Sugar Sammy, hangover, gueule de bois et Radio-Canada: les clichés sont tenaces et collants.

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Oui, on est pas capable!

Les mythes sont tenaces. Les clichés sont collants. Jusque dans les choses simples.

Jusqu’à faire en sorte que 3 n’égale pas 3.

Le cliché dont il va être question ici, c’est celui qui voudrait qu’un texte en français, c’est toujours plus long et moins punché que son équivalent en anglais.

Disons dès le départ que Dominique Poirier est  l’une des rares animatrices ou animateurs de la bulle masse-médiatique qu’il est souvent utile d’écouter à Radio-canada.

Néanmoins. Comment résister… Once upon a time…, un standup comique anglo-québécois du nom de Sugar Sammy est interviewé par Dominique Poirier à l’émission Libre comme l’Air, Radio-canada (radio-ronron, radio-hypnose). L’entrevue est une entrevue sérieuse (lien à la fin de l’article).

Vous pouvez obtenir un bon punch avec l’expression anglaise “hangover”, dit le standup comique, c’est court, ça marche, dit-il à peu près, c’est efficace, “hangover”, mais vous pouvez pas faire ça en français, parce qu’en français, “hangover”, c’est “lendemain de veille”, et “lendemain de veille”, c’est trop long.

Ah … ?  Sûr de ça ?   

 

Sugar Sammy

Sugar Sammy. Yes, don’t worry, on peut pas l’faire.

Sugar Sammy ne connaît pas l’expression “gueule de bois”, ou “mal de bloc” (ou encore que “lendemain de veille” est aussi court que “hangover”, comme on peut le voir plus loin) …  Possible? Qu’il ne sache pas? L’intervieweuse, Dominique Poirier, non plus, “ne sait pas”. Apparemment. Possible. Mettons.

Mais même si, par miracle, ça leur “revenait”, à mon avis ça ne changerait pas grand-chose.

Il est important de souligner ici que l’outil par excellence de Sugar Sammy (qui se produit aussi en français) et de Dominique Poirier (animatrice à la radio francophone), c’est la langue, et le contenu de ce post en acquiert plus de sens encore.

Botticelli_Naissance_de_Venus

La Naissance de Vénus de Botticelli.

Rendez-vous compte, renchérit Sugar Sammy, sérieusement, après avoir insisté artificiellement sur la pseudo “longueur” de l’expression “len-de-main-de-veil-le” (en détachant chaque syllabe de l’expression telle qu’elle s’écrit): “len-de-main-de-veil-le”, on le voit bien, “c’est bien trop beau” (sic). Dit sérieusement.

Trop long et trop beau. Deux clichés mythiques associés au français.

Mais Sucre a raison. Il faut l’admettre.

Pensez-y.  C’est évident.

Les jardins suspendus de Babylone. On les voit tout-de-suite apparaître dans notre oeil intérieur…

Quand on entend “len-de-main-de-veil-le”, tout de suite on pense à La Naissance de Vénus de Botticelli, par exemple, ou encore aux jardins suspendus de Babylone, c’est automatique.

Ou au Taj Mahal.  Surtout au Taj Mahal.

Et c’est 6 syllabes, non?  Le double de “hangover”.   “Len-de-main-de-veil-le”, c’est vraiment trop beau et trop long.

Ils ne savent pas compter? … On y vient.

Le Taj Mahal – on y pense aussi tout-de-suite, il vient se surimposer, le spectacle est renversant, submergeant, amniotique…

Et l’animatrice-intervieweuse est bien d’accord, et elle le souligne aussi, elle renchérit, ah oui, ah oui, oui, oui, l’anglais n’est-il pas plus drôle que le français, suggère-t-elle à Sugar Sammy, hum? hum? (dites-le, dites-le, ça me ferait tellement plaisir) et la la la (ces deux-là n’ont jamais lu Albert Memmi, ma main au feu, sinon ils se sentiraient tout nu…).

