Histoire de Loup-Garou. Fragments racontés d’une chronique ancienne charcutée.

Le rôle central, c'est la lune qui d'hiver qui le tient.

Je vais vous le dire, le rôle central, à mon avis, c’est la lune d’hiver qui le tient. Très discrètement. Lune, luna, moon, mind, mental, mémoire, i, magi, nation, taratatam, curelou, curelou...


« Chaque année, curelou,
croquetine, croquetaine
chaque année, le curé
croquetine un maturin.

« Chaque année, curelou,
croquetaine, croquetine
chaque année, le curé
croquetaine un maturé. »

(Comptine fragmentée récupérée à même la chronique charcutée.)


 

C’est un dire étrange et ancien et qui perdure,
quoique très décousu,
dont je vais vous faire part.

Vous devrez imaginer maints passages qui manquent
à l’invraisemblable et mystérieuse chronique
qu’un crayon de glace aiguisé,
la nuit,
tente de réparer,
en tentant de nous raconter les passages manquants
en craquant
et en glissant
et en lâchant
des gouttes froides
et d’étranges étincelles bleues
comme une sorte d’encre qui pleut
finement comme des clins d’oeil de Dieu.


Incunable malmené...


 

( Il est important,
en passant,
d’apprendre à bien écouter les bruits
et à bien lire les nuages
et le langage
des p’tits fruits
sur le clavier
des papilles,
et bien des choses encore
qui ne sont pas des vétilles. )

Un dire étrange et ancien, donc, dont je vous fais part ici,
et qui fut retrouvé en partie
sous forme de fragments de chronique,
—    dont la fausseté n’est pas démontrée
ni l’authenticité, d’ailleurs, dont les racines vaquent en vous   —
fragments, donc, où nous est dit
qu’au cours d’un certain hiver,
au petit matin mat et blanc,
quand le loup,
affamé la veille,
s’éveilla,
repu,
dans le chaud satin du grand lit du presbytère,
ce n’était pas le curé
qu’il avait,
le soir d’avant,
sanguinairement caniné,
mais une ronde barrique prélate en visite,
bien enveloppée de pourpre et lestée de pierres bien rares.



 

De la gueule du loup, on dit qu’un vin rouge et gras coule encore,
vers le haut, vers le bas,
jusque dans les cieux,
jusque dans les enfers,
et sur terre
et dans la terre,
abondant,
bien nordique et pourtant bien latin,
s’attardant aussi,
en séchant,
sur un vieux col romain plus très blanc,
fort craquelé et pendant négligemment
comme un collier plein de vanille et de sang
dans les plis poilus
du cou
du loup
repu.

Le loup, qui reposait dans le satin, avait ingurgité
ce que la chronique elle-même appelle :
« un grand prélat gras fort longtemps maturé. »

Et c’est ici que l’on cite la célèbre comptine :

« Chaque année, curelou,
croquetine, croquetaine
chaque année, le curé
croquetine un maturin.

« Chaque année, curelou,
croquetaine, croquetine
chaque année, le curé
croquetaine un maturé. »


Clair de Lune d’Hiver – Remigius van Haanen.


 

Il faut se plonger longuement dans la chronique glacée des environs  —
( qu’il faut savoir décrypter sans rien briser de sa fibre froide )  —
il faut se plonger longuement dans cette chronique
parsemée d’énigmes et de non-dits de toutes sortes,
pour parvenir à comprendre,
à saisir,
à travers la subtilité d’ardoise de l’écritoire du scribe qu’on sent encore sous le papier quand on le touche,
à travers la poussière d’étranges aiguilles de cristal fin qui dansent dans la lumière en murmurant de l’inaudible,
à travers la subtilité de présence de la plume d’oie du chroniqueur
que l’on sent encore soigneusement guidée
du bout taché de l’index, du pouce et du majeur,
il faut se concentrer finement, fermement, sur chaque détail,
sur la moindre sensation,
pour parvenir à saisir le sens véritable de ces fragments de chronique à travers une subtile omniprésence de glace et de brume,
une brume étonnamment et très agréablement odorante (où se glissent parfois, étonnamment, comme de fugaces filaments d’odeur de thé),
le sens véritable de ces fragments de chronique.

