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Extrait:
Un matin
j’aurai percé sa rade ronde
et elle voguera
sur l’océan du monde.
Car ma raison est son espace
où elle se meut avec amour.
Méditer en cette aube sauvage
est l’ardeur même de mon amour.
Je t’inonderai de mes eaux,
qu’elles soient pures ou néfastes,
je huilerai ta peau
et tu voyageras
et tu verras
poindre à mesure,
sur le disque des eaux qu’épure
le vol des cormorans si doux,
naître une aube si pure
que tu briseras mon tombeau.
Un matin
je déploierai mes ailes
dans l’envol calme
des hirondelles,
dans les rayonnements
du ciel
et par ton corps
nous franchirons
la digue émancipée
des sources de chaleur.
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© Copyright 1974 2009 Hamilton-Lucas Sinclair (Loup Kibiloki, Jacques Renaud, Le Scribe), cliquer
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