Pendant tout ce temps, nos deux véhiculeurs de clichés éculés n’ont pas noté que:

1  –  En langue parlée, “hang-ov-er” fait 3 syllabes.

2 –  En langue parlée, “len-d’main-d’veil” fait 3 syllabes.

3 = 3.

Et les stand-up comiques, à moins que je ne me trompe, exercent un métier parlé

Donc, 3 = 3, mais ni Dominique ni Sucre ne s’en aperçoivent.

En plus,  “mal de bloc” n’existe pas pour eux. “Gueule de bois” non plus. Ces deux expressions, elles aussi,  font 3 syllabes, comme “hangover”, qu’elles traduisent, et comme “len-d’main-d’veil” qui traduit aussi “hangover”. Y connaissent pas. Curieuse “ignorance”, curieuse “incompétence”.

*

Moi, sous hypnose?

Moi, sous hypnose?  Et vous ..

Sont-ils tous les deux sous hypnose? À mon avis, oui. Hypnose ordinaire: ils ne savent pas ce qu’ils disent. Mentalité engluée dans les clichés, d’aucun dirait: mentalité  “colonisée”.

Oh! Ah non. Non non. Pas ce mot-là encore?!

Oui.

Et même. Attention. Je vais de nouveau le clavigraphier, faut me pardonner, c’est mon petit côté malicieux: co-lo-ni-sé(e).

Portrait du colonisé, d’Albert Memmi, n’a pas été retiré du marché encore, et vous savez pourquoi? Parce qu’on le lit encore beaucoup partout dans le monde, qu’on l’apprécie à juste titre, et qu’il est pertinent et d’une extrême utilité.

Et savez-vous? À sa sortie, le livre était dédicacé aux… taratatam! aux… Canadiens-français! Ah ben?!… Ah ben oui. Intéressant, gênant, amusant, make your pick. Jamais lu? Lisez ça. (Je ne garantis pas que vous  retrouverez nécessairement la dédicace d’origine dans l’édition que vous allez acheter, mais c’est une autre histoire – et c’est à vérifier, et si vous faites une recherche pour vérifier, vous allez trouver et constater que je dis vrai).


Couverture d’une édition des deux portraits. Il faut parfois transposer le contenu,  dépendant des régions du monde.  C’est un jeu de sociétés.  Distinctes.

Pendant que vous y êtes, lisez aussi le Portrait du colonisateur, toujours d’Albert Memmi.

Il ne faisait pas les choses à moitié, le monsieur (chez folio actuel, les deux Portraits du, c’est dans le même livre) –  et vous allez découvrir des dimensions de la vie quotidienne que vous ne soupçonniez pas – et dont nos deux hurluberlus sont, à la fois, d’excellentes et d’amusantes illustrations.

Molière se serait délecté – et La Bruyère a probablement déjà écrit, dans le contexte de son époque, quelquechose qui recoupe l’évocation de cette mentalité où se mêlent étrangement – et pour la plupart des gens, invisiblement et inaudiblement –  une mentalité de servilité active ordinaire (colonisée), et une mentalité de mépris béat et sous-cultivé tout aussi ordinaire (colonisante).

*

Bref, Sugar et Dominique ne connaissent pas “gueule de bois”, “mal de bloc”, comme si l’arithmétique élémentaire leur avait été soudainement effacée de l’esprit!… (je vous dis, ça va chercher loin).

Et ça changerait quoi que ça leur revienne?

Probablement pas grand’chose.

Sugar Sammy nous dirait que “gueule de bois”, “mal de bloc”, c’est aussi beaucoup trop beau, et on le sait, les standups comiques sont des gens extrêmement respectueux des normes, des musées et des louvres, des religions, des moeurs, de l’esthétique classique. Ces expressions, “mal de bloc”, et tutti quanti, c’est vraiment beaucoup trop beau.

Et long, mais long, beaucoup trop long, vraiment trop long: 3 syllabes, c’est beaucoup, beaucoup plus long que 3 syllabes.

Ça t’amuse, tout ça, hein Albert? … T’as raison. (C’est Albert Memmi.)

