Les leaders éphémères. Ou effémères. 2/2. Les impressions que me laissent les Macron, Trudeau, Legault (François), Scheer, Klaver, Bartley, Guaido, Obama, etc. (Carnet de Notes)

Ces leaders effémères sont-ils destinés à s’avaler eux-mêmes dans le néant béant de leurs grands sourires?  Impressions.  Impressions.

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Les leaders éphémères. Ou effémères. 1/2. Le couple Brigitte Trogneux-Emmanuel Macron. Norman Bates, Psycho d’Hitchcock, Oedipe Roi. (Carnet de Notes)

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Juan Guaido. Wannabe usurpateur de pouvoir vénézuélien.  («Veut être», «want to be», «wannabe» («ouanebi»)).

Emmanuel Macron, Justin Trudeau, François Legault (Premier Ministre du Québec et doyen de la liste), Andrew Scheer (Parti Conservateur, Canada), Jesse Klaver (chef, Parti Vert, Hollande),  Jonathan Bartley (chef, Parti Vert, Grande Bretagne); plus récemment, Juan Guaido, marionnette de la Cia, prétendant être président du Venezuela :  dans une approche impressionniste, ils ont en commun cette allure plus ou moins prononcée d’ados béats ou de garçonnets.

Têtes-heureuses.  Souvent.  Sourires largement fendus – parfois au point d’en être quasi self-décapitants.  Ou plutôt, “self-décalottants”.  On dit bien : «sourire fendu jusqu’aux oreilles».

Ces leaders effémères semblent physiquement et psychologiquement attardés à l’adolescence.  Voire, à l’enfance.  En l’enfance.  C’est «vibratoire», comme on dit (l’expression sonne niouédje).  On peut le dire autrement.  On peut dire que ce sont des «impressions» (le mot a une consonnance plus oldédge).  Qu’importe.  Impressions qui reviennent chaque fois qu’on aperçoit les personnages en question.  Impressions persistantes.

Comme si ces leaders, ou wannabe leaders, ou ce wannabe usurpateur de pouvoir (Juan Guaido, Vénézuela) baignaient dans une sorte d’invisible albumine bio-psychique.  Leaders moites.

Jesse Klaver, Leader, Parti Vert, Hollande. Élevé exclusivement par sa mère.

Cette impression émanait aussi, en bonne partie, de Barack Obama.  Même sorte de langage corporel. Béatement souriant.  Même allure générale “boyish”.  Mêmes allures d’adolescent naïf.  Mais je ne l’étais pas moi-même assez pour croire qu’il l’était vraiment.  Obama est dans une classe à part. Mais tout aussi “moite”.  Comme dans “main moite” (métaphoriquement, certainement).

La naïveté est un charme chez l’enfant.

Chez l’adulte, les allures de naïveté, ou la naïveté elle-même, sont ridicules.  Cette naïveté finit même par m’apparaître morbide. Certainement dangereuse.  Ça peut confiner à la perversion.

Quelquechose, en l’adulte attardé à la naïveté, sait ce que la naïveté ignore, ou semble ignorer, ou veut ignorer.  Le mélange de naïveté apparente, d’une part, chez cet adulte, avec, d’autre part, le savoir qui sous-tend, comme une ombre, cette naïveté de surface, constitue une “chimie”, un mélange, extrêmement toxiques, pour soi-même et pour l’entourage,  —  et quand l’entourage est une nation, l’épandage toxique produit par le leader peut provoquer dans la population des réactions de survie de grande envergure et d’une extrême brutalité.

Ces réactions relèvent du champ des questions de vie ou de mortTu niaises pas avec ça.

Emmanuel Macron, à mes yeux, appartient à l’espèce très sommairement décrite ci-haut.

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Leaders politiques fin-d’Empire, fin-de-civilisation, liquéfaction-de-société.

Je me suis inventé un mot pour les désigner :  «effémère».

Ils semblent subliminalement baigner jusqu’aux narines dans les rêts humides des eaux maternelles.

Ces leaders, ou ces aspirants-leaders, ces “wannabes groûmés”, n’ont pas “grandi”, on dirait.  Ils n’auraient pas mûri.

Ils se donnent parfois des airs de durs, comme Macron et, justement, «ça fait dur» (c’est risible, ridicule).

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Depuis qu’il est apparu sur la scène publique, Macron me fait penser à Norman Bates, le héros psychopathe du film Psycho d’Alfred Hitchcock.  (Lire : Les leaders éphémères. Ou effémères. Le couple Brigitte Trogneux-Emmanuel Macron. Norman Bates, Psycho d’Hitchcock, Oedipe Roi.)

Anciennement, on aurait dit des leaders effémères quelque chose comme “ce ne sont pas des hommes”.  Oui, métaphoriquement, mais ce ne sont pas des femmes non plus.

C’est comme s’ils avaient été définitivement fixés et encapsulés, à un âge encore tendre, dans la substance psycho-biologique maternelle, et qu’ils n’avaient pas pu en sortir et évoluer hors d’elle.  Ils y nagent depuis.  Comme dans une bulle.  Nous sommes dans l’Âge des Bulles.  Elles gonflent et poppent, elles gonflent et poppent.  Eux aussi.

