Le Saint Sulpice, les homos qui s’frenchent, et l’interdiction de l’dire quand ça nous dégoûte

Tout ça dans une série qui pourrait s’intituler « Censurette à Radio-canada »

Ou encore :  Le clergé Lgbt à l’assaut des bars

C’est une histoire en tweets (voir plus bas).

Mais avant d’y arriver, d’abord une petite affiche ..


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.. et ensuite, un peu de contexte :

Donc, un soir, au bar le Saint-Sulpice à Montréal, deux homosexuels se frenchaient.  Et plus.  Se font mettre à la porte.  (J’ai entendu ça par hasard à la radio, j’allume parfois mon Grundig, quelques minutes, pas trop, j’aime mieux le thé.)

Trouvé un court résumé de l’affaire sur internet, apparemment c’est un gros.. branle-bas (!) massemédiatique (le texte entre crochets [ ] est de nous) :

Un bar de la rue Saint-Denis se défend d’avoir expulsé vendredi soir deux jeunes gais pour s’être embrassés dans l’établissement.

Le propriétaire du Saint-Sulpice, Maurice Bourassa, prétend que son portier a plutôt montré la sortie aux deux étudiants pour s’être adonnés à des échanges en position couchée sur une rampe d’escalier, bouchant [ ! ] le passage d’une sortie de secours [très symbolique].

«Ce n’était pas juste un petit bec. Il y a des limites à ce qui est admissible en public. Qu’ils aient été hétérosexuels ou homosexuels, mon employé aurait fait la même chose», s’est défendu le tenancier.  — Source :  Le bar dit que c’était plus qu’un baiser entre hommes, Journal de Montréal, 31 août 2014.

Poursuivons.

( Note sérieuse (avec fou-rire sous texte) :  Dans cet article, je parle de «frenchage». Pourquoi? Le propriétaire du bar dit que «ce n’était pas juste un petit bec». Plus que «pas juste un petit bec», ça implique deux choses : c’est au moins du frenchage, et c’est au plus de la sodomie.  Le propriétaire semble vouloir exprimer le fait que c’était plus que du «frenchage». Plus que du «frenchage», c’est du 69 ou de la sodomie. Comme je ne veux pas écrire que les deux types s’enculaient, — je n’en sais rien, et surtout c’est un mot sale (là-dessus, si on me donne pas raison ..) –, et que le patron dit que «ce n’était pas juste un petit bec», je vais donc poursuivre mon article en disant qu’ils se frenchaient.. Probablement «en position couchée sur une rampe d’escalier» (on est maso ou on l’est pas).  Bref, entoucas, ennéoué, on peut prendre pour acquis que les deux militants lgbtiquaient écoeuramment. Ou alors y s’est rien passé et qu’est-ce qu’on fout à scriber là-dessus.. )

 

On ne peut pas empêcher ce qui nous donne la nausée de nous donner la nausée.  Ou ce qui nous met mal à l’aise de nous mettre mal à l’aise.  Ou de vraiment pas aimer ce qu’on aime vraiment pas.  Ou d’être écoeuré par quelquechose quand quelquechose nous écoeure.  Si j’avais été dans ce bar, je serais sorti en voyant les deux mecs s’entrebouffer.  D’instinct.  C’est tout.  Je n’ai pas d’explication à donner. Je n’ai pas à me justifier. Je n’aurais pas été le seul. Deux mecs qui s’frenchent et plus comme des ventouses, ça me donne la nausée. Je n’ai pas l’intention de mentir, ou de me mentir à moi-même, simplement parce qu’un activiste LGBT a la prétention de vouloir convertir la clientèle des bars à son fondamentalisme idéologique (même les témoins de Jéhovah, dans leur prosélytisme insistant, ne sont jamais allés cogner aux portes des bars ni encore moins s’accrocher à leurs rampes d’escaliers).

(Je ne vais jamais dans les bars, ça m’intéresse pas, mais c’est une autre histoire.)

Annie Desrochers, animatrice à l’émission du matin C’est Pas Trop Tôt (Radio-Canada, Montréal, Québec – entendu sur mon Grundig), se scandalise (sur le doucereux ton radio-canadien, bien sûr — en passant, avez-vous noté combien le nombre de voix radiophoniques interchangeables s’est multiplié depuis quelques années?).