Et c’est vrai que l’anglais est plus drôle que le français. Ça, on peut pas le contester: prenez “hangover” et répétez-le plusieurs fois, vous allez voir, vous allez crever de rire.

Plus que ça, en fait:  la langue anglaise est tellement drôle en soi qu’on a même pas besoin de standups comiques dans cette langue. On a qu’à ouvrir soi-même le dictionnaire anglais et à lire tous les mots de 3 syllabes, on se tord de rire, pas besoin d’acheter de billets…

J’éteins la radio.  … Autant lire un dictionnaire.

J’aurai écoûté l’émission pendant environ dix minutes.

Trop.

Même si “trop”, c’est tout de même plus court que “too much”, “enough” ou “assez”, j’ai pas envie d’attraper un hangover ou un mal de bloc. À leur âge, il faut encore leur compter les syllabes. Un p’tit boulier-compteur, peut-être? Et une petite bavette? Un petit effort, répétez après moi: “1 égale 1,  2 égale 2,  3 égale 3…”  Allons…

Jean! Qu’est-ce tu fous! La blogosphère t’attends! …  (Portrait de Jean de la Bruyère, auteur de “Les Caractères” (de La Bruyère); le portrait est de Nicolas (de Largillière)).

Moliere_portrait

C’est qui, ça?… Ah ah… C’est Molière. Oui, oké, c’est vrai, j’admets, y est beau! Pis après!? Y peut faire rire à coups d’douze syllabes, lui! Douze! Y a pas un canard qui résiste!

Dominique et Sugar, lésseune: “Len-d’main-d’veil”, “gueul’-de-bois”, “mal-de-bloc”, ça n’est ni beau ni laid en soi, vous le découvrirez sans doute un jour, ça n’est ni efficace ni inefficace en soi, ni punché ni pas punché en soi, ni plus ni moins que “hang-ov-er”.

En fait, il suffit d’avoir un peu de talent, vous allez voir, je vous assure, y a des gens qui sont parvenus à en faire rire d’autres en français, c’est arrivé assez souvent, ça a même paru déjà dans les journaux, c’est possible, honeuste, je l’ai vu; même avec un tout, tout petit peu de talent, pas beaucoup, juste ce qu’il faut, on peut non seulement apprendre à compter, mais on peut même faire rire ou pleurer – avec à peu près n’importe quel mot.

*

Or, sentant venir la fin… de son article, l’horrible blogueur, soudain saisi de remords d’en avoir tant mis, et sans doute subliminalement inspiré par la structure narrative de quelque morceau choisi de Balzac jadis étudié à l’école et flottant encore dans les braises ombrées de sa mémoire, ajouta le (rather longuet) paraphe qui suit:

Rabelais_from_Wikipedia

Oui, je sais, c’est pas Balzac, c’est Rabelais – mais c’est pour rester dans l’ton d’l’article…  Et vous voyez bien. Non?  Y est laid! C’est un Français laid.  Y en a.  La preuve.  Hein?! Vous dites que… y est pas laid !?!  Bein là …

En fait, l’animatrice Dominique Poirier qui, de toute évidence, est douée pour ce qui est de se sentir bien dans son corps (l’expression du visage sur la photo un peu plus bas ne peut tromper personne – un studio, c’est un studio …) est une bonne animatrice quand elle se retrouve dans son élément. Une bonne animatrice masse-médiatique.

L’émission “Libre comme l’air” n’existe plus, tant mieux, mais j’ai découvert récemment, en poussant inopinément sur le bouton de mon mini-Grundig, que Dominique anime, depuis un bon bout de temps, une émission qui s’appelle “L’Après-midi porte conseil”.

J’ai pas tout écouté. Mais on donne souvent des conseils pratiques à l’émission. Conseils applicables. Et DP déteste le plastique. Moi aussi. Ça s’appelle “marquer des points”.