Encore une fois, ils semblent être demeurés sous l’influence profonde et infantilisante de leur(s) mère(s).

Toujours immergés en elles.

Toujours portés par elles.

Submergés de manière permanente.

Justin Trudeau, Premier Ministre du Canada

Comme des petits poissons vulnérables, multicolores, bienheureux, prisonniers d’un perpétuel aquarium sur lequel se braquent sans fin d’insatiables réflecteurs qui les transforment en pixels aux mille couleurs pendant qu’ils nous gavent de paroles et de sons digitaux et qu’on les gave d’applaudissements.

Ils n’ont jamais émergé de ces eaux.  On les y a attardés.  On les y a retardés.  Assez longtemps pour qu’ils y soient restés.  Gentils.  Et cruels aussi.  Cruels comme le sont souvent les gens qui sourient très, très, très largement et qui sont très, très, très gentils.  Brillants?  Parfois.  Mais le plus souvent, ils le sont comme pourrait l’être une pommade capillaire. Leur image publique est une pommade qui brille.  Ça fait propre.

Ces leaders effémères semblent aussi être fondamentalement sans défense.  Physiquement très vulnérables.  Délicats.  C’est une impression.  Sauf rare exception (comme Justin Trudeau qui, apparemment, peut boxer), ils semblent être sans capacité personnelle de défense physiqueSauf extérieure à eux :  par les artifices brutals et léthaux, surexcités, énervés, inquiets, matraquants, des forces d’un ordre horriblement conformiste et aveuglément obéissant, forces qui maintiennent..  de force, contre une population désarmée, un désordre psycho-matériel sous-jacent à ces démocraties humides, glissantes, délirantes, que les nôtres sont devenues, pourrissantes, souvent glaireuses et, pour cette raison, toujours surabondamment torchées et savonnées  —  mais ça sent toujours quand même.

Emmanuel Macron, débat électoral télévisé du 20 mars 2017.

Gentils des lèvres.  Des joues.  Des yeux.  Du plissement fin des paupières ou de la dilatation des yeux.

Sans véritable intelligence du monde.

Psychologiquement, ils sont coupés du monde.

Sentiments?  Ils sont en culottes courtes.  Niveau fleur-bleue.  «Il faut penser printemps.»  Macron dixit.

Ces leaders sont en partie le résultat, entre autres choses, de plus d’un siècle de suprémacisme féministe croissant, liquéfiant, décadent, – qui a engendré, notamment, le phénomène épidémique et souvent pathétique des “maman-solo”, –  suprémacisme féministe croissant à la faveur duquel les attaques vicieuses et répétées contre les pères et les mâles, et notamment contre les jeunes garçons, n’ont jamais cessé.  Ont constamment augmenté.

Ces attaques sont devenues, avec le temps, de plus en plus collantes, tentant toujours de reserrer l’emprise idéologique moulante et débilitante des concepts féministes bancals, souvent délirants, sur les générations successives.

Le féminisme a moulé l’esprit et la “chair subtile” de générations de femelles et de mâles. Et en même temps, les attaques féministes sont devenues de plus en plus stridentes et affolées, névrotiques, menteuses, absurdes, butées, hystériques, risibles, comme si le féminisime était devenu la proie angoissée de son propre chaos, de son propre désordre, de ses propres manipulations.

Ces leaders, ces garçonnets féministés, effémères, ne peuvent accomplir autre chose que la dissolution croissante de leur propre nation. De leur propre société. De leur propre civilisation.

Ou dirait-on qu’ils accompagnent, plutôt, la dissolution, qu’ils s’y coulent, en quelque sorte, autant par destin que par affinités?  Ils ne la provoqueraient pas, cette désintégration-dissolution, ils en seraient plutôt l’objet. Comme la majeure partie des gens.

Ces leaders effémères seraient ainsi de potentiels scapegoats.  De potentiels boucs émissaires. Notons qu’il n’importe pas, essentiellement, qu’un bouc émissaire soit “innocent” ou “coupable” :  son rôle ne relève pas de ces catégories.  Mais il est chargé de fautes.  D’abord fêté, toujours, porté en triomphe, puis éventuellement, quelque temps plus tard, sacrifié.

Il est fort possible que, sans le savoir, ces leaders effémères préparent le terrain pour la montée d’une réaction qui pourrait les écraser.  Sous une forme ou une autre.

Boucs émissaires béats, bien préparés par des forces immanentes, et mûrs pour l’ultime orgasme.  Au fond de l’aquarium.  Ou au bout d’un hameçon.  Ou d’une pique.

Métaphoriquement, certains diraient peut-être qu’ils sont subliminalement “vaginals”.

De toutes manières, je pense qu’ils n’y peuvent rien.  En tout cas, pas grand’chose.

Au suivant.


Les leaders éphémères. Ou effémères. 1/2. Le couple Brigitte Trogneux-Emmanuel Macron. Norman Bates, Psycho d’Hitchcock, Oedipe Roi. (Carnet de Notes)

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Les courants humains n’ont jamais eu besoin des religions pour délirer, c’est un mythe humaniste. Greta Thunberg, Mao, Valérie Plante, les kids fanatisés.

Quand les mères de mort dominent invisiblement la psyché

L’avortement, le foetus, Morgentaler, et la peine de mort :  les holocaustes préventifs

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