Selon l’animatrice, le patron du Saint Sulpice a fait preuve de ce qu’elle appelle de  “l’homophobie”. «Homophobe», comme «homophobie», est un terme passe-partout qui doit probablement signifier quelquechose dans le jargon branchouillé contemporain mais  certainement autre chose que le sens étymologique de “homo-phobe”, lequel balaye très, très large : «peur-du-même» – vaste programme).

En fait, «homophobe», comme «homophobie», sont des  faire-taire. “Homophobe”, c’est un faire-taire, rien d’autre.  Comme on dit “faire-part”.  Il n’a pas vraiment de sens, il a surtout du son.  Du son connoté.

Le terme “homophobe” n’a pas vraiment de sens quand il est employé par les lgbtiquants. C’est essentiellement, encore une fois, un faire-taire culpabilisant phonétiquement connoté, une sorte de ShutTheFuckUp, un censureur, un éteignoir, un snuffer, un wet blanket, un on-va-te-faire-aimer-d’force-c’que-t’aime-pas et tu vas immigrer avec nous dans la stérile utopie de l’Atoll Errance (l’envers bigot-béat de la véritable tolérance — ce dont semblent complètement dénués les fondamentalistes Lgbt ).

Bref, j’envoie un tweet à C’est Pas Trop tôt pour dire ce que je pense, comme ça, et ça donne ce qui suit, plus bas.

Notez que, à ma question “les commentaires hétérophobes sont-ils proscrits” à Radio-Canada, je n’ai pas encore reçu de réponse.  Probablement parce que les commentaires dits “hétérophobes” (j’ai la même chose à dire sur “hétérophobe” que sur “homophobe”, mais on fera ça une autre fois) ne sont pas proscrits et que ça, les censeurs n’osent pas le dire.  Et c’est bien qu’ils ne soient pas proscrits, mais les autres commentaires ne devraient pas l’être non plus — mais vont continuer à l’être, les censeurs du clergé lgbtiquant vont y veiller.  À travers les décennies on est passé d’un clergé qui avait ses torts, à un autre qui semble décidé à battre à plat les records passés, et dont la dynamique d’évangélisation collante et invertie finit par taper sur les nerfs de beaucoup de monde. Qui ne le disent pas toujours.

Ils ont tort.

Bon, bein c’est tout.

Bein assez.

 


© Copyright 2014 Hamilton-Lucas Sinclair (Loup Kibiloki, Jacques Renaud, Le Scribe), pour l’article; cliquer


 

La censure à Radio-Canada : vous ne saurez jamais ..

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Les dangers d’abus criminels graves que courent les enfants achetés par les couples homosexuels

Vers une harmonie d’enfer – harcèlement, faux viols, chaos du genre

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Un homosexuel français dénonce François Hollande et la LGBT


 

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45 Responses to Le Saint Sulpice, les homos qui s’frenchent, et l’interdiction de l’dire quand ça nous dégoûte

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  10. musael says:

    Ajout d’information : j’ai décidé demeurer ado il y a fort longtemps de cela (j’étais encore ado) Je l’ai regretté parfois, mais voyant la méchanceté des adultes, je préfère encore rester ado.

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  11. C’est curieux, dans les romans chevaleresques, je m’identifie autant au pied bot qu’au chevalier!
    Ça c’est ado! En fait, lire des romans dépassé 18 ans, c’est ado en titi!

    P.s.: l’homosexualité est le plus souvent lié à la mère, la relation j’entend.

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  12. musael says:

    Mon cher ami, tu fais tout pour te montrer raisonnable alors que ta littérature nous démontre exactement le contraire. Tu es un blessé de l’Amûûûrr tout comme moi. Alors cessons tout ce charabia.

    P.S. : f*** WP et ses bugs multi-chouces

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    • J’ai corrigé les paramètres de commentaires.

      Tu dis :

      « .. tu fais tout pour te montrer raisonnable alors que ta littérature nous démontre exactement le contraire. »

      Tu mélanges les genres. Ce ne sont pas des mots en l’air. L’article que tu commentes n’est pas un poème, ni de la fiction. Je ne vais pas m’étendre sur les différences dans les dynamiques, ni à quelles facultés différentes elles font appel. La poésie : tu tire un fil, ou un fil te touche et tu tires dessus jusqu’à ce que … Ce n’est pas “ma” poésie au sens où tu l’entends.