Il faut se plonger longuement dans la chronique glacée des environs
dont l’un des conteurs semble être le curé même,
lequel chérissait se déguiser en « olibrius suprême »
(c’est la chronique qui dit cette chose en ces termes)
quitte à attiser l’agacement et le mépris des prélats cossus qui parfois viennent inspecter les lieux
et qui regardent le curé de haut et le houspètent, le poussaillent même, et le malmènent –
bref, il faut se plonger longuement dans la chronique cruelle et glacée des environs
pour comprendre la subtilité
dont le conteur
a enveloppé l’incident
– raconté maintes fois, déjà, dans la région,
par “moultes gens”, depuis longtemps, insiste le chroniqueur –
l’incident narré, donc, par bouches et pouffées de rires,
par gestes crus, sous-entendus et fragments de pages,
l’incident, donc – les incidents, en fait – d’un loup aux dents d’ivoire
et orné d’une mince encolure de poils blancs,
devenu dans la région une sorte de sage,
une sorte d’ami des humbles qui ne se veulent plus esclaves,
et ayant pris soutane en un moment de lune,
et ne l’ayant, depuis, jamais abandonnée (la lune, ou la soutane avec le col, ou les deux, vous devez choisir, la chronique étant, en maints endroits, couchée sur parchemin taché, fort échiffé, voire charcuté),
donc, d’un loup aux dents d’ivoire qui mange, non pas, du curé –
ce qui serait, on le comprend maintenant, se manger soi-même –
mais de la pourpre romaine enrichie qui, frappée d’un soudain coup de gueule, gicle fort en tout sens
comme énorme boudin rond bien cochon mais fluide, voire liquide,
comme énormes barriques charnues d’archevêques en visite,
et autres chanoines abondamment protéinés et fort choqués par les prétentions du curé
qui s’amuse à les imiter quand ils arrivent
et les irrite
alors qu’ils ignorent tout
des véritables appétits
de ce petit curé de montagne aux muscles saillants
qui se prend pour qui!? mais vraiment! c’est choquant!
et qui semble… ma foi… ah… changer de forme?!…



 

Ici s’interrompt la chronique.
Je vous avais prévenus, c’est plein de trous.

Les derniers milliers de pages du livre manquent – à part quelques minuscules fragments
où l’on trouve encore la fameuse comptine que le chroniqueur,
de toute évidence,
semblait affectionner:

« Chaque année, curelou,
croquetine, croquetaine
chaque année, le curé
croquetine un maturin.

« Chaque année, curelou,
croquetaine, croquetine
chaque année, le curé
croquetaine un maturé. »

Donc, c’est plein de trous.

Comme je disais, les derniers milliers de pages du livre manquent,
et l’incunable, de toute évidence,
était très, très, très épais – et donc vraisemblablement très lourd.

Ces milliers, voire ces millions de pages manquantes,
transforment l’épine de l’énorme incunable contenant la chronique,
retrouvé, par moi, par une merveilleuse nuit d’hiver,
en une sorte de ravin sans fond, mettons,
en une sorte de ravin sans fond,
en fait, en un abîme de l’imagination
qui pourrait être le fond de mon être hanté de mémoires,
ou le fond du vôtre, car vous lisez ceci par esprit vivant libre et singulier;

ou encore, ces milliers, voire ces millions de pages manquantes à l’incunable
en transforment l’épine, vertigineusement évidée,
en une sorte de porte à l’horizontale,
la porte d’une maison cantée,
une maison sur le dos,
béant vers le haut de toute sa porte d’entrée,
de toute sa porte de maison cachée
sous l’invisible et impressionnante épaisseur de papier jadis arraché;

une maison cachée comme sous un gigantesque lit de feuilles mortes
remplies d’une écriture détrempée, humide, terreuse,
une maison avec porte horizontale à même le sol humide et riche
ouvrant sur la verticale d’un puits noir sans parois,
plongeant dans les entrailles d’une terre noire sans limites
où flottent à la dérive d’étonnants débris de villes et de granite,
le tout semblant se présenter comme l’éventrement définitif de toutes les prisons,
ou encore comme la clé de bien des existences, que maintes persécutions,
depuis la nuit des temps,
démembrèrent, tout comme elles s’adonnèrent aux joies perverses
d’emmurer des êtres encore libres – humains et bêtes arrachés aux forêts,
persécutions qui s’entêtèrent à remmurer les emmurés
qui rageusement se démuraient et qui,
sans fin remmurés, se re-démuraient encore,
parfois définitivement,
en plongeant dans l’infini, lequel est un néant de murs
et une sorte d’infinie possibilité de retours vengeurs
ou de parousie tout-embrassante
ou de libération paradisiaque terrestre totale.

