domestique et destruction de potagers par les municipalités : Aux profits de quel lobby ?   –    Invasions de domiciles : Tout se passe comme si on voulait abolir la légitime défense.


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