      Ceci : «Gurdjieff, Ouspensky, Jung : On comprend vraiment ce qu’on lit? Ce qu’on écrit? Ce qu’on dit?..» https://electrodes-h-sinclair-502.com/2012/09/02/si-on-avait-compris-tout-ce-quon-a-lu-et-tout-ce-quon-a-soi-meme-ecrit/

      Et les notes en bas de ceci, ce ne sont pas des mots en l’air : « La Colombe et la Brisure Éternité. Poème et symbole.» https://electrodes-h-sinclair-502.com/2010/01/25/la-colombe-et-la-brisure-eternite-poeme-et-symbole/

      Extrait de ces notes : « En .. relisant au cours des années 2000s, j’ai compris que je ne pouvais plus l’assumer à la première personne (je ne suis pas un archétype) et je l’ai en partie ré-écrit. L’essentiel de ce que je veux dire ici, c’est que ce qui s’exprime dans ce poème n’est pas moi et me dépasse. Tout simplement. »

      Et ceci de Carl Jung : «Chaque phrase contient une longue histoire, chaque mot que nous disons est frémissant d’histoire [.. has a tremendous history], chaque métaphore est pleine de symbolisme historique; les mots n’auraient aucune portée, aucune, si ça n’était pas vrai. Nos mots sont chargés de la totalité de cette histoire qui fut jadis si vivante et qui continue d’exister en chaque être humain. Avec chaque mot, nous touchons une fibre historique dans nos semblables et c’est ainsi que chaque mot prononcé fait vibrer la même corde dans tous ceux qui parlent la même langue.»

      Jung ne parle pas de l’ histoire personnelle. Ça n’exclut pas la “coloration” par la “personnalité”, du style (en bonne partie), mais écrire, surtout de la poésie ou de la fiction, est beaucoup plus trans-personnel ou méta-personnel que tu sembles le réaliser. En tout cas moi je le sais, je l’ ai réalisé.

      Tu dis :

      «Tu es un blessé de l’Amûûûrr tout comme moi.»

      Ça fait fusionnel et ado en titi. Et je suis bien d’accord pour mettre fin à ce charabia-là.

      Jusqu’à la prochaine joute )))))

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  13. Je persiste et signe. Dans tous les cas que tu mentionnes, nulle trace d’amour. De toute façon, je n’employais pas le mot dans le sens des Lumières mais dans son acception plus générale, voire populaire : être dans son droit.

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    • Le mot “amour” ne signifie certainement pas “être dans son droit” .. Ni le mot “raison”, il me semble. ( Peux-tu me citer une source, ou une définition, quelquechose ? )

      «Dans tous les cas que tu mentionnes, nulle trace d’amour.»

      Je veux bien, mais pour l’amour, pourrais-tu me donner une bonne définition, ou quelquechose qui peut en tenir décemment lieu, de ce que tu entends par “amour”.

      Finalement, as-tu commencé à interviewer les armées de divorcées ou de divorcés sur la question de l’amour ? (C’est juste une blague.)

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  14. musael says:

    En fait, c’est beaucoup.

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    • Oui, mais sans attaches. (Un peu comme l’Indien au milieu de la forêt : il a beaucoup d’arbres.)

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      • musael says:

        Sauf que l’Amérindien ignorait ce qu’il possédait jusqu’à ce que l’homme blanc le lui dise. Cela dit, attache ne prend pas de s – pour une fois que je peux te reprendre.

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        • Je n’utilise pas le mot au sens de “ports d’attache” (dans ce sens-là, il est singulier selon l’Académie).

          Je l’utilise au sens métaphorique de “attache(s)” comme dans .. “attache” (t’as jamais utilisé le mot “attache” au sens d’ “attache”?) Je pense que dans ce dernier sens, l’Académie tire de la pépatte. Probablement à cause d’attaches à la pépatte. Comme dans «As-tu des attaches pour la poche de pétates.»

          Le sac de vidanges? On l’attache avec une attache. Non? On peut l’attacher aussi avec deux attaches.

          Dans ce sens-là, apparemment, c’est pas au dictionnaire orthographique. Encore. Mais attends.

          En attendant, je te donnes raison là-dessus. No strings attached.