BalzacDavid1843large

Quoique Balzac (Honoré de) ait aussi sa place ici. Il a tout de même écrit La Comédie Humaine (comédie…). D’un autre côté, j’admets qu’une dame dirait sans doute de lui qu’il a une “belle tête d’homme”, un front noble, etc. Mais enfin, faut être raisonnable, on peut pas tous être laid, c’est épuisant à la fin. Les Français ont une grosse côte à remonter pour le devenir tous, c’est sûr – mais faut arrêter de tourner le fer dans la plaie. C’est dur, Sugar, tu sais. Très dur pour nous d’êt’ beau comme ça. C’est vrai, on est vraiment trop beau, on endure, c’est comme un sort, ou c’est l’karma… Mais avec le temps, peut-être…

Mais Dominique Poirier devrait pousser plus loin et insister pour qu’on réponde à certaines questions pertinentes qu’elle pose parfois, et auxquelles certaines pistaches invitées ne répondent pas en s’esquivant dans du blabla ou du hihi ou les deux.

Dominique: les questions pertinentes que tu les laisses dodger, reviendront te hanter, c’est une loi de la Nature. À petits coups de petit marteau, enfonce-les délicatement, mais fermement, tes questions pertinentes, comme des p’tits coins, jusqu’à ce que tes pistaches répondent, révèlent leur amande ou leur vide, et cessent de faire semblant de pas entendre.

( Ces petites questions pertinentes qui te viennent parfois, c’est une ouverture que la Nature t’offre sur une perspicacité plus grande que le conformisme intellectuel radio-canadien. Toute connaissance est réminiscence. )

Mais encore faudrait-il que tu acceptes de laisser crever tes abcès d’ignorance et que tu aies le courage de sortir du “group thinking” médiatique (ce que tu peux faire, je le sais).

*

Un bon rythme d’émisssion, “L’Après-midi porte conseil”, pas hystérique. Les deux pieds sur terre, aussi, grâce entre autres au clip quotidien qui s’intitule (à peu près) “les conseils pratiques de Monsieur Truc”.

C’est ce que j’aime, essentiellement, à cette émission : ces conseils pratiques débités sur un ton (qui se veut, et parfois est) humoristique.  En fait, c’est essentiellement le côté «conseils pratiques» (en plus de Monsieur Truc) qui fait l’intérêt de cette émission.

Les clips de Monsieur Truc sont archivés sur Radio-Canada ( lien direct à la fin de ce post).

Faites-en votre bien.


 

Dominique était aussi douée pour la danse et pour n’importe quoi d’apparenté (mais de quoi j’parle?!…) J’ai l’impression. En tout cas, elle s’y serait sentie bien. Ou plutôt non. Peinture surtout, sculpture. Mais je m’aventure, et je me demande pourquoi. Qu’est-ce que j’en sais? Bon, d’accord, je ne vivrais pas avec elle – mais elle non plus, c’est sûr (avec moi) – donc on peut pas la juger là-dessus (ni moi), donc je me demande vraiment, encore, pourquoi j’écris ça… (J’vais trouver.)

(J’ai trouvé. Oui, Dominique est une danseuse. Elle aime le rythme, elle en développe le sens. Elle chemine. À un rythme primesautier, joyeux, tactile, palpable, pondérable, mesurable, et en même temps indéfinissable – indéfinissable tant que le rapport qualité-quantité est harmonieux (on est alors dans l’art, et l’art, c’est l’art, voilà). Le rythme est étroitement associé aux nombres (dans les choses équilibrées et mouvantes, si on ajoute une touche de conscience, le qualitatif s’associe étroitement au quantitatif). Dans cette entrevue avec Sucre, Dominique a perdu le fil du nombre, comme on dit qu’on perd le Nord ou qu’on échappe ses billes. Sans les nombres et le rythme qui leur est associé, le qualitatif, isolé, s’est dégradé. L’un se dégrade, l’autre aussi. Ça s’est dégradé en clichés. Dominique a buté en dansant. Sur quelquechose. Une instruction déséquilibrante? Une émission dont l’aura ne lui convenait pas? Le chorégraphe de son émission, c’est le réalisateur de l’émission – et Dominique est la danseuse. Interaction, métronome. Beaucoup dépend du chorégraphe. Faut pas oublier.) Mais encore une fois, pourquoi j’écris tout ça? (J’vais trouver.)

