Le règne des sociopathes et la métamorphose de mes bottes d’hiver. (Carnet de Notes)

Le Cirque Covid :  « C’est un peu comme si les Grands Avides voulaient figer pour toujours l’agonie d’un système à un stade pré-terminal et l’y maintenir de force pour continuer à en profiter.  C’est un peu comme transformer un système agonisant en système zombie.»

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En écho à cet autre article sur le blog :  Covid19. François Legault en crise? Voudrait tasser Arruda? […]  Un gouvernement délirant dominé par un courant sociopathe.

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Bottes de sept lieues.  Celles-là sont d’été.  Une lieue, c’est 4 à 5 kilomètres. Un pas de sept lieues, à chaque enjambée, franchit environ 35 kilomètres.  Ainsi, par exemple, après quatre pas, c’est comme si vous aviez tout juste roulé à environ 140 kms/h en moins d’une minute.  L’esprit est rapide, prompt, et sait se déplacer instantanément. Ça conte plus qu’on pense.

 

J’en ai eu d’autres (des “visions”), mais je ne les ai pas transcrites.

J’ai été occupé à préparer mes bottes d’hiver.  Réparations, r’nippage, étanchéité, etc.  Opérations réussies.

Mes bottes d’hiver sont maintenant plus confortables et étanches que lors de leur achat il y a vingt ans.  C’est pas une blague.

Occupé aussi à préparer les vêtements de laine.  Opération en cours.  Plus ou moins avancée.  Couture, transformation, etc.

Si, tout comme moi, vous n’êtes pas assez riches pour vous acheter des pièces d’or ou d’argent, achetez des vêtements de laine, on en trouve pour presque rien dans les comptoirs vestimentaires.  

Éventuellement, on pourrait même vouloir vous les acheter à prix d’or.  Mais vous ne voudrez peut-être plus les vendre..

Car:

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Méditation du jour :  « Le Petit Poucet s’étant approché de l’Ogre lui tira doucement ses bottes. »  Illustration de Gustave Doré dans Les contes de Perrault de 1867. Source : Wikipédia.

Ne pas oublier que le Cirque Covid camouffle, masque, une crise majeure, vraisemblablement terminale, du présent système économique capitaliste.  Comme l’URSS est tombée, nous tombons.

La pandémie de Covid19 sert, à la fois, de prétexte et de  bouc émissaire aux autorités pour mettre fin elles-mêmes au système économique en tentant de contrôler leur propre chute  —  et pour ça, la soumission totale des populations et leur contrôle leur est indispensable.

C’est un peu comme si les Grands Avides voulaient figer pour toujours l’agonie d’un système à un stade pré-terminal et l’y maintenir de force pour continuer à en profiter.  C’est un peu comme transformer un système agonisant en système zombie.  Ça va mal aller pour nous, s’ils réussissent (pour un temps).  Puis ça va mal finir pour eux.

La pandémie de Covid19 est un decoy (leurrage).  Le Covid19 est aussi le prétexte, justement, au nom de la lutte contre un virus somme toute aussi bénin que celui de la grippe saisonnière, pour le dressage intensif des populations —  que la crise économique grave poussera graduellement (pousse déjà) à se soulever  —  dressage à la soumission, à la docilité, à l’obéissance, au contrôle totalitaire, notamment en provoquant et en cultivant systématiquement en chacun, et au sein des populations dans leur ensemble, la distanciation sociale, physique (isolation forcée, anti-entr’aide, anti-attroupement), la peur, la pratique sordide de la délation, la méfiance, le chaos mental, psychique, nerveux.  Etc.  Ce qui, en passant, entraînera encore plus de révolte.  Et donc, plus de répression.  Et vraisemblablement, de suppression.

Un homme averti en vaut deux, les autorités le savent  —  mais elles savent aussi qu’un homme confus, auquel les leaders politiques et les massemédias corporatifs décadents mentent à longueur de jour et de nuit, un tel homme, nourri de fake news, qui fait l’objet de décrets contradictoires et souvent absurdes, un tel homme, apeuré, isolé, ne vaut plus grand’chose.  Un tel homme est comme de la “plasticine”.  Un tel homme est manipulable et corvéable sans mercie et, éventuellement, facilement éliminable.

Bref :  Voici venu le temps du Règne des Sociopathes.  Mais c’est peut-être sans compter avec les “sociopattes”, leur inverse à l’autre bout du spectre (comprenne qui voudra ou pourra): la psyché humaine demeure, au fond d’elle-même, toujours potentiellement riche en ressources. 

( En passant, une suggestion :  Méditez sur les contes populaires (comme celui-ci, mais c’est pas le seul, et de loin).  Laissez-les se promener en vous, comme on promène un appât au bout d’un hameçon dans l’eau d’un lac.  Donnez-leur l’occasion d’éveiller en vous les principes, trop souvent somnolents aujourd’hui, d’une mémoire populaire symbolique et séculaire  —  mémoire d’une longue survie dont nous sommes les descendants directs et les dépositaires vivants.)


 

Donc.

De plus en plus implosif.  De plus en plus explosif.

Les deux.

C’est probablement pour ça qu’il faut deux bottes.  Idéalement, des bonnes.

Prenez soin des vôtres.  L’hiver approche.

-30-

 

«La révolution industrielle et ses conséquences ont été un désastre pour la race humaine.»,  —  Theodor Kaczynski.  Citation tirée d’une traduction française anonyme du Manifeste de Kaczynski faite à partir de la diffusion de 1995, moins certaines corrections que Kaczynski a ultérieurement apportées à son manifeste original dans une édition anglaise qu’on trouve ici :  « The Industrial Revolution and its consequences have been a disaster for the human race

 

About Jacques Renaud

Écrivain.
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