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          • L’amour a toujours raison!

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            • Non.

              Pour te faire une idée et sortir de la béatitude, commence par demander à l’armée des divorcés.

              Même la raison n’a pas toujours raison.

              Le propre de l’amour est l’amour, pas la raison.

              Je ne parle pas de l’amûûûrr prôné par les béats qui souvent sourient niaisement en se fendant la bouche jusqu’aux oreilles pour montrer qu’ils sont donc plein d’amûûûrr (certains fraudeurs (ie Carole Morinville, Earl Jones), certains tueurs en série sourient exactement de cette façon — fais une recherche — et doivent souvent leur succès à la manipulaton de leurs victimes par l’amûûûrr — je connais quelqu’un qui s’est fait frauder de plusieurs milliers de dollars par amûûrr et parce qu’elle s’inspirait d’une secte, A Course in Miracles, ou quelquechose comme ça, où ça déconne très fort sur l’amûûûrr).

              Carole Morinville, fraudeuse (on sent, avec elle, qu’elle est remplie d’amûûûrr — lequel a eu raison, comme tu dis. De l’argent de ses victimes) :

              Il y avait beaucoup d’amûûûrr dans la secte du Temple Solaire.

              Ça devrait, au moins, allumer tes facultés analytiques, sinon une étincelle de curiosité .. )

              Selon le Petit Catéchisme catholique, Dieu nous aurait créé pour le connaître, l’aimer, le servir (jnâna yoga, bhakti yoga, karma yoga). Selon mon expérience, dans cet ordre :

              parce qu’on ne peut bien servir ce qu’on n’aime pas, et qu’on ne peut aimer vraiment (dans la vérité) ce qu’on ne connait pas, ou mal, ou à peu près, etc.

              Aimer sans connaître, c’est aimer en niais, ça dessert et trompe l’objet, — et quant au sujet, il se trompe lui-même, souvent par paresse béate.

              Et il recommence..

              Et recommence..

              Et se re-coussine sans fin l’être avec des clichés.

              Come of age.

              Ci-dessous, voici un homme rempli d’amûûrr, qui a inspiré et inspire encore hénormément d’amûûrr (y est dongentil c’t’homme-là), qui a reçu le Prix Nobel de la Paix en 2009 quelques heures avant d’envoyer des milliers de troupes en Afghanistan, qui depuis ne cesse de bombarder de loin, du haut des airs, à gauche et à droite, bref, qui est trempé de sang jusqu’au menton :

              Et qui pourrait croire un instant que cet homme n’est pas plein d’amûûrr ? Ted Bundy, tueur en série :

              Bref, disons que lorsqu’on affirme que “l’amour a toujours raison”, il serait au moins raisonnable de commencer à penser à enlever le “toujours” et à le remplacer par un “peut-être parfois”, en se réservant un large espace pour se demander ce que peut bien signifier ce mot-là.

              Ciao )

              PS Si j’ai tant parlé du sourire béat, c’est qu’il est très souvent associé à l’amûûûrr. C’est une manière d’illustrer mon propos.

              Connaître, aimer, servir — dans cet ordre d’importance. Voilà l’essentiel du propos.

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  15. musael says:

    Bon, l’homophobe se révèle. Remarque que je l’avais déjà saisi. Mais derrière l’homophobie, il parait qu’il y a toujours un crypto-homosexuel. Par contre, cela ne veut pas dire que derrière chaque crypto-homosexuel, il y ait un homophobe. Certains ont quand même réussi à faire la distanciation.

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    • « .. derrière l’homophobie, il parait qu’il y a toujours un crypto-homosexuel. »

      Et “il parait” que derrière les cantatrices et les baritons il y a toujours un crypto-muet qui cache drôlement bien son jeu, alors là, oui, et que derrière tout végétarien il y a un crypto-carnivore, et derrière tout carnivore, il y a un crypto-végétarien, il paraitrait même que derrière l’hétérophobie il y a toujours un crypto-hétérosexuel, que derrière tout génie des mathématiques ou tout calculateur prodige se cache quelqu’un qui ne peut pas additionner 1 + 1, et qui, c’est vraiment remarquable, cache drôlement bien son jeu! Etc.

