
Le feu se sculpte lui-même en s’anéantissant. Le feu s’anéantit lui-même en se sculptant. Le feu renaît toujours. De la surabondance ou du néant. (Source: cliquer sur l’image – click on illustration.)
En pensant à Héraclite.
Il y eut le feu.
Il y eut l’art.
Il y eut le feu dans l’art.
Il y eut l’art dans le feu.
Puis il n’y eut plus, de nouveau, que le feu
© Copyright 2009 Hamilton-Lucas Sinclair (Loup Kibiloki, Jacques Renaud, Le Scribe), cliquer
Beaucoup de poèmes de Jacques Renaud ( Loup Kibiloki )
Rimbaud, le Bateau ivre, et un « lapsus-coquille » : Je est autre.
Réception à la table des nombres — Edith Piaf censurée au Québec : l’origine védique du mot et du concept de «Dieu» – Gurdjieff, Ouspensky, Jung : On comprend vraiment ce qu’on lit? Ce qu’on écrit? Ce qu’on dit?..
Le Règne de la quantité et les signes des temps de René Guénon
Loup Kibiloki ( Jacques Renaud ) : Plusieurs suites poétiques de Loup Kibiloki ( Jacques Renaud ) – Des poèmes à Shiva – Des histoires, des comptines, des contes. En prose ou en versets libres. Parfois bizarres, parfois pas.
Suites poétiques, Loup Kibiloki ( Jacques Renaud ) : Les Enchantements de Mémoire – Sentiers d’Étoiles – Rasez les Cités – Électrodes – Vénus et la Mélancolie – Le Cycle du Scorpion – Le Cycle du Bélier – La Nuit des temps – La Stupéfiante Mutation de sa Chrysalide
Un chic chat dans l’coma – Un ballon dans un cochon — Elle a trop bu de jus d’ tortue
Le miracle de l’écrivain dans l’donjon – Petit Matou (paroles pour chanson de plage et d’été, tendre, kétaine et rythmée) – La pluie, de ses dents rondes et bleues – Filez, filez, ô mon navire – (poème qui se chante) (et bateau d’avril)
Un coup bavant du Grand Avide, ou Kafka aurait pu l’dire
Crassus le Gigueur ou Comment ouvrir le sol sous les armées – Le Cliquetis de la croquignole — La logique est une muette qui ne cesse de nous faire signe – La soeur d’Absalon, ou le ciel et l’enfer interdits aux comiques
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