On pourrait avancer que la chronique,
réduite à des fragments,
voulait témoigner de quelque chose
comme la pérennité des tyrannies et l’entêtement des servitudes,
mais aussi de l’angoisse éternelle qui ronge autant les tyrannies que les servitudes,
et témoigner aussi de l’appétit compensatoire secret qui,
sans fin,
de par les froides nuits claires de décembre
revient torturer petits et grands tyrans,
et grands et petits esclaves consentants tout autant,
en les grugeant joyeusement jusqu’à l’os,
lequel se déguste aussi, plus longtemps, comme on sait,
en concentrant l’esprit des crocs
dans une phase de grignotement
(sans oublier l’apport des dents dites incisives),
l’os s’avérant être, en plus d’un alléchement,
le symbole d’une grande phase canine d’apaisement.

L’absence de milliers de pages nous plonge,
qu’on le veuille ou non,
en des hypothèses sans fin,
sans fond,
sans limites,
se dispersant,
se multipliant en tous sens
comme des milliards d’étoiles
et de points métalliques ou mathématiques,
chacun de ces points,
à leur tour,
se démultipliant en des milliards d’autres points.

Et ainsi font font font,
les p’tits points points points,
des granules, des grains d’son,
ainsi font font font
des granules et puis s’en vont.

Le titre de l’incunable aussi manque, arraché.
Quel était ce titre?
Bof, dirais-je. Tiens, c’est un bon titre, ça. Court.
Peut-être ajouter un petit “u” après le “o”?
On peut aussi utiliser le “ça” du “c’est un bon titre, ça”.
L’incunable aurait ainsi pu s’intituler: “Ça Bouf.”

Il aurait aussi pu s’intituler: “Le Ravin de l’infini, par l’incunable charcuté, révélé.” (Banal, quoique à portée métaphysique.)

Ou encore: “Le ravin masqué du paradis jailli de l’infini qui.” (Apparemment bancal, mais il est vrai que l’infini qui qui.)

Ou encore: “L’Infini du livre, révélé par le ravin du dos du livre arraché, fait voir en sa cavité sans parois que bla bla bla, la route n’est même pas longue, y en a pas. Bon. Un petit chausson, n’importe quoi.” (Sur l’air de: “C’est ma treizièèèèmmme bouteiiiiillll-ye”.)

J’ai retrouvé, en fouillant bien
(je n’ose vous dire où)
dans les débris puants derrière la grange abandonnée du presbytère
(ma foi, j’viens d’vous dire où)
un autre fragment de la chronique où le narrateur dit,
à peu près,
ce qui suit.

C’était fin décembre,
il faisait un froid de verre,
j’avais faim,
et j’éprouvais,
rien que d’y penser,
le délice qu’éprouve le loup qui,
patte à patte,
scelle et marque délicatement,
de ses griffes,
le sol gelé du lac,
et avance lentement
en direction de cette alléchante et curieuse contraction de “prélat”,
que l’on appelle, en français, “plat” (en prélevant le “ré”),
et que la nature (fortement aidée) prépare pendant des décennies,
bien au chaud dans une bulle, entre la bonne, le Cardinal et le missel,
avec force apport de poulettes, bouteilles et repas d’oies et de porc gras,
que la nature – ou l’ecclesia – prépare, disais-je,
au profit des loups qui,
bien sûr,
chérissent les quadrupèdes laineux et bêlants des bergeries,
mais qui, par-dessus tout, convoitent, au temps des fêtes,
les bergers bipèdes supérieurs pourpres et rien d’autre,
si longuement et soigneusement préparés, prédestinés et enveloppés, eux aussi, de laine,
quoique tissée fine…

Ici s’interrompt (encore!)
ce fragment de poème ancien
et puis tant mieux,
ça tombe bien:
la pleine lune m’aime,
je le sens dans mon être,
je le sens dans mes reins,
je me sens aimanté,
c’est un janvier plein d’lune,
j’ai un irrésistible goût d’espace,
de froid,
de grand air pur et de dunes.

J’ai un irrésistible goût de ouïr encore,
comme tant de fois déjà,
le son délicat de mes griffes toquer fin,
si fin,
si finement,
comme perles effilées et pointues,
sur le blanc bleu de la glace du lac comme sur du vitrail,
comme sur de la laque,
comme sur du plancher de presbytère miroitant et ciré.