      La prétentieuse indigence de ton commentaire te fait oublier le bon sens, la simple réalité très concrète, à savoir qu’un homosexuel est une personne qui est sexuellement et exclusivement (les deux) attirée par des personnes du même sexe. Quelqu’un qui n’est pas sexuellement et exclusivement attiré par des personnes du même sexe n’est pas homosexuel. Demande-leur, ils vont te le dire, c’est très simple.

      Ou dis-leur, du haut de ton commentaire de café-terrasse, que « n’est-ce pas, derrière l’hétérophobie [ce qui est pratiquement et rigoureusement leur cas] il parait qu’il y a toujours un crypto-hétérosexuel », — et attend la réponse ..

      Ton commentaire est un gros faire-taire. Ce genre de faire-taire ne me touche plus depuis longtemps. Ça fait des années que ce genre de truc ne fonctionne plus avec moi. J’exige une nourriture plus substantielle. Trouve aut’ chose.

      Autre exemple de faire-taire, ça me fait penser aux juifs sionistes qui traitent les juifs anti-sionistes de “jew-haters”. Encore une connerie. Un autre faire-taire. Un vieux truc éventé. Va dire ça aux milliers et milliers de juifs orthodoxes anti-sionistes, notamment ceux qui sont persécutés en Israel même par fidélité à des enseignements de la tradition juive.

      L’article porte essentiellement sur le fait d’interdire (lis tout), d’inhiber, de refouler, l’expression du dégoût de quelquechose. Beaucoup de gens n’osent pas exprimer ce dégoût. Ils ont tort.

      Mais il se rapporte aussi à d’autres dimensions, beaucoup plus graves, exprimées ailleurs, autant par moi que par des homosexuels :

      Un homosexuel français dénonce François Hollande et la LGBT

      Les dangers d’abus criminels graves que courent les enfants achetés par les couples homosexuels

      L’idéologie ou théorie du genre‬ est appliquée depuis longtemps

      Etc.

      La Lgbt est NOTRE clergé fondamentaliste. Comme on en trouve d’autres dans le monde.

      Mais je ne peux pas t’empêcher de ne pas t’en apercevoir.

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      • musael says:

        Dommage! Mais si au moins tu disais ce qui t’écoeure chez l’homsexuel. Surtout, ne me dis pas que c’est contre-nature, Je ne supporterais pas que tu ais recours à de tels expédients.

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        • J’ai dit ce qui m’écoeurait. C’est même le thème central de mon article. Et lis les tweets à la fin. Voir deux hommes qui se frenchent, ça me donne des hauts-le-coeur.

          Radio-Canada interdit qu’on le dise en disant que c’est abracadabra. (Pardon : “homophob”))) Ce mot est un faire-taire, j’en ai rien à foutre.

          C’est tout, c’est très clair. L’article est très clair.

          L’autre chose que je dis à ceux qui ne voient rien c’est que la Lgbt est un clergé fondamentaliste militant qui cherche à nous convertir. Fais la recherche. Renseigne-toi.

          Quant à l’homosexualité elle-même, elle existe, et “je n’ai rien contre” (comme on dit) quelqu’un qui est homosexuel. C’est pas mon monde, ça m’est complètement étranger, ça existe, c’est tout.

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          • musael says:

            Le geste t’écoeure, point. J’aimerais bien comprendre pourquoi il t’écoeure. Voilà la question. Tu n’en parles pas. Pour le reste, il me semble que tu as atteint le point Godwin bien rapidement.

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            • La question vaut, mais dans le contexte de mon approche ici je n’ai absolument pas à savoir pourquoi.

              Tiens, toi : Pourquoi ça te donne pas la nausée ? Tu peux vraiment expliquer?

              La question n’est pas là.

              La question, c’est quelquechose comme ceci : si un lobby militant, insistant, bien financé, te collait à répétition massemédiatiquement ou autrement, pour te convertir en te prêchant que la chose t’écoeure, et qu’il n’est pas normal qu’elle ne t’écoeure pas, et si le lobby demandait des subventions au gouvernement, et les obtenait, pour être capable de faire de la publicité à la télé de mecs qui s’frenchent pour te convaincre que ça te donne la nausée, que ces gens voulaient changer le code civil, toujours à des fins similaires ou liées à ça — tu ne serais pas porté à commencer à te poser des questions sur l’agenda de ces gens-là, sur ce lobby bien financé, appuyé par les syndicats, appuyé par des organismes de l’Onu, etc.?