(J’ai trouvé. Parce que la vie appelle ça.) Pourquoi la vie appelle ça? (J’vais trouver.)

En tout cas,  je persiste et maintiens que  3 = 3, toujours, on revient pas là-dessus.

Aussi: faut dorénavant éviter de nous servir servilement (sic-sic) des préjugés anglos anti-francos éculés comme j’en ai entendus moultes fois pendant 9 ans en Ontario et durant ma période pré-ado quand je me retrouvais dans les enclaves anglos de l’Île de Montréal.

Et comme on peut en entendre encore, en 2010, dans les masse-médias. Comme à Radio-Canada. Hè…  Plus ça change … (On va y revenir, je le sens.)

En attendant, lisez Albert Memmi.


 

Dominique_Poirier_animatrice

Dominique Poirier


© Copyright 20o9 Hamilton-Lucas Sinclair (Loup Kibiloki, Jacques Renaud, Le Scribe), cliquer


La censure massemédiatique et Radio-Canada : vous ne saurez jamais..

Ma télé décédait il y a 12 ans. Bon débarras.

Radio-Canada et l’insignifiance masse-médiatique.


 

«Un univers clandestin d’une ampleur insoupçonnée.» Rapport Duchesneau, la Corruption au Québec. Texte intégral.


Canada, Québec, Ontario …  un proto-totalitarisme souterrain persistant.

Canada : Pouvoir dérogatoire canadien et pouvoir dérogatoire hitlérien sont identiques.

Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, Nations-Unies. Texte complet et intégral.

Depuis 1982, le Parlement canadien – tout comme chacune des législatures du pays – ont le pouvoir constitutionnel de violer, sans aucun recours légal possible, au moins 18 des 30 articles de la Déclaration universelle des droits de l’Homme des Nations-Unies, soit les articles suivants1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 17, 18, 19, 20, 26, 29.

Ce pouvoir dérogatoire canadien, c’est l’article 33 de la Charte des droits et libertés canadienne de 1982, qui fait partie de la Constitution canadienne :  Charte des droits et libertés du Canada (1982; lire l’article 33 en allant à la page 48)  ;  English : Canadian Constitution Act, 1867-1982 (1982; go to page 47, read article 33)

Documents de référence – La d’Habilitation nazie mars 1933, pouvoir dérogatoire québécois (1975), canadien de 1982. Essentiellement, les extraits pertinents de la Charte québécoise, de la Charte canadienne, et la Loi d’Habilitation allemande de mars 1933 au complet.


Québec: la clause dérogatoire et la loi 204.    –     Collusion : Karl Péladeau à Hydro-Québec et la Loi Labeaume-Maltais (loi 204)

Milgram, la torture, l’abîme de l’obéissance. Les candidats sont légion.   –   Le danger d’être canadien, le danger d’être québécois

Avons-nous jamais vécu en démocratie? Pétitionne, trace ton x, cause toujours.    –     Le Petit x du vote: Acte de liberté – ou Pacte de soumission?    –    Nos démocraties: Liberté ou Soumission volontaire?


Lien vers un court portrait d’Albert Memmi par quelqu’un qui semble l’aimer beaucoup. C’est sur babelMed (c’est de là que provient la photo d’Albert – merci).

J’aime les conseils pratiques de Monsieur Truc. C’est une chronique quotidienne de l’émission animée par Dominique Poirier, “L’Après-midi porte conseil”. Lien vers les archives de Monsieur Truc.

(Si ça vous tente…) Lien vers l’émission Libre Comme l’Air du 21 juillet 2009 qui contient l’entrevue avec Sugar Sammy – déroulez vers le milieu de la page et cliquez sur le p’tit haut-parleur. Un jeu d’enfant. En espérant que lien tienne.

 


 

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