J’ai un irrésistible besoin de ce fin,
délicat,
inaudible crissement de la mince couche de neige
qui m’est caresse au bout de la patte, des griffes et des oreilles,
cette neige qui bat au loin tout comme elle bat en moi comme un vaste coeur blanc
où se recueille ma prière et mon hurlement à perte de vue,
à perte d’ouïe,
comme du fond des temps,
semblable à de l’immensément s’abandonnant
à l’irrésistible candeur nocturne du créateur.

Mon coeur est en extase, déjà, et… Vous venez?! Non?! Bon…
Alors, je vous embrasse et j’y vais.

Ah, clocher, clochettes, nouvelle année, les traditions, ça sent l’annuel prélat toujours là, lalala, hozannana, restons calme.

Terminez-moi toute cette histoire,
ça écrit mal avec des griffes
et elles commencent à me pousser,
vous voyez,
et ça sent partout le clair de lune,
et quand je reviendrai,
je vous en raconterai d’autres,
ou bien vous m’en conterez.

Pendant que vous y êtes,
préparez donc le thé.
Un thé bien infusé.
Faites-en abondamment.


Bouilloire et Cuivres de Gérard Crouzet, 2011. Source: cliquer sur la bouilloire.


 

N’ébouillantez pas les feuilles en versant brutalement l’eau sur elles.
Non.
Jetez plutôt les feuilles
dans un grand chaudron d’eau qui gargouille déjà à gros bouillons
et retirez du feu presqu’immédiatement.

Presque.

Ici l’art est dans le presque,
cours-y vite, cours-y vite,
ici l’art est dans le presque,
cours-y vite il va filer.

Des poches de thé pas cher
peuvent très bien faire l’affaire.
Du thé, c’est du thé.

Laissez bouillir une minute – pas plus que deux minutes. Puis placez le thé sur feu très doux et constant, jusques à mon retour, pour que le thé cède – sans contraintes, tortures, sottises faites ou pensées, brutalités ignées, aqueuses ou inquisitoriales – pour que le thé, donc, cède, sans douleur, angoisse ou tristesse, toutes ses micro-cachettes et révèle la plus grande part possible de ses fines et secrètes molécules immortalisantes et grisantes. Aimez-le.

Noubliez pas: feux doux. L’idée, c’est de conserver l’eauthéante (ce dernier mot, vous me décryptez ça en une seconde, please) le plus longtemps possible tout en donnant au thé (à l’eauthéante, en fait) de quoi soutenir le paradoxe d’une longue et constante ferveur transformante, une ferveur à la fois libre et tenue, tendue sans tension, étendue comme en extension mais sans surtension, une ferveur à la fois sans limites, tranquille et contenue.

Bref, ne faites pas s’évaporer le thé d’un coup, faites pas ça.

Hum? Si c’est tout? Oui, c’est tout… Pourquoi?… Vous vous attendiez à…?!

Quoi?!! À une recette cannibale?!! Vous me prenez pour qui!? Pour un loup-garou!? Oui, d’accord, mettons que ça parait, et puis après? Non, non, je ne convertis personne et je ne fais pas de prosélytisme. On va pas commencer ça!

Tout ce que vous aurez,
et c’est beaucoup, vous verrez,
(un jour, vous comprendrez)
c’est une recette de thé,
voilà,
c’est tout,
c’est modeste
mais c’est bon,
c’est vertueux,
c’est simple,
c’est rédimant,
c’est stimulant,
c’est excellent,
voilà,
c’est tout,
c’est bon pour vous,
c’est bon pour les loups,
en tout cas, oui, les loups-garous peuvent être
de grands amateurs de thé,
de grands avaleurs de thé,
d’insatiables gavions sans fond de thé,
je vous dis,
ça ennivre,
je vous dis,
ça saoule,
je vous dis,
ça garde
loin des tristesses,
des dépressions,
des malaises d’être
et des maladies d’foules,
je vous dis,
ça transforme (voyez),
je vous dis,
ça garde
en santé.

En m’attendant, par-dessus tout, soyez très pieux:
rappelez-vous Villon, frères humains, et priez Dieu
que tous nous veuille absoudre.

Écrit essentiellement durant les hivers, en pays de montagnes, entre 2001 et 2003


© Copyright 2009 Hamilton-Lucas Sinclair (Loup Kibiloki, Jacques Renaud, Le Scribe),  cliquer


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4 Responses to Histoire de Loup-Garou. Fragments racontés d’une chronique ancienne charcutée.

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  3. Le thé qui brûle les acides toxiques coupables du viellissement.Comme cette bonne vieille histoire dont je vous remercie.

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