              Tu te poserais bien quelques questions, non?

              Si c’est pas le cas, t’as la candeur tenace.

              Personnellement, je suis sevré.

              Quant au “point Godwin”, je n’ai pas encore parlé d’Adolf Hitler et je n’y ai pas pensé. Toi oui, incidemment, en mentionnant le bidule à Godwin; explique comment il se fait que tu atteins ce point si rapidement, ou plutôt pourquoi tu penses au nazisme? (Godwin ou pas.)

              La soit-disant “loi” de Godwin :
              https://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_de_Godwin

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            • musael says:

              Le point Godwin c’est une façon de démoniser l’autre, ça n’a rien à voir avec Hitler, n’est-il pas? Mais je peux me tromper sur tes intentions. Cela dit, il me semble que nos propos se perdent en conjectures.

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            • Tu dis :

              “Le point Godwin c’est une façon de démoniser l’autre, ça n’a rien à voir avec Hitler, n’est-il pas?”

              Mais justement, ç’a TOUT à voir avec Hitler. Sans Hitler, le point Godwin n’existe pas.

              Apparemment, tu ne sais pas ce que veut dire “atteindre le Point Godwin”/ Je trouve la prétendue loi Godwin amusante mais sans plus, c’est pas sérieux.. (c’est un autre faire-taire — ça ne t’intéresse pas de commencer à penser autrement que par clichés, idées courantes, et moitiés de connaissances?)

              Je n’avais pas fait allusion au nazisme ou à Hitler, etc. (je pourrais très bien le faire mais je ne l’avais pas fait), donc je n’avais pas atteint le point Godwin en vertu de la définition même de ce “point Godwin” dont tu dis que je l’atteins rapidement ..

              Lis :

              « La loi de Godwin est une règle empirique provenant d’un énoncé fait en 1990 par Mike Godwin relatif au réseau Usenet, et popularisée depuis sur Internet : «Plus une discussion en ligne dure longtemps, plus la probabilité d’y trouver une comparaison impliquant les nazis ou Adolf Hitler s’approche de 1.» Dans un débat, atteindre le point Godwin revient à signifier à son interlocuteur qu’il vient de se discréditer en vérifiant la loi de Godwin. » — Wikipedia, ” La loi de Godwin

              Comme je te dis c’est un faire-taire. Un faire-taire que tu utilises, mais apparemment sans savoir ce qu’il peut vouloir dire ou dans quel contexte il est utilisé..

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        • Tu dis :

          « Surtout, ne me dis pas que c’est contre-nature, je ne supporterais pas que tu ais recours à de tels expédients.»

          Moi non plus, et tu le sais. J’ai retrouvé des commentaires intéressants qu’on échangeait sous cet article : L’opposition à l’avortement ou La persistance des vérités fondamentales et de la Vie

          Voici l’un de mes commentaires (je le reproduis au complet) :

          [début]

          Tu dis :

          «Les homophobes ont longtemps prétendu que l’homosexualité allait contre nature; or les exemples se sont avérés nombreux chez le règne animal.»

          Pendant qu’on y est, pourquoi pas ceci :

          «Les mortophobes ont longtemps prétendu que la mort allait contre nature; or les exemples se sont avérés nombreux chez le règne animal.»

          Et puis après?

          C’est un argument que je n’utilise jamais, ni dans un sens, ni dans un autre, et même si j’en ai entendu parler je n’ai jamais exploré les données auxquelles tu te réfères. Ce genre d’argument “naturiste” et primaire me conduirait à dire, en évoquant le phénomène de ces animaux dont on dit qu’ils se suicident collectivement : «Les lemmings le font, faites-le donc..» parce que c’est “naturel”. (Ou : «Les lemmings le font pas, faites-le pas..» parce que c’est “pas naturel”.)

          Dans un sens comme dans d’autres, l’argument est mou : l’être humain est partie intégrante de la Nature, et sa nature, dans sa “composante” animale, est très, très grande, tout comme sa dimension ou son potentiel spirituels le sont, encore plus — en tout cas au moins certainement tout autant — (et je n’oppose pas ces deux aspects en “mal” et “bien”). Saint-François d’Assise considérait les animaux comme des frères et des soeurs. On aurait tous intérêt à méditer là-dessus. Je ne veux pas trop entrer là-dedans. Trop vaste.

          Sinon ceci, pour l’instant : L’homosexualité est stérile. Évidemment. Jusque-là, ça va. Mais la montée de l’homosexualité sous l’influence d’un clergé Lgbt militant et organisé, qui touille le grimoire législatif, recrute, prêche, est le signe évident d’une volonté ou d’une force qui travaille “l’inconscient collectif”, d’une dynamique inconsciente ou semi-consciente d’anéantissement massif, de suicide collectif, et de l’acceptation passive de l’action de ces forces par une masse importante des populations. Le mouvement est, par définition, à la fois massivement choséïfiant, “superficialisant”, néantissant, mortifère. Le mouvement Lgbt est un “fondamentalisme” militant avec son clergé, etc.

          Beaucoup d’homosexuels se méfient de la Lgbt comme de la peste, et ils ont raison, et ils ont toute ma sympathie (exemple extrait de : Un homosexuel français dénonce François Hollande et la LGBT qui contient l’url vers ce qui suit ) :

          « Mais attention, car la réaction sera violente. Le lobby gay ne peut envisager sereinement l’idée qu’un homo ait trouvé la paix, la joie, l’équilibre et le bonheur en abandonnant ses pratiques homosexuelles. Cette seule idée le met en rage ! Il crie à l’escroquerie, au scandale, à l’intolérance, au blasphème. — Oui : blasphème. Car l’idéologie gay, comme toutes les idéologies modernes – et le communisme – est une véritable religion séculière, avec ses dogmes, ses rites et ses interdits moraux. … En attendant, si un militant gay me lit, il est déjà au bord de l’apoplexie. Pour lui, le pire des crimes, la plus scandaleuse des perversions, la plus révoltante des infamies, c’est de vouloir ramener un homosexuel à une sexualité… j’ose à peine dire « normale », pour ne pas l’achever… disons « courante », si ça lui chante (je refuse de toute manière d’employer le terme « hétérosexuel » qui est piégé).»

          La polarisation arc-en-ciel de la Lgbt avec le drapeau noir de certains fondamentalismes dits “religieux” est à explorer (cette complémentarité polaire “occulte” est à explorer et pourrait nous en apprendre beaucoup plus que les approches superficielles et naïves sur la vie sexuelle des animaux ou des insectes).

          L’homosexualité n’est ni «pour nature» ni «contre nature». Elle est «pour rien», voire «pour néant». Et à notre époque, elle y travaille d’arrache-pied. Comme certains autres “fondamentalismes” militants.

          La Lgbt, selon toute vraisemblance, cherche à faire main-basse sur les homosexuels et à convertir ceux qui le sont pas. L’agenda? Les paris sont ouverts.

          [fin]

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          • musael says:

            J’attend, ton post semble incomplet.

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            • Je pense que cette fois ça y est ..

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            • musael says:

              Tu mélanges intrinquèque et extrinsèque. Celà dit, j’apprécie le fait que tu prennes acte de mon ironie. J’ai toujours plaisir à échanger avec toi, et ceci n’est pas ironie, nous qui sommes nés en Huronnie!

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            • Je te ferai remarquer sans ironie, mais peut-être avec huronnie, que tu as écris «intrinquèque», ce qui pourrait signifier que quèque est une sorte d’intrin ou qu’il existe in trin qui quèque. Je suis perplèque.

              (Exercice de style : écrire en proie au fou-rire.)

              ( Je vais te dire : à certains moments, en écrivant cet article, fallait qu’j’arrèque : le fou-rire. Tout cette histoire a un côté bouffonnèque. Cette lgbt est un nid d’clowns prosélèques.)

              Vivement, la Nouvelle-France..

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            • musael says:

              Rira bien qui rira le dernier. Et comme tu es plus avancé en âge…

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            • Je continuerai à rire. Malheureusement, tu pourras pas me lire l’écrire..

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        • Je penses que tu devrais venir sur le blog pour lire les commentaires. a) WordPress modifie des paramètres de ce temps-ci; b) présentement, je n’ai que trois niveaux de “threads” pour les commentaires. Etc. Je vais essayer de changer ça dans l’avenir. Ciao, ô interlocuteur privilégié.

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